En 1907, Adolf Heusinger entre dans l’armée allemande. Le lieutenant Heusinger participe à la bataille de la Somme, est blessé à Arras et fait prisonnier par les britanniques qui le libèrent en 1919. Heusinger rejoint alors son unité et suit brillamment les cours d’état-major de l’école de Cassel avant d’être affecté à l’Etat-major secret de la future Wehrmacht, en 1929. Puis, en 1933, Hitler l’incorpore dans son Etat-major opérationnel.
Le fuhrer, qui n’accorde sa confiance qu’à de très rares personnes, le charge de réaliser plusieurs plans d’invasion dés 1940.
En 1941, c’est Heusinger qui est chargé de concevoir l’opération d’invasion de l’URSS. Sa « guerre éclair » prévoit l’élimination de 30 millions de slaves et l’incendie des villes et villages.
Les résistants devront évidemment être pendus et les responsables politiques soviétiques systématiquement abattus sur place.
En août 1942, le général Heusingerorchestre lui-même les exterminations. Sur ordre du fuhrer, la Gestapo et les S.S. sont placés sous son commandement direct. En 1945, les S.S. et les membres de la Gestapo sont condamnés par le Tribunal international militaire pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité… Heusinger, lui, n’est pas inquiété : il occupe même le poste le plus élevé de la hiérarchie militaire de la République Fédérale d’Allemagne jusqu’en 1960…
Cette année là, à Washington, Adolf Heusinger est élu chef suprême de l’OTAN (NATO) par l’ensemble des chefs d’Etats-major des pays membres. En 1962, le député communiste Florimond Bontedécouvre, dans les archives du KGB, le rôle qu’Heusinger a tenu pendant la guerre. Il raconte alors ce qu’il sait dans un livre (« Le dossier Heusinger » aux Editions Sociales–Paris). La diffusion de ce « livre choc » reste toutefois confidentielle.
«Toutes les 5 secondes, un enfant en dessous de 10 ans meurt de faim; 37 000 personnes meurent de faim chaque jour et, sur les 7 milliards de personnes que nous sommes, presque un milliard sont en permanence sous-alimentés. L’agriculture aujourd’hui pourrait nourrir 12 milliards d’êtres humains, quasiment le double de la population mondiale.
C’est-à-dire qu’aujourd’hui un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné.» Jean Ziegler (Ancien rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation).
Le crime organisé de la faim dans le monde !
Le droit à l’alimentation qui est un droit fondamental est celui qui est le plus brutalement, le plus cyniquement, le plus massivement nié et violé.
Il n’y a plus de fatalité aujourd’hui concernant la faim dans le monde et un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné.
Qui sont les criminels ?
En Afrique Orientale et suite à une terrifiante sécheresse, 12 millions d’êtres humains sont au bord de l’anéantissement par la faim. Les Nations Unies qui sont sur place doivent refuser des gens par centaines aux portes des 17 camps qui devraient accueillir tous ces gens.
Le programme alimentaire mondial qui est l’organisation mandatée par les Nations Unies pour apporter l’aide alimentaire nécessaire a perdu la moitié de son budget en l’espace de deux ans. La cause en est que les grands états industriels qui sont les cotisants de ce programme ne payent plus.
Ce sont les spéculateurs qui ayant ruiné les marchés financiers, connaissent à leur tour de grosses difficultés et doivent être soutenus à coup de dizaines de milliards. Par conséquent, Paris, Londres et Berlin ne sont plus en mesure d’apporter leur contribution pour que le programme d’aide alimentaire puisse subvenir aux besoins de tous ces gens qui meurent de faim chaque jour.
Autrement dit, les spéculateurs qui ont ruiné les bourses du monde en 2002, en 2007 par avidité et par folie devraient être transféré devant un tribunal de Nuremberg et jugés pour crimes contre l’humanité parce que ces spéculateurs tuent par centaines de milliers.
Ces spéculateurs sont tenus par une poignée de 10 multinationales
Le monde pourrait être un Paradis si la cupidité de l’homme ne le détruisait pas chaque jour un peu plus.
Ce scénario rappelle les jours les plus sombres durant la guerre froide !
Près de 100.000 troupes russes vont effectuer des manœuvres dans l’ouest de la Russie, au Bélarus, dans la mer Baltique et dans l’enclave russe de Kaliningrad, soit à l’extrémité est du territoire de l’OTAN, selon le « New York Times ».
« Un exercice d’intimidation qui rappelle les jours les plus sinistres de la guerre froide », écrit le quotidien américain.
Prévudepuis des mois, l’exercice, connu sous le nom de Zapad, (« ouest » en russe), est une démonstration de plus de la force militaire russe après les interventions en Crimée et en Syrie.
D’après certains officiers américains, ces manœuvres pourraient être utilisées par les Russes pour augmenter leur présence militaire au Bélarus, pays frontalier de trois alliés de l’OTAN : la Pologne, la Lituanie, et la Lettonie.
Témoignant d’une réelle onde de choc, des milliers de messages de remerciement et de respect ont accompagné, mercredi 19 juillet, sur les réseaux sociaux, la démission du général Pierre de Villiers. Il ne s’est guère trouvé de voix pour abonder dans le sens de l’ancien ministre de la défense Jean-Yves Le Drian, qui a minimisé l’ampleur de la crise de ce 14-Juillet : « Je ne crois pas qu’il y aura de blessure durable, il y a un moment de crispation », a-t-il indiqué mardi sur CNews. Dans et en dehors de l’institution militaire, les regrets sont très vifs, et le sentiment d’un inutile gâchis, assez partagé.
Le président de la République, Emmanuel Macron, avec à ses côtés le nouveau chef d’état-major des armées, François Lecointre, devait effectuer jeudi sa deuxième visite aux forces de la dissuasion nucléaire, sur la base aérienne d’Istres (Bouches-du-Rhône). Les deux hommes vont s’employer à refermer le plus rapidement possible la pénible séquence, inédite sous la Ve République, qui a provoqué le départ du plus haut responsable militaire français.
Des sources proches de l’exécutif laissaient ainsi entendre, mercredi, que le chef de l’Etat pourrait décider d’adoucir les coupes de 850 millions d’euros dans le budget des armées, telles qu’elles ont été annoncées le 11 juillet par Bercy, en dégelant davantage de crédits que prévu d’ici à la fin 2017 au profit des armées.
« Il part dans la dignité »
« Le général de Villiers sort grandi, estime un officier de l’état-major parmi de nombreux autres. Il part dans la dignité. » « La vie militaire mérite d’être vécue », a conclu Pierre de Villiers dans une ultime lettre aux soldats publiée sur son compte Facebook de chef d’état-major des armées, mercredi. Le général a quitté ses bureaux de Balard, dans le 15e arrondissement de Paris, encadré par une haie d’honneur de plusieurs centaines de personnels. Dans une courte vidéo mise en ligne par son service de communication, on le voit longuement applaudi.
La ministre des armées, Florence Parly, qui était en déplacement auprès des aviateurs de l’opération Chammal déployés en Jordanie, a rendu hommage « à l’action du général de Villiers qui a conduit avec succès depuis le 15 février 2014 les opérations de la France sur tous les théâtres où les armées sont engagées, à l’étranger comme sur le territoire national et qui aura grandement contribué (…) à préparer l’avenir de notre défense ».
Celui-ci est garanti, a assuré le chef de l’Etat. « En 2018, il y aura l’augmentation budgétaire la plus importante sur les quinze dernières années », a-t-il déclaré mercredi sur France 2. Soit 1,5 milliard d’euros, portant le budget des armées à 34,2 milliards. « Je suis derrière nos soldats. » M. Macron a répété une nouvelle fois que la France atteindra un effort de défense équivalant à 2 % du PIB en 2025, en accord avec les engagements du pays pris dans l’OTAN depuis 2014.
Mais la surprise des coupes budgétaires imposées pour 2017 a accru les doutes qui pouvaient exister sur la faisabilité de cette ambition, alors même que les décisions déjà prises en 2016 par François Hollande après les attentats djihadistes ne sont pas financées. C’est de cette situation qu’a pris acte Pierre de Villiers en quittant son poste.
« Je considère ne plus être en mesure d’assurer la pérennité du modèle d’armée auquel je crois pour garantir la protection de la France et des Français, aujourd’hui et demain, et soutenir les ambitions du pays. » Les mots « aujourd’hui et demain » ont leur importance. Le modèle de l’armée française décidé par l’exécutif en 2013 devra changer, ou être financé. A tous égards, la tâche du général Lecointre, qui est selon les textes « le conseiller militaire du gouvernement », « responsable de l’emploi opérationnel des forces », s’annonce ardue.
Dernièrement l’aviation américaine a bombardé au phosphore blanc des populations de Raqqa en tuant beaucoup de civils.
Raqqa est supposée être le QG de Daesh or ces populations n’ont pas été bombardées parce qu’elles sont pro-Daesh, mais parce qu’elles ont donné des renseignements aux Syriens sur la position des chefs de Daesh.
Ces renseignements précis confortés par des signaux de positionnement au sol ont permis à l’aviation russe d’éliminer une bonne partie du commandement daeshois dont probablement Abou Bakr Al baghdadi.
Ces chefs daeshois tenaient une réunion dans un bâtiment de Raqqa lequel fut la cible des bombes guidées au laser russes.
L’aviation russe vient d’ailleurs de faire échouer une tentative de Daesh de forcer les défenses de Deir Ez-Zor. Au cours de ce bombardement 2 hauts responsables militaires de Daesh ont été tués, disent les Russes.
Qu’est-ce que le phosphore blanc, utilisé contre Daesh en Irak et en Syrie ?
La coalition internationale a utilisé ce produit pour reprendre Raqqa et Mossoul aux Jihadistes. L’alliance a justifié en avoir fait usage « conformément au droit des conflits armés »
SELON LES CAS, L’UTILISATION DU PHOSPHORE BLANC PEUT RELEVER DU CRIME DE GUERRE
Le phosphore blanc sert généralement a créer des écrans de fumée sur un camp de bataille mais son usage dans des zones ou vivent des civils est interdit par le droit international. Cet agent chimique provoque de graves brûlures de la peau, des muscles voire même des os. Sa combustion ne s’arrête que l’lorsqu’il est privé d’oxygène.
L’armée américaine a reconnu avoir fait l’usage du phosphore blanc à Falloujah (Irak) 2004, Israël a aussi dit s’en être servi lors de son offensive sur Gaza en 2009.
Les armes au phosphore blanc ne sont autorisées selon les conventions de Genève que pour éclairer un champ de bataille et en aucun cas ne peuvent être utilisées en zone habitée et/ou sur des civiles.
Gaza :
Images d’un bébé palestinien victime du phosphore blanc. C’était en 2009 et malgré l’atrocité, cela se produit encore !
ATTENTION A LA DURETE DES IMAGES !
Dans son premier rapport exhaustif sur l’offensive à Gaza, l’Etat hébreu assure avoir employé l’agent chimique de manière légale pour former des écrans de fumée, et non comme arme contre les civils. Ce que contestent les organisations humanitaires.
Israël fait machine arrière. Après avoir nié pendant des mois avoir utilisé des munitions au phosphore blanc lors de son offensive sur Gaza en début d’année, le gouvernement admet dans un rapport, publié jeudi, en avoir finalement fait usage. Mais cette utilisation a été en tout point conforme au droit international en la matière, martèlent les autorités israéliennes dans ce premier document exhaustif sur l’opération «Plomb durci». L’agent chimique n’a été utilisé que pour former des écrans de fumées pour protéger l’avancée de ses soldats, explique-t-on côté israélien en réponse aux organisations humanitaires et aux Palestiniens. Ceux-ci accusent l’Etat hébreu d’avoir violé le droit international de la guerre, lors de «Plomb durci» et avoir sciemment détruit des biens et tué des civils.
Les munitions au phosphore n’ont jamais été tirées contre les civils, à l’intérieur de zones d’habitation, ce qui aurait constitué une violation du droit, affirme le rapport. Le phosphore cause en effet de grave brûlures de la peau, des muscles, voire des os. Sa combustion ne s’arrête que lorsqu’il est privé d’oxygène. Mais, affirme le rapport,«il ne paraît pas y avoir de morts documentées à Gaza résultant de l’exposition au phosphore blanc lui-même».
L’aveu des autorités israéliennes surprend peu. Il devenait de plus en plus difficile pour Israël de nier avoir eu recours au phosphore. De nombreux restes de munitions où des traces blanches de phosphore étaient visibles, ont été retrouvés dans Gaza. L’ONU avait même affirmé détenir des preuves démontrant que la substance avait été utilisée lors du raid mené contre un de ses entrepôts lors de l’offensive.
Tsahal étudie une centaine de plaintes
La bande de Gaza étant une des zones les plus densément peuplées de la planète, le rapport prend toutefois des précautions : ses rédacteurs n’excluent pas que des éclats d’obus contenant des résidus de phosphore blanc puissent avoir fait des blessés ou provoqué des incendies. Cependant, font-ils valoir, «il ne semble pas que les dégâts liés à cette utilisation puissent être considérés comme excessifs».
Leur rapport, qui sort avant celui des Nations unies sur les crimes de guerre à Gaza, entend faire ressortir le bien-fondé et la légalité de l’offensive de 22 jours. L’opération «Plomb durci», qui a fait plus de 1.100 morts côté palestinien et 13 du coté de l’Etat hébreu, «était nécessaire et proportionnée», affirme le texte.
«Israël avait, et le droit, et l’obligation, de prendre des mesures militaires pour faire cesser les tirs presque incessants de roquette et de mortiers du Hamas», peut-on lire encore. Quelque 12.000 projectiles ont été tirés sur Israël entre 2000 et 2008, dont près de 3.000 pour la seule année 2008 menaçant près d’un million d’Israéliens, précise le texte. En outre, plaide-t-il, Israël a pris plusieurs mesures pour tenter de limiter les souffrances des Gazaouis. Selon cet audit, Tsahal a choisi les armes les moins destructrices et a demandé aux Palestiniens de quitter les lieux où le Hamas est implanté, via des tracts et des appels.
Ce rapport souligne également qu’Israël a pris en compte les accusations de violations des droits de la guerre formulées par les organisations humanitaires. L’armée israélienne enquête sur une centaine de plaintes concernant des abus de ses soldats et a ouvert 15 enquêtes criminelles. Tsahal a promis de rendre public les résultats de ses investigations lorsqu’elles seront arrivées à leur terme.
C’est un coup de tonnerre diplomatique au Moyen-Orient. L’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et Bahreïn ont annoncé la rupture de leurs relations diplomatiques avec le Qatar. L’émirat, qui doit organiser le Mondial de football en 2022 et qui n’a cessé ces dernières années d’accroître son poids dans la région, se retrouve mis au ban des pays du golfe Persique, en raison de son « soutien au terrorisme ». Il a en outre été exclu de la coalition arabe qui intervient au Yémen sous la direction de Riyad. Ce séisme diplomatique est intervenu 15 jours après une visite à Riyad du président américain Donald Trump qui a demandé aux pays musulmans d’agir de manière décisive contre l’extrémisme religieux.
Pour rappel, le 17 juillet 2014, le vol MH17 de la Malaysian Airlines reliant Amsterdam à Kuala Lumpur, avec 298 personnes à son bord, est abattu dans le ciel du Donbass, et s’écrase près du village de Grabovo (à l’Est de Donetsk).
La carlingue de l’avion fumait encore que les accusations contre la République Populaire de Donetsk (RPD), et surtout contre la Russie fusaient de toute part, avant même qu’une enquête sérieuse ne soit menée. L’armée ukrainienne bombardera d’ailleurs à plusieurs reprises la zone du site du crash, empêchant les enquêteurs de travailler correctement.
Le comité d’enquête international mis sur pied, travaille en étroite collaboration avec le SBU (les services de sécurité ukrainiens), et beaucoup d’éléments de « preuve » sont fournis par eux alors même que l’Ukraine faisait partie des suspects (c’est comme si un policier suspecté de meurtre aidait à mener l’enquête sur ce meurtre). Les éléments apportés par la Russie furent systématiquement écartés et l’enquête fut menée dans le plus grand secret, jetant ainsi bien plus que des doutes sur les conclusions de la commission.
Lors de la sortie du rapport final en septembre 2016, qui accuse la Russie, le porte-parole du ministère russe de la Défense avait souligné le côté plus que bancal de l’enquête.
« Toutes les données présentées aujourd’hui lors du point presse de l’équipe d’enquêteurs ont deux sources: Internet et le renseignement ukrainien. Ainsi, l’objectivité de ces données ainsi que des conclusions tirées ne peuvent pas ne pas éveiller des doutes », a déclaré le porte-parole du ministère Igor Konachenkov.
L’implication du renseignement ukrainien, prend une tout autre dimension quand on regarde l’article de Soverchenno Secretno. Quatre copies de documents, présentés comme émanant du SBU, et concernant le crash du MH17, y sont montrés.
Si l’authenticité des documents originaux doit encore être prouvée par des experts, une analyse préliminaire des copies par un ancien agent de la Loubyanka a conclu que le mode de rédaction de ces ordres était conforme à la méthodologie enseignée dans les écoles du KGB, dont beaucoup d’agents actuels du SBU sont issus. J’ai fait parvenir de mon côté les copies des documents à un ancien militaire qui connaît bien les services de sécurité russes et ukrainiens. Pour lui, il y a 80 % de chances que les documents soient authentiques. Ce n’est qu’après son avis positif, que j’ai décidé de faire cet article.
Car ce que révèlent ces documents n’est ni plus ni moins que la tentative des services de sécurité ukrainiens (SBU) de dissimuler la vérité sur ce qui s’est passé le 17 juillet 2014 dans le ciel du Donbass. Ces ordres, télégrammes cryptés, et décrets ordonnent d’identifier et d’arrêter les témoins oculaires, y compris des soldats ukrainiens, de prendre des « mesures préventives » contre eux, de détruire toutes les preuves qui indiquent la présence d’un avion de combat menant des missions dans cette zone là le jour du crash, et enfin de détruire les preuves qu’une opération spéciale a eu lieu.
Si ces documents sont vrais, alors il y a dans les archives du SBU de quoi faire tomber tout le gouvernement ukrainien et les envoyer devant un tribunal. La fuite semble venir de l’intérieur, d’agents qui veulent voir leurs supérieurs tomber. Bien sûr pour obtenir les originaux, ils demandent une compensation financière que le journal russe ne peut leur fournir.
Résultat, pour l’instant, seules les copies sont à notre disposition pour analyse. Il y aurait là matière à creuser pour des spécialistes des « leaks », qui pourraient obtenir des documents électroniques clairement identifiables, confirmant ou infirmant ces quatre copies de documents. C’est d’ailleurs le sens du lancement par Soverchenno Secretno d’une enquête publique, appelant à l’aide tous les volontaires qui pourraient faire avancer la récolte de preuves. Pour que la vérité éclate et que justice soit faite pour les 298 victimes.
Les documents s’étalent du 20 au 28 juillet 2014.
Le premier, daté du 20 juillet, concerne un témoin oculaire qui dit avoir vu le MH17 être abattu par un avion de combat ukrainien. Le chef du bureau du SBU de Lougansk demande de lancer une enquête de contre intelligence sur ce témoin qui possède des informations pouvant porter préjudice à l’état ukrainien. On ne sait pas si ce témoin a été retrouvé ni ce qui lui est arrivé.
Le deuxième document est daté du 24 juillet 2014. Il concerne de nouveau des témoins oculaires de la scène, y compris un militaire.
« Il a été établi qu’il y a effectivement des témoins du tir contre l’avion civil, certaines personnes sont identifiées et détenues, mais dans le même temps le bureau a reçu des informations selon lesquelles l’un des soldats qui se trouve sur le territoire de la région de Lougansk a enregistré l’événement en vidéo.
À cet égard, nous vous demandons d’identifier et d’arrêter le soldat qui a fait un enregistrement vidéo de l’événement. »
D’après la source du journal, le soldat en question, un sergent nommé Vyacheslav, serait mort peu de temps après, tué par un sniper en dehors de la zone de combat, et l’ensemble de ses affaires personnelles auraient été saisies par le SBU. Le journal lance dans son article un appel au supérieur hiérarchique de ce sergent à l’époque, afin qu’il transmette les images que le sergent lui aurait fournies avant sa mort.
Le troisième document, est lui aussi daté du 24 juillet 2014. Il contient un ordre tout ce qu’il y a de plus clair concernant les éventuels témoins.
« Dans le cadre de l’OAT, prendre des mesures spéciales pour détruire les preuves de l’opération spéciale. Obtenir des informations sur la présence de témoins potentiels parmi les habitants du district, les soldats et d’autres. Prendre des mesures préventives efficaces. »
Rien que le nom « mesures préventives » fait déjà trembler pour les pauvres témoins concernés.
Le quatrième est daté du 28 juillet 2014. Il comporte le trident ukrainien en logo en haut et à gauche et un tampon du SBU en bas.
Il contient plusieurs ordres, dont celui de détruire toutes les preuves de violation de la loi par les soldats ukrainiens, de prendre des mesures préventives contre les témoins oculaires, de détruire toutes les preuves de la présence d’un avion de combat ukrainien dans cette zone le 17 juillet 2014, et enfin de mener une rotation et de prendre des mesures préventives vis à vis des soldats de l’armée de l’air qui ont effectué des vols dans la zone concernée, en particulier les soldats de la brigade No. A-4104, venant de la ville de Chouguev dans la région de Kharkov.
Bientôt trois ans après cette tragédie, cette fuite de documents du SBU vient relancer les doutes légitimes sur l’enquête officielle. Si l’authenticité de ces documents est confirmée, alors toute l’enquête internationale, qui s’est largement basée sur les éléments de « preuves » apportés par le SBU, sera totalement discréditée, et ses conclusions invalidées.
Si ces documents sont vrais, cela expliquerait l’acharnement de l’enquête à se focaliser sur le tir d’un missile BUK au détriment de toutes les autres hypothèses (entre autre celle de l’avion de combat), cela expliquerait aussi l’absence de données radar ukrainiennes sous prétexte de panne ou d’indisponibilité de tous les radars civils et militaires de la zone (les radars auraient-ils vus quelque chose qu’ils ne devaient pas voir ?).
Car si c’est bien un avion de combat qui a abattu le MH17, alors il n’y a qu’un seul coupable possible : l’armée ukrainienne. Les accusations farfelues contre la Russie ou la RPD tomberaient comme un château de cartes, et les occidentaux auraient le plus grand mal à justifier leur soutien à l’Ukraine après un scandale pareil.
Il est temps que la vérité soit dévoilée sur cette catastrophe, pour que les familles de victimes obtiennent justice, et que les coupables soient punis. J’espère que toutes les personnes de bonne volonté vont se rassembler autour de l’équipe du journal Soverchenno Secretno afin de les aider à obtenir les documents originaux, à les faire authentifier, et à en obtenir d’autres pour avoir enfin les preuves de ce qui s’est réellement passé le 17 juillet 2014 au dessus du Donbass.
Christelle Néant
Et pour rappel :
On se souviendra du Crash du vol MH 17 de la compagnie Malaysia Airlines, un vol international régulier reliant Amsterdam à Kuala Lumpur et qui avait été abattu en vol le dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine où un conflit armé était en cours mais le survol n’était pas interdit aux avions civils. Aucun survivant n’avait été retrouvé parmi les 283 passagers et 15 membres de l’équipage. Le parquet néerlandais avait annoncé le 28 septembre 2016 que l’enquête pénale internationale qu’il coordonnait avec des enquêteurs venus de Belgique, d’Australie, de Malaisie et d’Ukraine, avait confirmé que le missile avait été tiré depuis un territoire alors contrôlé par les séparatistes pro russes, après avoir été acheminé depuis la Russie.
Cet attentat avait d’ailleurs contribué à la mise en place de la résolution 758 votée en toute hâte par le congrès US le 4 décembre 2014 avant que la dite enquête ne fusse terminée.
Je rappelle que la résolution 758 permet au président Obama et au commandant des armées de déclarer la guerre à la Russie sans passer par le congrès. A toutes fins utiles je remet en ligne en fin d’article, la vidéo qui l’atteste.
Voici à présent une vidéo qui semble démontrer très clairement que le crash du vol MH17 ait été un coup monté pour une fois de plus accabler la Russie et faire monter de quelques crans encore les tentions entre l’OTAN et ses alliés avec la Russie.
Vous ne verrez pas cette intervention sur mainstream , l agressivité US , le viole des règles internationales par l Occident !!
Monsieur le président, (John Simson, de la BBC) les pays occidentaux disent presque unanimement qu’il y a une nouvelle guerre froide et ils pensent que c’est vous qui avez décide de la recommencer. Presque tous les jours, on voit des avions russes procéder à des manœuvres dangereuses près de l’espace occidental. Cela se fait sous votre commandement, c’est vous qui décidez cela en tant que commandant suprême. Vous envoyez des troupes russes sur le territoire d’un pays souverain l’Ukraine, d’abord, il y a eu le cas de la Crimée ensuite de la partie orientale de l’Ukraine. Maintenent vous avez un certain problème avec le cours du Rouble. Vous allez avoir besoin de l’aide, du soutient et de la compréhension de certains autres pays et notamment des pays occidentaux. Allez-vous profiter de cette occasion pour dire à l’occident que vous ne souhaitez pas une nouvelle guerre froide et que vous allez maintenant faire tout votre possible afin de régler le problème en Ukraine ?
Les médias racontent « comment » a eu lieu la Première Guerre mondiale (dix millions de morts), mais jamais pourquoi. « Morts pour la patrie », proclament tous nos monuments officiels. Mensonge ! 14-18, c’était déjà une guerre du fric. Non seulement chez les « méchants » (Allemagne, Autriche), mais aussi chez les « gentils (France, Angleterre, Belgique…), le véritable enjeu était : quelle puissance dominera le monde et contrôlera ses richesses ?
CELA VIENT DE PARTOUT, LA RÉVOLUTION EST EN MARCHE.
En France, en Espagne, au Portugal, en Italie, en Grèce partout le peuple en a marre et ne supporte plus leurs manipulations, leurs mensonges et leurs crises économiques qu’ils nous font toujours payer.
Est-ce que ce sera suffisant ? Je ne sais pas, je l’espère. En Belgique aussi la colère gronde et la montée du PTB le montre clairement. On le voit en France aussi avec la montée dans les sondages de Mélanchon.
IL Y A « RESET » ET « RESET ».
Le premier « reset » peut être réalisé sans trop de douleur, dévaluer la monnaie suffit, taxer l’héritage, des solutions existent pour faire un « reset de la grande bourgeoisie », de la grande fortune, rendre la terre aux paysans, aux agriculteurs bio, limiter la propriété à la propriété d’usage, augmenter le pouvoir d’achat des travailleurs au sens large… Socialiser les industries stratégiques.
Le deuxième est celui vers lequel on va très vite. Eux ce qu’ils veulent c’est un « reset de la masse populaire » en passant par une guerre mondiale pour relancer l’économie et la croissance, comme en 1914 ou en 1940.
Ceux qui ont payé le prix fort de cette guerre sont l’URSS et la Chine à eux deux cela représente plus de la moitié des victimes +/- 40.000.000 de morts. La part des civils est déjà à l’époque plus importante que la part des militaires.
Aujourd’hui dans les guerres modernes ce sont des bombardements de masse et les victimes sont majoritairement des femmes et des enfants. Ils ne se préoccupent pas de la vie, nous ne sommes plus que des insectes qu’ils peuvent écraser.
LES GUERRES SONT LES CONSÉQUENCES INÉVITABLES ET INHÉRENTE DU SYSTÈME CAPITALISTE.
1 ) Michael Flynn était au centre d’une controverse pour avoir évoqué avec des diplomates russes les sanctions visant Moscou, sans avoir de fonction officielle.
Moins d’un mois après son entrée en fonction, l’administration Trump a connu, lundi 13 février, sa première crise. Elle a été sanctionnée par la démission du conseiller à la sécurité nationale, un rouage essentiel de la Maison Blanche que le milliardaire avait confié à un fidèle de la première heure : l’ancien général Michael Flynn.
2) Accentuation de l’antagonisme contre l’Iran et la Chine par l’intermédiaire du porte paroles de Donald Trump à l’O.N.U en plus et l’information semble confirmée, Donald Trump attend de la Russie qu’elle rende la Crimée à l’Ukraine. Cela est d’une importance capitale si l’on sait à quel point la Crimée est vitale pour les russes sur le plan stratégique.
Les tentions se ravivent sur le plan géopolitique et cela ne va pas dans le sens d’une paix mondiale bien au contraire.