Des logements sociaux AVEC la réflexion sur la qualité de vie, voilà de belles réalisations novatrices!
Aux Pays-Bas, une forêt verticale sera réservée aux personnes à faible revenu.
Fournissant 125 logements pour les couples néerlandais à faible revenu, la tour sera couverte de 5000 arbustes et buissons. Chaque appartement aura : 1 arbre, 20 buissons et une terrasse.
Les plantes créeront un écosystème de 70 espèces différentes créant un environnement sain pour les résidents. De telles forêts sont en construction dans de nombreuses villes. L’architecte déclare qu’il s’attelle à deux problèmes en même temps : Le changement climatique ainsi que la pénurie de logements urbains.
On dit que les forêts sont vivantes et qu’elles ont des sentiments
En effet, le monde des bois nous révèle peu à peu ses secrets et c’est avec beaucoup d’amour et de passion que nous découvrons la magie des bois et des sous-bois.
Magnifique nature qui nous fait comprendre que nous avons encore beaucoup à apprendre.
Et pour rappel :
Les arbres ont une vie secrète que nous n’imaginons pas
Pour votre première balade du printemps en forêt, vous allez regarder les arbres d’un nouvel œil.
PRINTEMPS – Ils parlent entre eux, partagent les richesses du sol, s’entraident, apprennent les uns des autres. Bienvenue dans le monde merveilleux des arbres. Une vie secrète dont la science découvre progressivement l’étendue et la complexité.
Dans un récit passionnant et engagé, publié en janvier 2017 en français, Peter Wohlleben, un forestier allemand qui travaille à la tête d’une forêt gérée de manière non productiviste raconte la vie intime de ces végétaux si commun: les réseaux de filaments créés par les champignons, la grande sociabilité des hêtres, la langage des racines qui craquent et l’incroyable pulsion de vie des arbres.
Nous les pensions silencieux, éteints, immuables. Après la lecture de ce livre, vos promenades en forêt vont prendre une tout autre dimension. Allons même plus loin puisque Peter Wohlleben s’y risque en s’appuyant sur des études publiées dans les plus sérieuses revues scientifiques, les arbres ont bien des leçons à nous donner en terme de partage et de communication. Ce sont des êtres sociables qui aiment la compagnie des autres et ce tout en conservant chacun leur propre caractère.
Vie humaine ou animale les termes ont été choisis par nous les humains mais de quel droit ? De l’animal et de l’humain qu’est-ce qui sépare le droit ou la priorité à la vie ?
Hissés sur notre piédestal, au sommet de la chaîne alimentaire qu’avons-nous fait depuis des décennies à part détruire et déconstruire ce que mère nature nous offre ?
Une vie mérite d’être vécue de sa conception à son terme naturel car elle a un rôle primordial à jouer dans un enchaînement infini de cause à effets. C’est un peu comme l’effet papillon pour celles et ceux qui auront vu les films. Chaque acte conduit à des répercutions irréversibles.
Tout comme nos plus belles inventions sont exploitées à des fins pécuniaires, nous nous coupons de la vie et nous nous enchaînons à ce qui nous mènera à notre propre perte.
Ce n’est plus un secret pour personne, notre belle civilisation est en bout de course et c’est au travers d’un déni surréaliste que nous continuons comme si de rien n’était à nous enfoncer dans la mort. Nous procréons et fournissons au système sa chair à canon.
Ces quelques lignes n’ont rien de pessimiste, elles sont simplement le reflet d’un éveil que je suis loin d’être le seul à partager. C’est plutôt une prise de conscience, un témoignage et un « Mea Culpa » délivré aux générations futures qui pourra servir de miroir. Un miroir ou l’humanité verra son propre visage, celui des erreurs sans cesse répétées.
Ce monde qui est bien malade va s’éteindre et nous en sommes non seulement les témoins mais aussi et surtout les acteurs.
Voici une vidéo démontrant une Chine suffoquant sous la masse de l’héritage du capitalisme à outrance !
Chaque seconde, 10 tonnes de plastique sont produites dans le monde et une tonne fini dans les océans toutes les deux secondes !
Les marques se défausses en rendant responsables les consommateurs de cette pollution. Des multinationales comme Cocacola affirment aussi luter contre cette invasion mais les belles promesses ne sont pas toujours tenues et ces entreprises jouent parfois double jeu.
Pour ne pas être tenus responsables de la pollution, certains industriels ont trouvé la parade : désigner un autre responsable. Et ce coupable, c’est vous ! Sandrine Rigaud a enquêté sur les stratégies secrètes d’un des géants mondiaux des sodas et que ses promesses de recyclage de ses emballages.
Extraits ciblés de l’émission Cach investigation “Plastique, la grande intox“, une enquête de Sandrine Rigaud diffusée mardi 11 septembre 2018 sur France 2.
Et sur un air de science fiction, “Hybrids” le court-métrage hallucinant où les poissons ont fusionné avec les déchets.
Réalisé comme projet de fin d’études du MOPA, Hybrids est un court-métrage fascinant par la qualité de sa réalisation et le sujet qu’il aborde avec créativité : un océan si pollué que les poissons sont devenus des déchets.
Plus qu’une réalité, la pollution des océans est devenue un terrible fléau pour la faune animale qui voit des espèces disparaître au fil des années. À titre d’information, plus de 634 000 kilos de déchets sont déversés chaque seconde dans les océans, soit 20 milliards de tonnes de déchets par an !
De nombreux courts-métrages ont été réalisés pour nous ouvrir les yeux sur ce terrible phénomène, mais celui que nous allons vous présenter aujourd’hui est une véritable œuvre d’art en la matière. Réalisé par six étudiants (Florian Brauch, Matthieu Pujol, Kim Tailhades,Yohan Thireau, Romain Thirion et Vincent Govindin) de l’école MoPA en guise de projet de fin d’études, ce superbe court-métrage baptisé Hybrids dépeint un monde où les animaux ont dû s’adapter à la pollution pour pouvoir survivre.
Hybrids : le court-métrage hallucinant qui vous plonge dans un océan où la pollution est reine.
En environ 5 minutes, Hybrids nous montre différentes espèces sous-marines dont le corps semble avoir fusionné avec différents déchets jetés par l’Homme. Entièrement réalisé en images de synthèse, ce court-métrage est bluffant de réalisme, sublimé par une bande son qui colle parfaitement avec l’ambiance inquiétante que le sujet aborde.
Et les avis sont unanimes, Hybrids a été primé à de très nombreux festivals et a déjà remporté des dizaines de prix. Il est d’ailleurs qualifié et éligible pour les Oscars 2019 pour le Best Animated Short(Meilleur court-métrage animé). On vous laisse découvrir ci-dessous ce chef d’œuvre de l’animation qui nous ouvre les yeux sur la triste réalité des mers et océans en proie à la pollution.
Chaque seconde, 10 tonnes de plastique sont produites dans le monde et une tonne fini dans les océans toutes les deux secondes !
Les marques se défausses en rendant responsables les consommateurs de cette pollution. Des multinationales comme Cocacola affirment aussi luter contre cette invasion mais les belles promesses ne sont pas toujours tenues et ces entreprises jouent parfois double jeu.
Pour ne pas être tenus responsables de la pollution, certains industriels ont trouvé la parade : désigner un autre responsable. Et ce coupable, c’est vous ! Sandrine Rigaud a enquêté sur les stratégies secrètes d’un des géants mondiaux des sodas et que ses promesses de recyclage de ses emballages.
Extraits ciblés de l’émission Cach investigation “Plastique, la grande intox“, une enquête de Sandrine Rigaud diffusée mardi 11 septembre 2018 sur France 2.
Extraits sur VK :
Visionner l’intégralité de l’émission sur Youtube :
Avant, cet agriculteur éradiquait les coquelicots avec des pesticides; mais en passant au bio, il en a redécouvert les bienfaits pour ses cultures.
Malgré les accords de libre-échange : CETA & MERCOSUR, en France, de plus en plus de paysans se lancent dans la culture bio et cela porte ses fruits.
C’est aux consommateurs de prendre le relais en faisant le geste et même si acheter local est un peu plus onéreux, il s’agit d’un geste en faveur de l’économie locale qui en a besoin mais aussi et surtout un geste pour notre planète, notre Mère Nature et les générations futures.
C’est avec nostalgie que je me remémore alors que j’étais enfant nos parties de cache cache au milieu des champs de blé, ces tiges qui se balançaient au gré des vents et qui mesuraient plus d’un mètre et demi. Nous étions entourés par cette douceur du mois d’août ainsi que par ces parfums enivrants et ces couleurs : le blond, le rouge, le jaune, le vert … Tout cela nous faisait tourner la tête en nous procurant une sensation de bien-être et de liberté. Nous étions alors à deux doigts de pouvoir nous envoler.
François Simon, dit Michel Simon, est un acteur suisse, né le à Genève, et mort le à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne).
À Genève, la rue où se trouve la maison dans laquelle naquit l’acteur a été rebaptisée : Rue Michel Simon. Retrouvons le lors d’une interview où à l’époque, tel un prophète, il déplorait la disparition des oiseaux, des insectes et l’abus de produits chimiques.