L’armée se prépare à devoir intervenir sur des parties du territoire Français …
Une guerre civile menace la France somnolente, affaiblie, fracturée.les carabiniers arrivent lentement , mais ils arrivent. Ils ne seront pas de trop pour dissuader ceux qui, confrontés à la défaillance de l’État, pourraient en venir à assurer leur propre défense. Constatons, pour l’instant, le remarquable comportement de la société civile, qui refuse le piège de la violence mimétique.
L’expression qui sera rapidement sur toutes les premières pages, c’est « opération Ronces ».
Il est vrai qu’Eric Zemmour ne laisse pas indifférent, il ne mâche pas ses mots, il sait jouer de l’audience qu’on lui offre (bizarrement trop ?) facilement, et ses fidèles assurent qu’on ne l’a jamais pris en défaut d’information, jusqu’à présent. Toute occasion de diversion étant bonne à prendre, une partie de la presse, peu gênée de commenter un livre qu’elle n’a pas lu, annonce que M. Zemmour vient de révéler le plan de l’armée française pour reconquérir les terres perdues par la France en métropole. Une autre partie de la presse, qui a lu les trois lignes en question, annonce qu’il a révélé, du moins, l’existence et le nom de ce plan.
Jiddu Krishnamurti disait : « Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être adapté à une société malade »
MALI ET HOMMAGE AUX VICTIMES
Ce n’est pas la photo d’un enfant couché paisiblement comme en voit un peu partout en Afrique.
Non, c’est pas non plus un enfant enrobé dans le pagne de sa mère.
Cet ange est une victime de la barbarie humaine.
Ce bébé est une victime de la bêtise humaine.
Il a été tué, sa mère, son père, ses frères, ses sœurs et son village aussi.
Il ne se couvre pas les yeux parce qu’il a peur, non, il exprime sa honte.
Sa honte face à ce qu’est devenu l’humanité.
Sa honte face à la lâcheté de ceux qui l’ont assassiné sans égard à son âge.
Il ira se plaindre, il se plaindre chez Dieu.
Son histoire s’est éteinte sans commencer.
Lui, c’est l’une de la centaine de victimes de Sobane Da dans la région de Mopti au Mali.
Lui, c’est l’une des milliers de victimes civiles des conflits au Mali.
Lui, c’est pas un nombre, c’est pas un chiffre, c’est pas une statistique, c’est un être humain mort, mort sans savoir pourquoi !
Hommage à toutes les victimes des conflits absurdes au Mali.
Bannissons les armes nucléaires avant qu’il ne soit trop tard !
Un clip du comité international de la croix-rouge appel au bannissement des armes nucléaires avec un titre inquiétant et une vidéo post-apocalyptique.
G.S / FINALSCAPE
Et pour rappel :
Terrifiant. Les images des essais nucléaires américains, effectués entre 1945 et 1962, qui viennent d’être déclassifiées, montrent les effets dévastateurs, de la bombe H. Qu’elles aient lieu dans le Pacifique, le désert du Nevada ou en altitude, ces explosions rappellent les plus impressionnantes scènes de films de science-fiction. Sauf qu’il s’agit ici de la réalité.
L’image est incroyable. Une boule de feu, gigantesque, rapide, qui enfle et file vers la surface de notre planète. En dessous, un relief, qui semble en comparaison minuscule, bientôt happé par l’explosion nucléaire initiée en altitude.
Les États-Unis ont mené plus de 200 essais nucléaires entre 1945 et 1962. Lesquels ont été filmés sous tous les angles pour les besoins de la science et de l’armée américaine. Ces images étaient jusqu’ici classées « confidentiel défense ». Elles viennent d’être déclassifiées, à l’image de la vidéo présentée ci-dessous :
Toutes témoignent de la violence, de la disproportion, de l’énormité d’une explosion nucléaire, alors même que les armes qui existaient alors étaient bien moins puissantes que celles aujourd’hui détenues par les États-Unis, la Russie, la France, la Chine, le Royaume-Uni, Israël, l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.
Pas moins de 6 500 films ont été localisés par le laboratoire national de Lawrence Livermore. De son côté, le physicien spécialiste des armes Greg Spriggs a restauré les pellicules, certaines ayant souffert du temps, comme l’explique le Huffington Post.
La bombe larguée sur Hiroshima, le 6 août 1945, avait une puissance de 15 kilotonnes (soit l’équivalent de 15 000 tonnes de TNT). La plus forte bombe utilisée par les Américains, lors de l’opération « Teapot » (essais nucléaires atmosphériques au-dessus du désert du Nevada), en 1955, était de 43 kilotonnes. La plus forte bombe nucléaire aujourd’hui disponible a une puissance de 57 mégatonnes – soit 1 325 fois plus que celle de cette vidéo :
Analyse très pertinente de ce qui se passe dans le monde et que je vous invite à écouter ne serais-ce que pour avoir une vision dissidente (ouvrir les yeux) sur une autre réalité que celle que les médias de masse s’acharnent à nous imposer.
La Syrie reste le front le plus dangereux, c’est dans ce pays que les grands empires Russe et Américain se sont affrontés le plus violemment. Il y a quelques semaines, le président américain D. Trump a été forcé de retirer ses troupes de Syrie car son aviation ne pouvait plus attaquer l’armée syrienne protégée par le système de protection aérienne Russe. Jusqu’à maintenant, la stratégie américaine étais simple : maintenir le chaos en Syrie en empêchant l’armé syrienne de libérer les villes qui étaient aux mains de Daesh ; mais grâce à la présence des S-400 russes, les américains et les israéliens ne peuvent plus bombarder les positions syriennes.
Trump a du effectuer ce que l’on appelle : un repli stratégique, il a envoyé ses troupes ailleurs, comme en Irak par exemple en attendant l’occasion de pouvoir frapper à nouveau mais les américains sont désemparés, ils ne savent plus quoi faire pour intervenir en Syrie ; alors ils ressortent la vieille « fake news » de l’attaque chimique mais plus personne n’y croit. Le président syrien est soutenu par son peuple et est en train de gagner la guerre. Pourquoi commettrait-il des massacres contre son propre peuple ?
Les États-Unis font également face à la Chine, en mer de Chine méridionale. La Chine prétend que les îles et archipelles de cette mer lui appartiennent. L’armée américaine y a envoyé récemment un navire de guerre afin de provoquer la Chine et ce n’est pas la première fois. Il se peut très bien qu’un jour ou l’autre, ses confrontations se terminent très mal. Il pourrait y avoir un accrochage et donc un début de guerre entre ces deux pays. À ce sujet, le président chinois a déclaré à son armée de se tenir prête à la guerre…
L’Occident a accusé Damas d’avoir perpétré une attaque chimique à Douma se basant sur des photos publiées par les Casques blancs. Ces images ont été relayées par des médias et sur les réseaux sociaux. Mais pourquoi la presse mainstream est-elle si réticente dans le cas d’un garçon affirmant avoir participé à la mise en scène de cette attaque?
De nouveaux détails apparaissent au sujet de la présumée attaque chimique à Douma. Hassan Diab, un petit Syrien de 11 ans, a évoqué devant les journalistes de Rossiya 24 le tournage par les Casques blancs des scènes de cette attaque. Selon lui, il y a participé comme de nombreuses autres personnes, pour avoir des dattes, des biscuits et du riz… Son père, Omar Diab, s’est déclaré prêt à livrer son témoignage à n’importe quelle organisation internationale afin de prouver qu’aucune arme chimique n’avait été utilisée dans cette ville de la banlieue est de Damas.
Sensation? Oui et non! Bien que l’interview du garçon ait été reprise par la quasi-totalité des médias publics russes, les médias français se sont montrés assez réticents face à ce nouveau fait. Seule l’AFP a évoqué ce témoignage, indiquant seulement que «la Russie a diffusé mercredi soir ce qu’elle présente comme le témoignage d’un garçon syrien affirmant avoir participé à la mise en scène d’une attaque chimique présumée dans la ville syrienne de Douma le 7 avril, et qui pourrait être montré à l’Onu».
Certains autres médias, dont Le Figaro, La Tribune de Genève, 20 minutes, Europe 1, L’Independant, l’Orient-Lejour et L’Essentiel, n’ont diffusé que les lignes rédigées par l’AFP. En outre, le témoignage du garçon et de son père est loin d’engendrer une enquête journalistique visant à vérifier la véracité de cette information.
Pourtant, on peut également se souvenir d’un moment curieux survenu récemment: la vidéo publiée par les Casques blancs, montrant des enfants recevant des soins après une prétendue attaque chimique sur la ville de Douma, a été largement relayée par des médias et sur les réseaux sociaux, bien que les militaires russes aient qualifié de fausses ces images.
En outre, la situation a été également aggravée par le fait que cela a dépassé la sphère médiatique. Comme l’a dénoncé la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova, la frappe des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France contre la Syrie a été effectuée sur la base des informations circulant dans les médias ainsi que sur les réseaux sociaux, sans qu’aucune preuve tangible n’ait été recueillie.
«Selon les déclarations faites par les responsables américains et le rapport confidentiel rédigé par le renseignement et les structures de l’État français, ce sont les informations des médias et des réseaux sociaux qui ont servi de fondement à la frappe», avait-elle indiqué.
Donc, pendant que les médias mainstream se méfient du témoignage du jeune syrien Hassan Diab interviewé par un média russe, ils font eux-mêmes preuve d’une position journalistique peu impartiale…
Vidéo sur «l’attaque chimique» à Douma: le reportage sur le garçon sera diffusé à l’Onu
Le témoignage du garçon syrien Hassan Diab, qui, selon une vidéo montée par les Casques blancs, aurait été touché lors de la présumée attaque chimique du 7 avril à Douma, sera soumis aux pays membres du Conseil de sécurité de l’Onu, a indiqué Vassili Nebenzia, ambassadeur de la Russie auprès de cette organisation internationale.
«Nous disposons d’ores et déjà de ce reportage sous-titré. Nous l’avons distribué aux représentants des pays membres [du Conseil de sécurité, ndlr] et d’ici à la prochaine réunion du Conseil, nous trouverons le moyen de le diffuser sur grand écran», a-t-il fait remarquer.
La chaîne de télévision Rossiya 24 a présenté l’interview de ce garçon de 11 ans qui a participé au tournage de la vidéo sur «l’attaque», invité, comme de nombreuses autres personnes, par les Casques blancs.
Les paroles prophétiques du chef d’État-major général Russe Valeri Vassilievitch Guerassimov sur la prétendue attaque chimique en Syrie
« Aujourd’hui, nous disposons d’informations fiables concernant la préparation par des radicaux de la mise en scène d’une utilisation par les forces gouvernementales d’armes chimiques contre les populations civiles. A ces fins dans plusieurs quartiers de la Ghouta orientale, ils ont rassemblé des figurants venant t’autres régions. Ce sont des femmes, des enfants et des vieillards qui devront jouer le rôle de victimes d’une intoxication par des produits chimiques »
Les pays du bassin du Congo doivent apprendre à panser les plaies d’un confit ayant fait plus de 3 millions de morts.
Le bassin du Congo est le centre d’un conflit méconnu et pourtant l’un des plus meurtriers de la planète depuis des décennies. Près de huit pays (Zimbabwe, République démocratique du Congo, Angola, Namibie, Tchad, Rwanda, Ouganda et Burundi) s’y sont affrontés entre 1998 et 2003. Ce qui en a fait la plus grande guerre entre Etats dans l’histoire de l’Afrique et lui a valu le surnom de « guerre mondiale africaine ». On aurait dénombré plus de 3 millions de victimes, essentiellement des civils massacrés ou morts de faim et de maladies.
Ce conflit a été déclenché notamment par les séquelles du génocide rwandais de 1995 et la lutte pour le contrôle des richesses minières de la région du Kivu en RDC. Cette dernière abrite des gisements de cobalt et surtout de coltan (80 % des réserves mondiales), un minerai dont est extrait le tantale, composant clef des téléphones portables, ordinateurs portables, consoles et caméras. Le coltan se vend actuellement à 35 dollars le kilo, mais le tantale à 400 dollars…
La méfiance persiste
Le conflit a opposé une trentaine de groupes rebelles alliés ou rivaux suivant les appartenances ethniques, les circonstances et les intérêts, soutenus par l’une ou l’autre des deux coalitions étatiques s’affrontant; l’Angola, la Namibie et le Zimbabwe se sont engagés militairement, quoique de manière épisodique, derrière l’armée congolaise appuyée par des milices rwandaises. En face, le Rwanda, qui avait porté au pouvoir le président congolais Laurent Kabila avant que ce dernier ne se retourne contre lui en raison de ses prétentions, était appuyé par l’Ouganda et le Burundi. Si la guerre est finie depuis un accord, sous parrainage de l’ONU, fin 2002 qui a abouti à un gouvernement de transition en RDC, les ex-belligérants doivent apprendre à tourner la page. Ce qui n’est pas aisé, comme l’a illustré une flambée de violences en 2007. La méfiance persiste toutefois entre le Rwanda, aux ambitions politiques et militaires inversement proportionnelles à sa taille (12 millions d’habitants), et le Congo, géant de la région (87 millions d’habitants) aux pieds d’argile.
C’est pourquoi le Fonds bleu, premier accord de coopération entre les douze pays de la région, pour la plupart parties prenantes du conflit, « constitue une étape encourageante », souligne sir David Richmond, ancien diplomate britannique et directeur de la Fondation Brazzaville. Cette dernière promeut des projets de développement qui s’apparentent parfois à de la diplomatie informelle pour faire baisser les tensions locales. Si la valorisation en commun (hydroélectricité, irrigation, drainage) du fleuve peut effectivement constituer un antidote aux tensions, les pays du bassin font toutefois assez peu de commerce entre eux, étant peu complémentaires.
Monsieur Macron a décidé seul d’une action qui risque de nous entrainer vers une guerre mondiale sur l’affirmation d’une action criminelle sans aucune preuve sur une affirmation qui a potentiellement été inventée de toutes pièces par Washington en violant la charte de l’Organisation des Nations Unies.
Comme dans toutes les guerres, rien n’est tout blanc, rien n’est tout noir et immuablement la première victime se trouve être la vérité.
Préambule de la vidéo présentée dans ce billet :
Vous voulez la vérité ?
La France d’en haut qui se pose en donneuse de leçons oublie de dire que le colonialisme français bombardait la Syrie en 1945 afin d’empêcher les Syriens d’acquérir leur indépendance, qu’elle en a organisé la division sur des bases religieuses et que toute l’histoire de ce pays depuis qu’il résiste à Israël est marquée par le fait que les États-Unis et les Israéliens s’appliquent pour l’affaiblir et le briser.
Les grands principes de la guerre, lorsque l’on a décidé d’attaquer pour les ressources naturelles et pour le fric tout en le cachant au grand public sont ce que l’on appelle les principes de la propagande de guerre :
Travailler l’opinion public en cachant les intérêts.
Cacher l’histoire.
Diaboliser l’adversaire en faisant de lui, comme cela a été le cas pour Saddam Hussein en l’Irak, Mouammar Kadhafi en la Libye et à présent Bachar el-Assad pour la Syrie, un tyran.
Se présenter comme le sauveur des victimes : Sous un prétexte de guerre humanitaire, la réalité est toute autre. Au lieu de protéger les victimes, on fait en sorte qu’il y en ait un maximum en les médiatisant à outrance pour justifier l’intervention occidentale.
Monopoliser le débat en empêchant l’opinion adverse ou autrement dit, La censure.
Ce scénario se répète de guerre en guerre et il faut être aveugle ou complètement lobotomisé pour croire encore aux foutaises des médias mainstream.
Les armes chimiques biologiques et bactériologiques qui sont régulièrement mises sur la sellette par les États-Unis, l’OTAN et les pays alliés ont abondamment été utilisées notamment lors de la guerre du Vietnam (Agent orange) par l’armée américaine provoquant des milliers de morts et des malformations graves chez les nouveaux nés qui se répercutent aujourd’hui encore, ce qui place les États-Unis au premier rang mondial pour l’utilisation d’armes qu’ils condamnes eux-même aujourd’hui, sans preuve et en faisant obstruction à toutes les enquêtes, Russes notamment qui pourraient faire la lumière sur les prétendues attaques perpétrées sur le peuple Syrien par le « régime » de Bacahar el-Assad.
Dans la seconde partie de la vidéo :
Dans ce projet de remodelage du Grand-Moyen-Orient 3 dates sont à retenir :
Janvier 2003, George W Bush décide de remodeler le grand Moyen-Orient et ce qu’il faut savoir c’est que le Moyen-Orient va du Maroc au Pakistan. Il attaque l’Irak avec les arguments qui aujourd’hui on le sait étaient faux; il n’y avait pas d’armes de destruction massive dissimulées en Irak.
19 décembre 2006, Time Magazine publie un rapport secret sur la Syrie qui se trouve dans le viseur de Bush c’est à dire, 5 ans avant les printemps arabes et il y est expliqué comment et pourquoi le gouvernement des États-Unis va soutenir les opposants et renverser le gouvernement de Bachar el-Assad.
2011, on continue à charcuter le Grand Moyen-Orient en faisant tomber cette fois-ci la Libye avec en première ligne la France et l’Angleterre et dans ce même laps de temps un nouveau programme est ouvert, à savoir l’armement des combattants contre le régime gouvernemental de Bachar el-Assad.
Les Américains ont un plan, celui de remodeler le Grand Moyen-Orient en faisant tomber tous les états souverains de cette région dans un but géopolitique et énergétique inavouable.
Des militaires russes se sont rendus dans la ville syrienne de Douma pour enquêter sur les circonstances de l’attaque chimique présumée. Selon la vidéo qu’ils ont filmée, il n’y a aucune trace d’utilisation d’armes chimiques.
Rien à Douma n’indique qu’il y a eu une attaque chimique dans cette ville syrienne, a annoncé le ministère russe de la Défense diffusant une vidéo à l’issue d’une visite de spécialistes des Troupes de la protection radio, chimique et biologique à l’hôpital de Douma.
«Pendant cette visite, nous avons établi que l’hôpital n’avait pas accueilli de personnes présentant des symptômes d’intoxication aux substances chimiques comme le sarin ou le chlore. L’examen des patients se trouvant dans cet établissement médical a montré qu’il n’y avait aucune personne souffrant d’intoxication à des agents neurotoxiques comme le sarin ou le chlore», a indiqué Alexandre Rodionov, chef du groupe d’experts.
Selon lui, les experts Troupes de la protection radio, chimique et biologique du ministre russe de la Défense se sont rendus à l’hôpital de Douma pour «questionner les témoins et mener une enquête sur cet incident».
Les radicaux du groupe Jaych al-Islam ont précédemment accusé les forces gouvernementales syriennes d’avoir eu recours, samedi 7 avril, à des armes chimiques contre un hôpital de Douma, dans la Ghouta orientale. Ces allégations ont été reprises par les puissances occidentales. Le Président américain Donald Trump a estimé que la Syrie devrait «payer le prix fort pour l’attaque chimique». La Russie a démenti l’information sur une bombe au chlore qui aurait été larguée par des militaires syriens sur Douma. Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que l’intox sur l’emploi d’armes chimiques par l’armée syrienne était destinée à justifier les actions des terroristes et les éventuelles frappes militaires étrangères. Le ministère syrien des Affaires étrangères a pour sa part indiqué que les accusations portant sur l’utilisation d’armes chimiques par les forces gouvernementales étaient ennuyeuses et peu convaincantes.
De son côté, le Président Emmanuel Macron affirme lui détenir la preuve (sans pour autant la citer) que des armes chimiques ont bel et bien été utilisées et qu’elles sont à attribuer au régime Syrien.
G.S
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