Mondialisation, Capitalisme, Néolibéralisme, Ubérisation : Attention Danger de Mort !

Attention Danger !

Nous sommes face à des multinationales qui nous font croire qu’elles font juste la relation entre des clients et des travailleurs mais qui sont en fait en statut d’auto-entrepreneur et leur objectif est d’organiser un dumping social de folie.

L’Ubérisation c’est la paupérisation. C’est un nouvel esclavage moderne, un capitalisme à l’état pur qui peut se résumer à travers cette promesse de Travis Kalanick, le patron d’Uber qui dit :

« Mon projet est politique, c’est d’imposer un modèle du travailleur sans droit« 

L’Ubérisation c’est quand une plateforme prétend mettre en relation, mais en fait, c’est un capitalisme de la rente qui s’exonère de toute obligation d’employeur, zéro cotisations sociales et s’exonère aussi de ses obligations fiscales.

L’Ubbérisation, dans cette relation, casse les réglementations des métiers et paupérise.

Au niveau du Taxi, ils l’on paupérisé en ne respectant aucune des réglementations et ils exploitent et surexploitent les chauffeurs VTC à qui ils avaient promis de bonnes rémunérations…

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Gros coup de colère d’un citoyen Belge lucide. (False Flag) attentat commis sous fausse bannière.

Cette vidéo remonte au mois de juillet 2016 et fait suite au terrible attentat qui s’était déroulé à Nice.

Ce citoyen n’a pas peur de la froideur et même de la violence des mots qu’il emploi. Ce citoyen éveillé est tout simplement en colère et la magie du net lui permet de partager son émotion.

Donc attention à la dureté des propos.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Peter Moore : GLOIRE À LA RÉSISTANCE !!! La résolution de l’ONU sur les colonies israéliennes adoptée

GLOIRE À LA RÉSISTANCE !!! 😎
La résolution de l’ONU sur les colonies israéliennes adoptée

Le début de la fin pour le territoire palestinien nommé Israël



Une résolution réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens a été adoptée vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU après la décision des États-Unis de ne pas utiliser leur droit de veto.

Dans un renversement de leur position habituelle sur ce dossier, les États-Unis se sont abstenus. Les 14 autres membres du Conseil de sécurité ont eux voté en faveur du texte.

Il s’agit d’«un grand camouflet» pour Israël, a immédiatement réagi Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne. «Il s’agit d’une condamnation internationale unanime de la colonisation et d’un fort soutien à une solution à deux États», a-t-il ajouté

Le vote, qui a été accueilli par des applaudissements, avait été réclamé par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela.

Ces quatre pays se sont impliqués après la volte-face du Caire qui avait proposé mercredi soir cette résolution rédigée par les Palestiniens et présentée au nom du groupe arabe à l’ONU. Mais l’Égypte avait demandé jeudi le report du vote initial, après une intervention du président élu américain Donald Trump auprès du président Abdel Fattah al-Sissi.

Ce texte qui exhorte Israël à «cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est», a déclenché une offensive diplomatique de la part de l’État hébreu qui s’est immédiatement tourné vers son allié américain.

Washington a en effet utilisé son droit de veto trente fois pour bloquer des résolutions concernant Israël et les Palestiniens, selon l’organisation Security Council Report.

C’est en 2009, concernant un appel à un cessez-le-feu à Gaza, que les États-Unis se sont abstenus pour la dernière fois lors d’un vote au Conseil de sécurité quel qu’en soit le thème.

En 2011, ils avaient opposé leur veto à une résolution similaire au projet égyptien. Mais cinq ans plus tard, la position de l’administration de Barack Obama, qui entretient des relations notoirement exécrables avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, faisait l’objet de nombreuses spéculations.

Il est finalement apparu clair aux Israéliens qu’à quelques jours de céder le pouvoir à Donald Trump –dont l’une des promesses de campagne est de reconnaître Jérusalem comme «capitale indivisible» d’Israël–, l’équipe Obama n’avait pas l’intention de faire usage de son droit de veto.

«Quand ils ont eu connaissance du fait que (l’administration américaine actuelle) ne mettrait pas son veto à cette résolution, des responsables israéliens ont pris contact avec des membres de l’équipe de transition de M. Trump pour demander l’aide du président élu», a affirmé vendredi à l’AFP un responsable israélien sous couvert d’anonymat.

Donald Trump qui avait très vite plaidé pour un veto américain dans une rare prise de position pour un président élu, a alors appelé le président Sissi, selon un communiqué de la présidence égyptienne.

«Les deux dirigeants se sont mis d’accord sur l’importance de donner à la nouvelle administration américaine (que dirigera M. Trump à partir du 20 janvier) une chance de gérer tous les aspects de la cause palestinienne pour arriver à un accord complet» sur le dossier, d’après ce communiqué.

Le retournement du président égyptien a surpris, mais il fait suite à de nombreuses preuves d’admiration pour M. Trump. Cet ancien officier de l’armée avait renversé son prédécesseur islamiste en 2013, un acte condamné par M. Obama.

Un haut responsable israélien a aussi accusé vendredi Barack Obama et son secrétaire d’Etat John Kerry d’être à l’origine du projet de résolution égyptien.

«L’administration américaine a secrètement concocté avec les Palestiniens une résolution anti-israélienne radicale, derrière le dos d’Israël, qui encouragerait le terrorisme et les boycotts», a-t-il déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat.

Par ailleurs, le président élu Donald Trump a fait savoir vendredi que «les choses seront différentes à l’ONU» après son arrivée à la Maison Blanche dans un mois. «Concernant l’ONU, les choses seront différentes après le 20 janvier», a simplement tweeté M. Trump.

«Le texte que nous avons ne se concentre pas exclusivement sur les colonies. Il condamne également la violence et le terrorisme. Il appelle aussi à éviter toute incitation émanant du côté palestinien, donc c’est un texte équilibré», a cependant jugé l’ambassadeur de France auprès des Nations unies, François Delattre.

«L’objectif principal que nous avons ici est de préserver et de réaffirmer une solution à deux États» palestinien et israélien qui cohabiteraient dans la paix et la sécurité, a expliqué M. Delattre.

Le projet égyptien considère à ce sujet que la colonisation est «dangereuse pour la viabilité d’une solution à deux États».

La colonisation est vue comme un frein majeur au processus de paix, les constructions israéliennes étant effectuées sur des terres qui pourraient appartenir à un futur État palestinien.

Les Nations unies la considèrent comme illégale au regard du droit international et ont appelé à plusieurs reprises Israël à y mettre fin. Malgré cela, des responsables onusiens ont constaté une augmentation des constructions ces derniers mois et certains responsables israéliens voient l’élection de Donald Trump comme une opportunité d’étendre la colonisation.

Le début de la fin pour le territoire palestinien nommé Israël

Une résolution réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens a été adoptée vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU après la décision des États-Unis de ne pas utiliser leur droit de veto.

Dans un renversement de leur position habituelle sur ce dossier, les États-Unis se sont abstenus. Les 14 autres membres du Conseil de sécurité ont eux voté en faveur du texte.

Il s’agit d’«un grand camouflet» pour Israël, a immédiatement réagi Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne. «Il s’agit d’une condamnation internationale unanime de la colonisation et d’un fort soutien à une solution à deux États», a-t-il ajouté

Le vote, qui a été accueilli par des applaudissements, avait été réclamé par la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela.

Ces quatre pays se sont impliqués après la volte-face du Caire qui avait proposé mercredi soir cette résolution rédigée par les Palestiniens et présentée au nom du groupe arabe à l’ONU. Mais l’Égypte avait demandé jeudi le report du vote initial, après une intervention du président élu américain Donald Trump auprès du président Abdel Fattah al-Sissi.

Ce texte qui exhorte Israël à «cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est», a déclenché une offensive diplomatique de la part de l’État hébreu qui s’est immédiatement tourné vers son allié américain.

Washington a en effet utilisé son droit de veto trente fois pour bloquer des résolutions concernant Israël et les Palestiniens, selon l’organisation Security Council Report.

C’est en 2009, concernant un appel à un cessez-le-feu à Gaza, que les États-Unis se sont abstenus pour la dernière fois lors d’un vote au Conseil de sécurité quel qu’en soit le thème.

En 2011, ils avaient opposé leur veto à une résolution similaire au projet égyptien. Mais cinq ans plus tard, la position de l’administration de Barack Obama, qui entretient des relations notoirement exécrables avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, faisait l’objet de nombreuses spéculations.

Il est finalement apparu clair aux Israéliens qu’à quelques jours de céder le pouvoir à Donald Trump –dont l’une des promesses de campagne est de reconnaître Jérusalem comme «capitale indivisible» d’Israël–, l’équipe Obama n’avait pas l’intention de faire usage de son droit de veto.

«Quand ils ont eu connaissance du fait que (l’administration américaine actuelle) ne mettrait pas son veto à cette résolution, des responsables israéliens ont pris contact avec des membres de l’équipe de transition de M. Trump pour demander l’aide du président élu», a affirmé vendredi à l’AFP un responsable israélien sous couvert d’anonymat.

Donald Trump qui avait très vite plaidé pour un veto américain dans une rare prise de position pour un président élu, a alors appelé le président Sissi, selon un communiqué de la présidence égyptienne.

«Les deux dirigeants se sont mis d’accord sur l’importance de donner à la nouvelle administration américaine (que dirigera M. Trump à partir du 20 janvier) une chance de gérer tous les aspects de la cause palestinienne pour arriver à un accord complet» sur le dossier, d’après ce communiqué.

Le retournement du président égyptien a surpris, mais il fait suite à de nombreuses preuves d’admiration pour M. Trump. Cet ancien officier de l’armée avait renversé son prédécesseur islamiste en 2013, un acte condamné par M. Obama.

Un haut responsable israélien a aussi accusé vendredi Barack Obama et son secrétaire d’Etat John Kerry d’être à l’origine du projet de résolution égyptien.

«L’administration américaine a secrètement concocté avec les Palestiniens une résolution anti-israélienne radicale, derrière le dos d’Israël, qui encouragerait le terrorisme et les boycotts», a-t-il déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat.

Par ailleurs, le président élu Donald Trump a fait savoir vendredi que «les choses seront différentes à l’ONU» après son arrivée à la Maison Blanche dans un mois. «Concernant l’ONU, les choses seront différentes après le 20 janvier», a simplement tweeté M. Trump.

«Le texte que nous avons ne se concentre pas exclusivement sur les colonies. Il condamne également la violence et le terrorisme. Il appelle aussi à éviter toute incitation émanant du côté palestinien, donc c’est un texte équilibré», a cependant jugé l’ambassadeur de France auprès des Nations unies, François Delattre.

«L’objectif principal que nous avons ici est de préserver et de réaffirmer une solution à deux États» palestinien et israélien qui cohabiteraient dans la paix et la sécurité, a expliqué M. Delattre.

Le projet égyptien considère à ce sujet que la colonisation est «dangereuse pour la viabilité d’une solution à deux États».

La colonisation est vue comme un frein majeur au processus de paix, les constructions israéliennes étant effectuées sur des terres qui pourraient appartenir à un futur État palestinien.

Les Nations unies la considèrent comme illégale au regard du droit international et ont appelé à plusieurs reprises Israël à y mettre fin. Malgré cela, des responsables onusiens ont constaté une augmentation des constructions ces derniers mois et certains responsables israéliens voient l’élection de Donald Trump comme une opportunité d’étendre la colonisation.

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Guerres : BHL dans ses petits souliers face à un journaliste qui l’interview sur la Palestine

Bernard Henri-Lévy était l’invité d’une émission d’Al-Jazeera au cours de laquelle un échange musclé s’est déroulé avec le journaliste, bien curieux de savoir pourquoi le philosophe n’avait jamais demandé d’intervention internationale contre Israël.

« Vous avez dit lors de cet entretien que vous étiez favorable à des interventions [militaires] lorsque les populations demandaient de l’aide face à l’oppression et la violence. Mais alors, pourquoi n’avez-vous jamais appelé à intervenir contre les forces d’occupation en Cisjordanie ? Pourquoi n’avez-vous pas demandé de zone d’exclusion aérienne à Gaza en 2014 lorsque l’aviation israélienne a tué 500 enfants palestiniens en un été ? Pourquoi un tel deux poids deux mesures ? »

Voilà la question posée par un journaliste d’Al-Jazeera qui a mis Bernard Henri-Lévy bien mal à l’aise lors de son entretien donné à la chaîne qatarie.

Un GRAND Merci au groupe Cora pour ce moment d’exception.

 

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Edward Snowden interroge Vladimir Poutine à la télévision russe

Une première apparition remarquée en Russie pour Edward Snowden.
L’ancien consultant de l’Agence américaine de sécurité, inculpé d’espionnage dans son pays et réfugié dans un lieu tenu secret en Russie, a posé une question par vidéo interposée à Vladimir Poutine, lors d’une séance de questions-réponses télévisée du président russe ce jeudi. C’est le premier contact direct connu entre les deux hommes.

Edward Snowden :
“J’aimerais vous demander, est-ce que la Russie intercepte, stocke ou analyse d’une quelconque façon les communications de millions d’individus, et est-ce que vous croyez que le fait d’accroître l’efficacité des services de renseignements ou de renforcer les moyens d’investigation peut justifier le placement de toute une société sous surveillance ?”

Edward Snowden a posé sa question en américain et le président russe a demandé de l’aide au présentateur pour la traduction.

Puis Vladimir Poutine, espion pendant 16 ans au KGB, a provoqué des rires sur le plateau quand il a dit :
“ Vous êtes un ancien agent, j’ai eu quelques liens avec les services de renseignements, alors nous nous parlerons en langage de professionnels.”

Ensuite, le président russe a répondu à Snowden :

“Bien sûr, nous avons en tête le fait que les moyens modernes de communications peuvent être utilisés par des criminels et par des terroristes pour leurs activités criminelles. Les services spéciaux utilisent ces mêmes moyens modernes et doivent combattre de tels groupes criminels.
Donc bien sûr, nous espionnons, mais pas à grande échelle, et j’espère que nous ne le permettrons jamais.
Nous avons un règlement juridique strict concernant l’utilisation par les services spéciaux de ces moyens, notamment des écoutes téléphoniques et de la surveillance sur internet, c’est pour cela qu’une surveillance aussi massive et aveugle ne peut pas exister chez nous.
De plus, nous n’avons ni les moyens matériels ni l’argent qu’ont les Etats-Unis pour le faire.”

Edward Snowden est à l’origine de multiples révélations sur la NSA. Il a obtenu le statut de réfugié en Russie pour un an, en août dernier, après avoir passé plus d’un mois dans la zone de transit de l’aéroport Moscou-Cheremetièvo.

 

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Une affaire de passeports : Etranges similitudes lors d’attentats

  • Attentats du 11 septembre 2001, on retrouve le passeport de Satam Al Suqami.
  • Attentat Charlie Hebdo 7 janvier 2015, une carte d’identité au nom de Saïd Kouachi a été retrouvée à l’intérieur d’un véhicule.
  • Attentats de Paris 13 novembre 2015, découverte d’un passeport syrien aux abords de l’établissement le Bataclan.
  • Attentat de Nice 14 juillet 2016, on retrouve les papiers d’identité d’un Franco-Tunisien à l’intérieur du camion qui a foncé dans la foule.
  • Attentat de Berlin 19 décembre 2016, la police allemande a retrouvé des papiers d’identité à l’intérieur du camion qui a également foncé dans la foule.

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Environnement : Une gigantesque onde d’énergie en provenance d’une source inconnue Frappe la Terre continuellement depuis le 19/12/2016

Une gigantesque onde énergétique affecte la planète toute entière et cela a été détecté par ERREUR par le MIMIC TPW microwave background imagery. L’activité inconnue est toujours d’actualité en ce 20 décembre 2016 à 1h20 du matin (US Standard Central Time).

Ce n’est pas un FAKE, ce n’est pas une erreur, et ce n’est pas un bug – à moins qu’un universitaire a décidé de falsifier ces informations pour certaines raisons.

Ce système ne montre d’habitude que les précipitations et la vapeur d’eau, mais dans certaines instances rares, de puissantes ondes énergétiques peuvent être vues lorsque les vents solaires, cosmiques ou autres phénomènes d’énergies impactent la planète.

Vous avez déjà vu les effets des vents solaires, leur formation et les risques potentiels si jamais un de ces vents solaires venait à frapper notre planète de plein fouet – mais cette « onde » ne provient pas du soleil du tout selon le système d’imagerie MIMIC.

L’énergie englobe TOUTE la planète entière pendant plusieurs heures d’affilée avant de revenir.

La première onde a été détectée le 18 décembre à 15h00 GMT 0 et la Terre est toujours bombardée par cette énergie.

Une vérification des écrans de surveillance des Rayons-X grâce à GOES montre que l’activité solaire est minime, il n’y a pas de tempêtes solaires majeures, la quantité d’électrons dans la ionosphère est « minimal » et donc la source de cet événement est « inconnue ».

Si cet « événement » se poursuit la Terre risque de subir les pires conséquences climatologiques jamais vécues.

Ces micro-ondes convertissent l’énergie DC en « rectenna » naturelle comme cela les ondes sont piégées dans la magnétosphère terrestre – les ondes radios convertissent ensuite l’énergie du DC et elles sont envoyées au coeur de la Terre, dans son noyau.

Un taux très anormal d’énergie touche le noyau de la planète et les conséquences sont INCONNUES à l’heure actuelle. Attendez-vous certainement à plus de tempêtes, de vents, d’orages et une augmentation de l’activité volcanique.

Je ne sais pas comment vous le dire mais c’est la première fois que je découvre de telles infos avec MIMIC. Personne ne sait ce qu’il peut arriver, c’est du jamais vu. Restez en contact avec l’info et les futures mises à jour.

 

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Science et vie : Une société sans le concept de la publicité serait-elle possible ?

Expérience intéressante filmée par une équipe de « Nouvo » et produite par la chaîne de télévision Suisse, RTS.

Mon regard n’est pas à vendre !

Le but de l’opération est d’interdire la pub imposée dans les lieux publics. Ce qui est intéressant de savoir, c’est qu’à Grenoble par exemple, la pub commerciale a été remplacée par des arbres.

Stéphene Guibert / Finalscape

 

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Cette vidéo est une bombe ! L’enseignement de l’arabe à l’école française

L’OCI est une organisation intergouvernementale créée le 25 septembre 1969 .Son siège se situe Djeddah en Arabie Saoudite et elle possède une délégation permanente aux Nations unies.

Pourquoi Najat Vallaud-Belkacem, ministre française, d’après Alain Wagner, officie auprès de l’ISESCO (L’Organisation Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture) et l’OCI (L’Organisation de la coopération islamique) ?

(Extrait d’une émission de radio courtoisie avec Alain Wagner, porte-parole de l’Union de défense des citoyens, datant du 16-09-2016)

ATTENTION !!!

Cet article n’a pas vocation de discriminer quoi que ce soit ou qui que ce soit. Il s’agit de l’application de mesures mises en place entre certains pays Arabes et l’occident dans les années 70 et si l’on en croit les intervenants de cette émission, on comprendra alors mieux ce qui se passe aujourd’hui en Europe et dans le monde.

Je vous invite à écouter ce document dans son intégralité avant de commenter.

Guibert Stéphane

 

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Science et vie : Expérience proche de la mort, y a-t-il une vie après la vie ?

Voilà une question que la plus part d’entre nous nous posons. Les expériences proches de la mort ou lors d’un profond coma sont relatées de manières plus ou moins similaires par celles et ceux qui sont passé par là.

J’ai moi-même fait une expérience proche de toutes celles qui sont évoquées lors d’interviews bien que mon état de santé n’était pas en danger. J’ai vécu cette expérience comme un rêve puissant :

Je devais avoir une dizaine d’années lorsque durant mon sommeil je me suis senti aspiré hors de mon corps j’ai également passé par ce tunnel de lumière et arrivé au bout, un homme se tenait là en me tendant les bras et en me souriant. Le sentiment d’amour que j’ai ressenti à ce moment était si fort, je dirais même si violent que celà en était insupportable. Je me suis ensuite réveillé brutalement avec ce désagréable sentiment d’une chute vertigineuse dans le vide.

Petite anecdote : Plus aucune montre ne fonctionne correctement sur mon poignet depuis ce moment unique de ma vie et les personnes qui s’intéressent sérieusement à la chose me disent à l’unanimité que c’est lié.

Voici une vidéo d’une dizaine de minutes qui explique tout d’abord ce qu’est une NDE, ensuite le témoignage d’une dame ayant fait l’expérience mais qui elle était en état de mort clinique et enfin, de très belles images d’un voyage cosmique.

Stéphane Guibert / Finalscape

 

ENIGMA « Return to innocence » (Long and Alive version)

Sous-titrée en Français

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