Reprends-en une cuillère tant que tu consommes si non, restes muselé !

Reprends-en une cuillère tant que tu consommes si non, restes muselé !

Vous commencez à nuire à la santé publique bien plus que le tabac et l’alcool réunis  M’sieurs dames les élites et si vous voulez une insurrection, vous allez droit dans la bonne direction !

« On peut ôter son masque pour manger son pop-corn » au cinéma, rappelle la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot

Interrogée sur les mesures sanitaires dans les salles de spectacles et de cinéma, Roselyne Bachelot, ministre de la Culture a rappelé, ce vendredi, que tout a été mis en place pour respecter la règle du port du masque, obligatoire partout, et la distanciation sociale, imposée dans les salles de spectacle et de cinéma des départements en zone rouge. Elle a également souligné qu’il « est autorisé de consommer des confiseries dans les salles de cinéma, ce qui est un élément de rentabilité (des salles) ».

R’ajoutez-en quelques couches tant qu’on y est !!!!!

Et que les gens ne s’en rendent pas compte, cela frise  lindécence.!  Une grande farce de guignols ! Vous commencez vraiment à nous les briser grave, mais vraiment très grave ! (ndlr.)

Stéphane Guibert / Finalscape

 

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Consommation : Se passer de lait, est-ce possible dans des pays comme la France ou la Suisse ?

Consommation : Se passer de lait, est-ce possible dans des pays comme la France ou la Suisse ?

Alors que le fromage fait partie de l’ADN de pays comme la France ou la Suisse, faire du fromage sans lait … Qu’en pensez-vous ?

« Est-ce que c’est à la vache laitière de céder sa place, pour qu’on puisse rouler en voiture? » Ce n’est plus un secret, l’industrie laitière est gourmande en énergie. Alors pour sauver la planète, doit-on abandonner les produits laitiers?

Les lobbies du lait nous poussent à en consommer  alors que de plus en plus d’associations tentent à démontrer que les produits laitiers sont nocifs pour l’organisme humain… Serions-nous prêts à nous passer de cet or blanc ?

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse

Alimentation : Le lait serait entre autres problématiques un accélérateur du cancer

De plus en plus montrés du doigt les produits laitiers qui depuis la fin de la dernière guerre mondiales étaient qualifiés comme étant des aliments indispensables pour notre santé semblent aujourd’hui quitter leur piédestal tant les études qui se multiplient depuis 25 ans à leur encontre tentent de démontrer leurs méfaits sur notre organisme.

Ce qu’il faut savoir entre autres et selon le journaliste  Thierry souccar ,c’est que les protéines qui composent le lait sont très actives et elles accélèrent la multiplication des cellules, ce qui peut avoir des impacts graves lors de cancers car les protéines contenues dans le lait jouent alors un rôle d’accélérateur des cellules malades, ce qui a été démontré expérimentalement et cliniquement.  Il existe des études épidémiologiques extrêmement convaincantes sur le sujet.

50% de la production mondiale d’antibiotiques est réservée à l’élevage, ces antibiotiques se retrouvent dans le lait que nous consommons.

Si nous nous penchons à présent sur nos enfants, ces êtres fragiles qu’il faut protéger envers et contre tout, sachez qu’en donnant constamment à ces chères têtes blondes du lait ou tout autre produit dérivé bourré de pesticides et d’antibiotiques pendant qu’ils sont en train de construire leur écosystème intestinal, on va détruire les bonnes bactéries de ces enfants et les affaiblir immunitairement durant toute leur vie.

Le lait de vache est destiné à un veau qui grandit de 0 à 300 kilos en l’espace de 6 mois. Ce lait contient donc des facteurs de croissance qui ne sont pas destinés à l’homme.

Décidément, il n’y a pas un jour qui se passe sans que l’on se rende compte à quel point la société de consommation dans laquelle nous évoluons est tapissée de mensonges éhontés de la part des lobbyistes qui se jouent de notre santé afin d’engranger des bénéfices toujours plus faramineux.

Une alimentation saine et équilibrée est le secret pour se sentir bien dans son corps et dans son esprit.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Consommation : Pendant que des bouches ne parviennent pas à se nourrir, certaines grandes enseignes se débarrassent de leurs invendus

Consommation : Pendant que des bouches ne parviennent pas à se nourrir, certaines grandes enseignes se débarrassent de leurs invendus

Société de consommation c’est l’hôpital qui se moque de la charité

2020 sera une année catastrophique. Je ne veux pas jouer les Nostradamus mais tous les signaux sont au rouge que ce soit sur le plan géopolitique, économique ou environnemental. Quand les générations futures verront notre mode de vie actuel ils se diront que le fait que l’espèce humaine ne ce soit pas éteinte tient du miracle, si  toutefois un miracle se produit …

L’addition qui va nous être présentée sera très lourde j’en ai bien peur !

Stéphane Guibert / Finalscape

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Le monde de la Conso : Mais quelle jouissance !

T’attends quoi pour le remplir ?

Une lampée d’hydrate de carbone à droite, une bonne dose de glyphosate à gauche mais que demande le peuple ?

Alors vas-y ! Ne te gênes pas et empoisonnes-toi ! Laborieusement, tu y vas lentement mais sûrement ! Allez et je t’en mets  une cuillère en plus et gratis si tu veux. C’est à mes frais ! C’est tellement bon ! Mmmmmmmmmmmmmmmm !

Bouffe et crève espèce de connard !

Vive la consommation et vive le

BLACK FRIDAY !

Stéphane Guibert / Finalscape

 

 

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Black Friday : Cette année, c’est le vendredi 29 novembre. Get ready for the fight !

PETIT RETOUR EN ARRIÈRE ET POUR RAPPEL: C’ÉTAIT EN 2018

Black Friday : Avez-vous fait de bonnes affaires ?

Cette année, c’est le vendredi 29 novembre qu’aura lieu cette journée d’orgie de la consommation.

Petites infos utiles sur certains des produits pour lesquels vous vous battez presque lors de cette journée : « Le black Friday » :

La fabrication d’un T-shirt nécessite 250 grammes de coton qui pour être produit a besoin de 2’500 litres d’eau. Pour un jean, il faut compter 6’800 litres d’eau, ce qui est l’équivalent de la consommation d’une personne en 12 ans.

Il faut ajouter à cela les pesticides qu’utilisent les paysans afin d’optimiser leurs récoltes. 1/4 des produits phytosanitaires utilisés dans le monde sont destinés à l’industrie du coton. Cela vous surprendra-t-il si je vous dit que le premier producteur de coton au monde se trouve être la firme Monsanto ?

Ensuite, le transport : Le coton est récolté en Inde, filé au Pakistan, tinté en Chine et cousu en Turquie. Quand il arrive dans nos magasins, il a parcouru 65’000 kilomètres.

L’autre alternative : les vêtements synthétiques ; cela n’est guère mieux. À chaque lavage, ils perdent des microfibres de plastique ce qui au sein de l’écosystème représente l’équivalent de 50 milliards de bouteilles en plastique par an qui finissent dans les océans mais sous la forme de particules ultra fines. Ces particules sont ingérées par la chaîne alimentaire qui finit dans nos assiettes. Je vous laisse imaginer les conséquences sur notre santé à court ou moyen terme.

Économie VS Écologie : Il existe des alternatives comme par exemple le chanvre, plante avec laquelle il est possible notamment de produire des vêtements ou du plastique 100% bio dégradable.

Ce ne sont pas les producteurs qui sauveront ou détruiront la planète car ils répondent à une demande de plus en plus pressante, celle des consommateurs que nous sommes et plus particulièrement de ces “Fashion”, pas si victimes que ça, car consentantes et n’ayant de cesse que d’épater la galerie avec de nouvelles fringues.

À bon entendeur.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Et les monstres iront brûler en enfer !

Source de l’image

On leur doit beaucoup : Des cancers, la maladie de Parkinson, la mort de notre écosystème … On leur doit une fière chandelle.

On leur doit tout simplement et tout bonnement l’enfer sur terre !

Le Fric ! Le pouvoir ! Voilà ce qui engendre les convoitises les plus insidieuses et elles ont eu raison de la gent humaine.

Corruption et soif de pouvoir !

Vous vous en plaignez et pourtant vous continuez à vous en nourrir en consommant à longueur de journée.

C’est l’hôpital qui se fout de la charité.

Continuez à vous gaver braves gens. Vous ne savez pas à quelle sauce vous serez mangé !

L’enfer est pavée de bonnes intentions et vous en êtes les premiers bénéficiaires.

Alors bon appétit !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

 

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Consommation : Notre civilisation est passée maître dans l’art de transformer n’importe quel rite culturel en soupe commerciale. (Vidéo)

Première publication : 23 octobre 2017

Avec la mondialisation, du Japon à la France jusque dans les moindres recoins du monde, Halloween est souvent réduit à un prétexte pour vendre tout et n’importe quoi (le plus souvent du plastique made in China). Mais à l’origine, Halloween avait un sens plus profond, fixé dans les saisons et notre rapport “local” au temps et à la nature.

Vous êtes-vous déjà demandé d’où vient la fête d’Halloween? C’est une fête dont l’origine est clairement liée au déplacement des astres. Et ça a aussi à voir avec les saisons.

Avez-vous remarqué que la date de l’Halloween est située presque au milieu de l’intervalle de temps qui sépare l’équinoxe d’automne (autour du 22 septembre) du solstice d’hiver (environ le 21 décembre)? Avouez que vous n’aviez pas fait le lien!

Les Celtes

Il y a près de 2500 ans, pour les Celtes des îles britanniques, le cycle des saisons avait une importance capitale, car il était intimement lié au cycle terrestre de la vie et de la mort. Mais leur façon de déterminer les saisons était différente.

John Mosley de l’Observatoire Griggith, à Los Angeles, raconte que, chez les Celtes, les équinoxes et les solstices avaient lieu au milieu des saisons actuelles, alors que le début de chaque saison arrivait à des dates médianes. En réalité, ce qui importait était la division de l’année en deux parties : la lumière et la noirceur; comme si leur année ne comprenait que deux saisons.

Pour eux, la transition entre la partie lumineuse de l’année et la partie sombre représentait le début de l’hiver. Ça n’arrivait donc pas le 21 décembre, mais plutôt à l’une de ces dates médianes, soit entre le 5 et le 8 novembre.

Ils célébraient la veille de cette nouvelle saison avec une fête qu’ils nommaient Samain ou Samhain pour Summer’s end. Cette célébration annonçait la mort de l’été (ou de l’automne) et la fin des moissons.

À cette ère, le lien avec l’Halloween d’aujourd’hui n’est pas encore évident, mais en y pensant bien, ces concepts de mort et de moisson s’associent parfaitement aux couleurs noir et orange. Alors, on peut imaginer que la fête de Samain est à l’origine de l’Halloween, car les deux marquent en quelque sorte la transition entre été et hiver, lumière et ombre, vie et trépas.

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Consommation : Une brique de lait équitable arrive sur le marché SUISSE

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Une brique de lait équitable arrive sur le marché SUISSE la semaine prochaine.

Comment est-ce possible ? Où la trouvera-t-on ? Et à quel prix ?

Reportage complet à voir dans Mise au point.

Un franc par litre de lait pour le producteur. Le syndicat agricole Uniterre en rêvait depuis les révoltes paysannes de 2009 et la grève du lait en 2008. Et voici qu’une brique de lait garantissant ce prix équitable sera commercialisée dès lundi chez Manor, révèle vendredi l’émission de la RTS Mise au point.

Cette brique de lait équitable est proposée par une coopérative de douze petits producteurs. Il aura fallu du tact, de la patience et de la ténacité à Anne Chenevard, présidente de la Coopérative Lait Equitable, pour que cette brique parvienne jusqu’à celui qui décidera finalement de sa viabilité : le consommateur.

Anne Chenevard, paysanne et infirmière, a d’abord essuyé les refus de Coop et Migros – 80% du commerce de détail en Suisse- avant de trouver un distributeur digne de ce nom. Manor ne représente que 3% du commerce de détail helvétique, mais compte 31 grands magasins répartis dans toutes les régions linguistiques du pays.

Manor réduit sa marge

« Notre clientèle est très attirée par les produits locaux. Ce lait équitable devrait les intéresser, j’en suis persuadé », affirme Sylvain Poinsot, un des directeurs des achats de Manor. « La brique, précise-t-il, sera vendue 1 franc 80 au lieu de 1 fr. 50. Nous avons accepté de réduire notre marge. Et la coopérative recevra donc le franc qu’elle revendique pour chaque litre de lait vendu ».

Ce nouveau produit n’existerait pas non plus sans l’accord du géant de la transformation du lait, Cremo : « Nous savions qu’il serait difficile de convaincre le Directeur de Cremo, souligne Anne Chenevard, car il avait été fortement critiqué par les manifestants lors de la grève du lait de 2008. Mais il a été convaincu par nos arguments et il a compris que les temps avaient changé ».

L’époque des manifestations est révolue, en effet. Celle des producteurs de lait aussi si l’on en croit les statistiques : ils étaient 45’000 en Suisse dans les années 90. Leur nombre est passé sous la barre symbolique des 20’000 en cette année 2019. Ce projet de lait équitable sera peut-être leur dernier combat.

Source & Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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COUP DE GUEULE – SNCF : Message d’une maman très en colère

Mise à jour : vendredi 13 septembre 2019 – 16:56 –

Ça aurait du être un post “Celui qui prend le train tout seul pour la première fois pour aller aider son Papa à la ferme”

En fait je suis extrêmement en colère ! Et je vais vous demander de reprendre cette photo et sa légende si vous le souhaitez.

Gauthier est donc monté dans un train pour faire 10 km, rejoindre son Papa qui l’attendait à l’arrivée, 10 minutes plus tard, muni d’un billet numérique d’une valeur de 2,60€, à son nom mais tarif adulte car l’application Oui SNCF n’a pas voulu m’éditer de billet 4-11 ans.

Mon fils m’a appelé 10 minutes plus tard, paniqué, me demandant de lui envoyer son passeport par texto car une contrôleuse lui disait qu’il n’était pas en règle. Je demande à parler à cette personne et j’envoie en même temps le passeport par texto. Je lui demande quel est le problème : elle me répond qu’il doit prouver qu’il n’a pas 13 ans. Logique. Il fait si grand. Mais je lui rétorque quand même que je ne vois pas le problème puisqu’il a un billet adulte suite à un bug de l’application. Puis je réalise que 13 minutes sont passées. Je demande à Gauthier s’il est à la gare d’arrivée ? Il me répond très angoissé qu’on l’a empêché de descendre. Bon. Mon mari attend donc pour rien. La contrôleuse me prévient que mon fils va avoir une amende de 50€. Pour un billet qui n’est pas au bon tarif. Il aurait du avoir un billet à 1,40€. Mon fils de 11 ans a donc été retenu comme un fraudeur, empêché de descendre, emmené vers une gare inconnue où personne ne l’attendait pour avoir payé 1,20€ DE TROP son billet. Et quand je suis allée, calmement, demander dans ma gare à parler à un responsable on m’a répondu que personne ne pouvait me parler qu’on ne prenait plus de plainte en gare.

Je suis TRÈS EN COLÈRE. Non seulement j’ai payé un titre de transport, mais j’ai même payé plus cher à cause d’un dysfonctionnement. Et mon fils a été mis dans une situation anxiogène et qui aurait pu être dangereuse s’il n’avait pas pu nous appeler ! Et personne ne peut me rendre de compte face à face ?

Après des milliers de commentaires et partages sur les réseaux sociaux, voici un autre son de cloche :

La maman d’un garçon de 11 ans a publié, ce mercredi 11 septembre 2019, sur les réseaux sociaux, un texte dénonçant l’attitude d’agents de la SNCF. Selon elle, son fils, monté dans un TER à Chartres, a été empêché de descendre à son arrêt de La Taye à cause d’un contrôle de billet. La SNCF répond et livre sa version, évoquant « une protection de l’enfant ».

C’est une mésaventure ferroviaire qui nourrit de nombreux commentaires et partages sur les réseaux sociaux, depuis ce mercredi 11 septembre. Dans la soirée de mercredi puis dans la matinée de ce jeudi, Emmanuelle Drouhin-Ferrand, maman d’un garçon de 11 ans, a publié, notamment sur Facebook, un texte dénonçant l’attitude d’agents de la SNCF, vis-à-vis de son fils.

Cette Chartraine raconte avoir accompagné son fils pour qu’il prenne le train à la gare de Chartres, ce mercredi 11 septembre. Le jeune garçon est monté dans le train TER de 14h38, à destination de la gare de La Taye (à Saint-Georges-sur-Eure), pour un trajet de 10 minutes (arrivée prévue à 14h48). Il devait rejoindre son père agriculteur à la gare, pour passer l’après-midi.

Emmanuelle Drouhin-Ferrand explique avoir acheté elle-même le billet en ligne : « C’était son premier trajet seul. J’ai pris son billet numérique à son nom, sur l’application OUI SNCF. Je ne suis pas parvenue à prendre un billet enfant. Dans le doute, j’ai pris un billet adulte au prix de 2,60 € ».

Tout se complique une fois dans le TER, selon la maman : « Le train parti, une contrôleuse SNCF explique à mon fils qu’il n’est pas en règle. Elle demande ses papiers d’identité pour prouver qu’il n’a pas 13 ans. Paniqué, mon fils me téléphone et j’envoie sur son portable un texto avec son passeport. Je ne voyais pas vraiment le problème. J’ai ensuite réalisé que 13 minutes étaient passées depuis le départ du train. J’ai demandé à mon fils s’il était bien arrivé à la gare de La Taye. Il m’a répondu qu’on l’avait empêché de descendre. La contrôleuse me prévient que mon fils va avoir une amende de 48 €. Pour un billet qui n’est pas au bon tarif, car il aurait dû avoir un billet enfant à 1,40 €. »

« Il y a une disproportion »

Le jeune garçon est descendu, accompagné d’un agent, à la gare suivante, à Bailleau-le-Pin. Une situation qui agace Emmanuelle Drouhin-Ferrand : « Il y a une disproportion. Heureusement que mon fils avait un portable. Sinon, les contrôleurs l’emmenaient faire toute la tournée avec eux avant de le ramener à la gare de Chartres à 16h30. Mais il se passait quoi ensuite ? Mon mari attendait mon fils à La Taye. On n’a trouvé aucun responsable pour parler de la situation ensuite. »

Contactée par L’Echo Républicain, la SNCF donne sa position. Marjorie Hetté, responsable communication de SNCF Mobilités Centre-Val de Loire, explique : « Il y avait trois agents à bord de ce train. Ils ont vu un mineur voyager seul. Dans ce cas-là, il faut être attentif à l’enfant. Pour nos collègues, c’est la préoccupation première. Il faut vérifier son âge et son identité, car il y a aussi des enfants fugueurs, par exemple. C’est aussi une procédure dans l’intérêt de l’enfant. Ils ont été vigilants. »

La SNCF évoque également le contrôle du billet de l’enfant : « Il est normal que le contrôleur s’assure de la date de naissance par rapport au tarif du titre de transport. Ce n’est pas abusif. Pour un mineur, il s’agit aussi de vérifier qu’il est normal que l’enfant voyage seul. Ce qui explique l’appel à la maman et la demande d’envoi d’une pièce d’identité. Comme le trajet est très rapide entre Chartres et La Taye, le temps de l’échange par téléphone, l’enfant n’a pas pu descendre à La Taye. Les contrôleurs ont décidé de l’accompagner et de le remettre à un agent à la gare suivante de Bailleau-le-Pin. Le garçon était sous la garde d’un agent SNCF, jusqu’à ce que le papa vienne récupérer son enfant. »

« Pas de procès-verbal dressé, donc pas d’amende »

La responsable communication de SNCF Mobilités Centre-Val de Loire rejette toute volonté de nuire et se dit prête à échanger avec Emmanuelle Drouhin-Ferrand : « Je précise que le tarif enfants est bien disponible et existe sur la plateforme OUI SNCF. Il y a peut-être eu un problème. Par ailleurs, il faut préciser qu’il n’y a pas eu de procès verbal de dressé par les agents SNCF par rapport à cette situation, donc pas d’amende. Après, peut-être qu’un des agents a seulement indiqué le montant prévu en cas d’infraction, juste pour information. Dans le pire des cas, il y a peut-être eu de la maladresse dans l’expression, mais l’intention n’était pas de piéger l’enfant ou le mettre mal à l’aise. Il y a une vigilance et la vérification lui a fait rater son arrêt. On peut comprendre le désarroi des parents et on s’en excuse. Mais il n’y avait pas de mauvaises intentions et l’enfant n’a jamais été laissé seul. Nous sommes prêts à échanger avec cette maman pour discuter. »

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Alimentation : Arnaque alimentaire, ATTENTION à l’olive noire trop parfaite !

On vous dupe sur la texture, sur la saveur, sur la couleur ! Les olives noires cachent parfois des secrets de fabrication.

Une fois de plus, le profit avant la sécurité : Une olive verte déguisée en olive noire dont la couleur est biaisée par un  additif bien chimique, le gluconate ferreux   : cela vous tente ? Alors bon apéro !

Les additifs alimentaires pourraient être considérés à faibles doses comme inoffensifs mais le problème réside dans le fait qu’ils sont ajoutés dans la quasi totalité de ce que nous ingérons aujourd’hui en matière d’alimentation industrielle.

Je ne sais pas jusqu’où ira la malhonnêteté de certains fabricants pour rentabiliser et faire de l’argent mais au fil des révélations il faut se rendre à cette triste évidence, c’est que leur porte monnaie importe plus que votre santé.

Témoignage édifiant d’une société bien malade que nous cautionnons par nos actes de consommateurs de tous les jours et c’est bien là qu’est toute la tristesse !

Stéphane Guibert / Finalscape

 

Crédit vidéo France 5

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