Suisse : L’histoire du jet d’eau de la rade de Genève

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La Genève internationale et son jet d’eau

L’étymologie de Genève (Genava sous la plume latine de Jules César) est identique à celle de la cité de Gênes en Italie et vient d’un terme ligure (peuplade du Nord de l’Italie) qui fait allusion à la proximité d’une nappe d’eau : le Léman lui-même ou les marais à la sortie du Rhône du lac. De plus, genusus désigne le fleuve en illyrien. (Source : Wikipédia)

Genève, c’est ma ville natale, cette ville du bout du lac Léman, mouchoir de poche en superficie mais un géant mondial sur les plans politiques, économiques et diplomatiques. Dans cet article, je vais m’arrêter sur un de ses aspects touristiques et pas des moindres puisque chaque année, ce sont des centaines de milliers de touristes qui le photographient. Je veux parler de la somptueuse rade du lac Léman et de son fameux jet d’eau dont l’histoire qui remonte à 1886 est méconnue pour la majeure partie des citoyens de la cité de Calvin eux-mêmes.

Cet article sera suivi par une vidéo retraçant en slideshow, la Genève du passé avec de très belles images d’archives. Elle se poursuivra avec un film amateur nous baladant dans la Genève des années 50 et se terminera par de spectaculaires images du grand feu d’artifice des fêtes de Genève édition 2017. Le tout, illustré par la musique du compositeur et producteur Genevois : Thierry Fervant pour qui j’ai consacré quelques articles sur Finalscape et qui coule en ce moment des jours paisibles en Corse.

Amateurs d’histoire, régalez-vous.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Suisse VS UE : Le milliard de cohésion

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SUISSE VS UE : LE MILLIARD DE COHÉSION

Mortifère accord cadre entre la Suisse et l’Union européenne : (Un remake du traité de Lisbonne ?)

« Si tu ne signes pas cet accord on te mettra à mort économiquement ! » Voilà indirectement le cinglant message délivré à la Suisse par l’Union Européenne si cet accord cadre qui regroupe plusieurs traités n’est pas signé. Ce milliard de la paix comme il est nommé au conseil fédéral pourrait tout aussi bien être appelé : le montant de la rançon.

Dans une situation où l’on vous propose un accord en vous menaçant de vous taper sur la bourse jusqu’à ce que vous le signiez, on ne peut dès lors plus parler d’un accord. En français comme dans n’importe quelle langue, un accord, c’est ce sur quoi on c’est justement mis d’accord y compris sur le fait de signer. On ne peut pas vous forcer à signer un accord contre votre gré et c’est pourtant le cadre dans lequel la Suisse se trouve aujourd’hui confrontée contre l’Union européenne.

Intervention mémorable d’Yves Nidegger sur le payement de plus d’un milliard de Francs à l’Union européenne.

Alors que l’UE nous met sous pression autant qu’elle le peut pour nous imposer ses lois, ce milliard donné sans contrepartie ou presque est une insulte aux contribuables suisses.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Consommation en Suisse : FÉVRIER SANS SUPERMARCHÉ !

Lutry (Suisse). Isabelle Aeschlimann est allée à la rencontre de Vincent Hofer, participant au défi 2019 et qui nous parle de son expérience de vivre sans supermarché. C’est possible et même souhaitable si l’on veut continuer (…)  De belles rencontres et de jolies économies réalisées.

Vivre sans supermarché, vivre local c’est possible.

Des fraises venant d’Espagne en plein hiver et qui n’ont aucun goût, quel manque de goût ! Un snobisme démesuré à l’image d’une société complètement déphasée, hors réalité et inconsciente de ce qui l’attend !

Des fruits d’été en plein hiver, c’est comme un enfant sans conception, une aberration, un « no sense »

Continuer à vivre dans ces conditions nous mènera forcément à une autodestruction.

Entre les pétasses qui se pavanent devant des inepties médiatiques et les faux cons qui se prennent pour des super héros, il ne reste plus grand chose à la raison.

Alors, permettez-moi de pleurer pour ce qui nous reste.

(Vidéo)

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Suisse VS Europe : Les États s’attaquent à la loi sur les armes

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Une révision de la loi sur les armes est nécessaire si la Suisse veut rester dans Schengen.

L’enjeu: respecter la directive de l’UE tout en donnant des gages au lobby des tireurs, qui promet un référendum.

Bruxelles va renforcer d’ici fin 2019 sa réglementation en réponse à la menace terroriste. Dans le cadre des accords de Schengen, la Suisse s’est engagée à reprendre le droit européen d’ici mai 2019. Sans quoi elle court le risque de voir les accords dénoncés.

Accès plus difficile

La nouvelle directive européenne doit rendre plus difficile l’accès aux armes susceptibles de faire beaucoup de victimes, comme certaines armes semi-automatiques. Or le Conseil national a adopté en mai dernier deux dispositions incompatibles avec la réglementation européenne.

L’une concerne les chargeurs de grande capacité, l’autre le marquage des armes à feu assemblées. La commission du Conseil des Etats veut corriger le tir. Mais consciente de l’hostilité des milieux du tir, la commission propose aussi quelques gestes en leur faveur, notamment quant à la tenue par les armuriers d’un inventaire des chargeurs de grande capacité.

Loi sur mesure

Berne a déjà obtenu plusieurs concessions de Bruxelles pour sa révision de loi. Les chasseurs ne sont pas concernés. Pour les armes de service, pas de changement: elles pourront continuer à être conservées à la maison après le service militaire. Aucun test psychologique ne sera exigé. Un registre central des armes ne devra pas être créé.

L’UDC, opposée à toute réglementation imposée par Bruxelles, s’est faite le porte-voix de l’opposition à la loi. La directive européenne ne servirait à rien pour lutter contre le terrorisme. Elle serait le premier pas vers un désarmement de la Suisse et une atteinte aux traditions helvétiques du tir.

Pour raqppel :

Oskar Freysinger, conseiller d’État (UDC/VS): « On sortira de Schengen s’il le faut! »

 

Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse

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Environnement : En Suisse, tous les domaines de l’État de Neuchâtel devront passer au bio

Tous les domaines viticoles et agricoles appartenant à l’État de Neuchâtel devront être convertis en culture biologique. Les députés du Grand Conseil ont approuvé mercredi une motion des Vert’Libéraux, malgré l’opposition de certains producteurs.

Le canton fait de plus en plus figure de pionnier de l’agriculture biologique. L’été passé, la ville de Neuchâtel avait déjà décidé de passer tous ses domaines en bio et, en janvier dernier, le Grand Conseil avait accepté un postulat pour interdire les pesticides de synthèse.

La motion approuvée mercredi demande au Conseil d’Etat de convertir dans les meilleurs délais ses mille hectares de terres cultivées à l’agriculture biologique ou biodynamique et de proposer des mesures favorables à la biodiversité et à l’environnement aux niveaux viticole et agricole.

« Il faut que le consommateur joue le jeu »

Le texte a été âprement discuté parmi les vignerons et agriculteurs présents au Grand Conseil. Le député PLR Alain Gerber, président des vignerons neuchâtelois et vice-président de la Chambre neuchâteloise d’agriculture et de viticulture, prévoit lui-même de reconvertir son exploitation, mais il a combattu la motion.

« Si je veux continuer à cultiver ces parcelles de l’Etat, je dois transformer tout mon domaine ou arrêter de les cultiver. Pour un agriculteur qui ne vend pas lui-même ses marchandises, s’il n’y a pas de preneur bio dans le secteur, il y aura une perte financière. La meilleure solution, c’est que la chose devienne nécessaire par un manque de produits. Il faut que le consommateur soit acteur et joue le jeu », déclare le vigneron jeudi dans le 12h30 de la RTS.

Alain Gerber regrette une tendance à pointer du doigt les producteurs et à vouloir leur dicter des règles. La reconversion ne se fera cependant pas du jour au lendemain. En effet, la motion donne deux ans au gouvernement neuchâtelois pour se prononcer sur la manière avec laquelle il entend forcer les quelque 130 fermiers de l’Etat à se reconvertir.

Source : Radio Télévision Suisse

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Démocratie directe : La landsgemeinde de Glaris en Suisse

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Mise à jour : mardi 19 février 2019 – 13:35 –

Petit canton montagnard de 40 000 habitants, Glaris pratique encore la réunion populaire en plein air pour prendre des décisions politiques. Cela débouche parfois sur des votes étonnamment progressistes

La démocratie directe, c’est quand les citoyens votent directement les lois auxquelles ils se soumettront par la suite. En France, nous sommes censés évoluer au sein d’une démocratie représentative, expression qui est pourtant en soi un non-sens. En effet, la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ; et à l’inverse, la démocratie représentative supprime le gouvernement du peuple, en lui imposant d’élire des représentants qui décideront à sa place, et cela sans tenir compte de son opinion, le peuple ne pouvant rien imposer à ses représentants, comme le stipule l’article 27 de la Constitution française.

Et pourtant, en 1762, c’est dans ce même pays que Jean-Jacques Rousseau dénonçait l’imposture de la démocratie représentative, et prônait l’établissement d’une démocratie directe, comme l’illustre cette citation extraite Du Contrat social : « La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu’elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point »

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Suisse et Grande-Bretagne signent un accord commercial pour l’après-Brexit

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Signature ce lundi d’un accord commercial entre la Suisse et le Royaume-Uni

Le ministre de l’économie Guy Parmelin et le ministre anglais du commerce extérieur, Liam Fox, ont signé lundi à Berne un accord bilatéral sur le commerce. La Suisse et la Grande-Bretagne règlent ainsi leurs relations pour l’après-Brexit.

Cet accord, qui entrera en vigueur dès que le Royaume-Uni sera sorti de l’Union européenne, permettra de garantir le respect des « droits et obligations économiques et commerciaux » résultant des accords conclus entre la Suisse et l’UE.

Il réplique la grande majorité des accords commerciaux régissant actuellement les relations entre la Suisse et le Royaume-Uni: l’accord de libre-échange de 1972, l’accord sur les marchés publics, l’accord sur la lutte contre la fraude, une partie de l’accord sur la reconnaissance mutuelle en matière d’évaluation de la conformité et l’accord agricole de 1999.

Entrée en vigueur variable

Ces accords entreront en vigueur dès que les accords Suisse-UE cesseront d’être applicables aux relations avec le Royaume-Uni. Ils seront appliqués dès le 30 mars 2019 en cas de sortie « non ordonnée ». Le Royaume-Uni serait alors considéré comme un Etat tiers, notamment en ce qui concerne la sécurité douanière.

Si une phase de transition entre en vigueur le 30 mars, les accords bilatéraux Suisse-UE continueront à s’appliquer jusqu’à la fin de la période de transition (2020). Les accords signés lundi serviront alors de base pour les relations futures.

Le Conseil fédéral a déjà signé plusieurs accords, sur le transport routier, aérien et sur les assurances, afin de garantir au mieux les droits et les obligations réciproques.

Partenaire important

Guy Parmelin a rappelé que le Royaume-Uni était le sixième marché d’exportation pour les marchandises suisses; il représentait 11,4 milliards de francs en 2017. Il est également le huitième partenaire pour les importations (6 milliards de francs).

Le ministre britannique du Commerce, Liam Fox, s’est félicité de cette avancée, après avoir dit le mois dernier espérer la conclusion d’une quarantaine d’accords du genre avec des pays tiers d’ici au Brexit.

Accord étendu au Liechtenstein

« Cela va aider non seulement à soutenir les emplois au Royaume-Uni mais servira également de base solide pour renforcer plus encore la relation commerciale avec la Suisse alors que nous quittons l’UE », a-t-il dit dans un communiqué.

La ministre liechtensteinoise des Affaires étrangères, Aurelia Frick, était également présente lors de la cérémonie de signature. L’accord entre la Suisse et la Grande-Bretagne s’étend au Liechtenstein grâce à l’accord douanier avec la Suisse.

Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Suisse & UE : L’ignoble chantage de Bruxelles contre la Suisse avec un accord cadre imposé par l’UE

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Quels sont les leviers d’action de l’Union européenne vis-à-vis de la Suisse?

Alors que la Suisse est en pleine consultation sur l’accord-cadre, les pressions de Bruxelles augmentent.

Bruxelles exige que Berne signe l’accord institutionnel Suisse-UE tel quel. Le Conseil fédéral, pour sa part, a lancé des consultations pour identifier les points de friction. Quels sont les leviers d’action que l’Union pourrait activer vis-à-vis de la Suisse?

Depuis le 1er janvier 2019, dix organisations humanitaires suisses n’ont plus accès au financement de l’Union européenne, révélait lundi SRF. Officiellement, la décision de la Commission européenne est liée à des questions juridiques et non aux négociations sur la conclusion d’un accord institutionnel entre la Suisse et l’UE.

A quelques semaines de la sortie du Royaume-Uni de l’UE, les signaux d’un durcissement se multiplient à l’égard des pays non membres, Suisse comprise, relève Cenni Najy, spécialiste des questions européennes au Forum de politique étrangère Foraus. « La Suisse est en quelque sorte une victime collatérale du Brexit, puisque l’idée de Bruxelles est d’éviter de créer un précédent qui pourrait servir au Royaume-Uni », ajoute-t-il.

« L’UE privilégie les leviers d’action surprise »

Cenni Najy avoue n’avoir pas vu venir le frein au financement des ONG. Cette imprévisibilité est selon lui une stratégie de l’Union européenne. « L’UE privilégie les leviers d’action surprise. (…) Cela préfigure ce que l’UE va faire dans les prochains mois, c’est-à-dire continuer à enfoncer des aiguilles, à faire mal », estime le chercheur.

Inattendus ou non, les leviers d’action de l’Union européenne vis-à-vis de Berne sont nombreux: équivalence boursière, l’électricité, la santé, la recherche, l’accord sur les obstacles techniques au commerce ou la participation de la Suisse aux programmes d’encouragement au cinéma, etc.

Bruxelles a d’ailleurs posé récemment une condition au renouvellement des accords d’accès au marché. Ces derniers ne seront actualisés que si c’est dans l’intérêt de l’Union européenne. Une clause qui sonne comme un avertissement à la Suisse.

Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Santé publique : Un pharmacien Suisse propose une alternative naturelle à un médicament contre les refroidissements

UN PHARMACIEN VAUDOIS FAIT TOUSSER NEOCITRAN

En fin d’article : Les dangers du paracétamol et des antidouleurs.

Alexandre Lo Russo a critiqué le fameux traitement sur les réseaux sociaux et propose une recette simple pour le remplacer. Cela n’a pas plu au distributeur.

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