Santé : Comment obtient-on de l’aspartame ? Accrochez-vous !

Les sodas light que vous buvez pour vous préserver des calories son fait à partir d’excréments.

Cette vidéo remonte à 2014 mais elle démontre jusqu’où les industriels sont capables d’aller avec la bénédiction des autorités responsables de la nutrition et de la santé.

Des bactéries E. coli génétiquement modifiées sont cultivées dans des bacs. Elles défèquent des protéines qui contiennent des segments d’acides aminés d’acide aspartique et de phénylalanine. Ces excréments sont collectés puis traités par le biais de nombreux processus chimiques, y compris la méthylation, ce qui ajoute du méthanol, alcool toxique, au mélange. C’est ainsi que l’aspartame est fabriqué. Il pourrait être temps de reconsidérer les produits édulcorés en tant qu’option saine.

Il existe bien d’autres alternatives pour se protéger des abus du sucre et des retombées dévastatrices qu’il peut avoir sur la santé et je rebondis là dessus pour remettre en ligne le billet que j’avais publié sur un produit que le grand public ne connait pas ou très peu :

Alors que l’obésité aux U.S.A. devient un problème majeur avec 1 personne sur 3 qui en souffre, à Chicago, berceau de Mc Donald’s, une solution contre l’obésité permet de se faire plaisir sans prendre un seul kilo : la Miraculine !

G.S

Une chaîne de fast food s’est emparée du concept. Son slogan « Enjoy your vices », qui signifie en français « succombez à la gourmandise ».
Ce fast food a été créé par un chef cuisiner reconnu Omaro Kantu. La chaîne propose donc donuts , cup cakes, soda avec 0 calorie ! Dans cette partie on peutapercevoir l’effet de surprise et d’amusement que peut avoir les effets de la miraculine que l’on découvre pour la 1èere fois.

Vidéo :

Le reportage s’intéresse alors plus précisément à  l’histoire de labaie du miracle.

Après un bref rappel sur sa découverte en 1750, par des botanistes européens en mission d’exploration en Afrique de l’Ouest  dans un des pays les plus dynamiques d’Afrique, le Ghana. Au Ghana, tout le monde connaît la baie du miracle … surtout les enfants.

Le reportage nous fait ensuite découvrir  un entrepreneur ghanéen. Kodzo  Benomio, ingénieur en biochimie de formation, et après avoir exercé dans l’industrie pharmaceutique, est devenu  le plus gros cultivateur du pays  de baie du miracle.

Le reportage se poursuit sur la visite de ces  plantations au Ghana.

Résumé de la seconde partie :

On découvre dans ce début de 2ème. partie le fonctionnement des plantations de baies miracles au Ghana. Une des principales difficultés est que la cueillette de ces centaines d’hectares de fruits miracles ne peut se faire à l’aide de machine… la cueillette doit donc se faire à la main.

On découvre ensuite le laboratoire un peu rudimentaire  de cet entrepreneur et le déroulement de la transformation de la baie miracle en miraculine.

Pour commencer, on broie les fruits pour obtenir un jus très concentré, il faut 3 kg de fruit pour obtenir 1 litre de jus. Ce jus est ensuite congelé puis  déshydraté . Au bout de quelques jours, le processus de déshydratation se termine, on obtient de la poudre qui permettra de fabriquer les comprimés.
Le producteur indique alors à la caméra du journaliste que le seul moyen qu’il a trouvé pour vendre sa production est internet.

Complot, espionnage, homme de pouvoir et géant de l’agroalimentaire.

Dans cette partie, les journalistes s’intéressent  à  l’histoire moderne de la miraculine en occident.

On découvre alors un portrait et interview du scientifique américain Robert Harvey dans les années 1970 qui croit dur comme fer en la miraculine.

Les possibilités étant d’après lui  énorme puisque « les obèses  en surpoids pourraient enfin manger quelque chose de sucré, mais sans sucre » il créa la société  « Miralin » .

Les journalistes décident de creuser cette histoire, Robert Harvey étant décédé il décide de questionner Donald K Emery  qui était associé dans cette affaire.

Aujourd’hui  retraité, Donald  indique que Miralin était pour eux  un grand rêve, il voyait en la miraculine  la possibilité de commercialiser un des premiers édulcorants en concurrençant l’industrie du sucre. Donal et Robert trouvent des partenaires qui leur permettent d’investir plus de 8 millions de $ (équivalent à 40 millions de $ d’aujourd’hui).

En 1974, la gamme qui comprend  (boisson thé glacé assaisonnement pour salade, etc…) est enfin prête. Malheureusement, cet aboutissement n’est en réalité que le début de leurs ennuis.

S’en suit un épisode où Donald raconte que Robert lui avait confié être espionné. Il raconte également le cambriolage de leurs locaux  ou visiblement l’on recherché des documents. Pour achever leur rêve, la FDA, l’autorité toute puissante  de l’Etat américain en matière d’alimentation leur interdira la commercialisation de miraculine sur le sol américain avec des prétextes fallacieux.

La FDA leur reproche de ne  pas avoir études scientifiques qui permettent de déterminer que le fruit puisse être mis sur le marché et puisse répondre à toutes les exigences de sécurité.

Résumé de la dernière partie :

Cette dernière partie va se concentrer essentiellement sur l’analyse des archives de la société Miralin par les journalistes de D8.

Tout les documents ont été légués par le fils de Robert Harvey (décédé en 2012)  à l université Worcester région de Boston.

Le journaliste  se rend donc dans ces locaux à la recherche de documents qui pourraient permettre de comprendre (ou pas) l’attitude de la FDA à l’encontre de la société Miralin.

Après plusieurs heures  de recherches, le journaliste  trouve au total 7 études  indépendantes réalisées  à la demande de la société Miralin qui arrivent toute à la conclusion que la mircaline ne présente aucun danger pour la santé de l’homme.

Tous les scientifiques sont donc unanimes pas de toxicité !

* Mais pourquoi la FDA a-t-elle interdit la mise sur la marché de la miraculine ?*

Sont alors évoqué  le lobby du sucre qui aurait eu la peau de la société Miralin, des intérêts personnels au sein de la FDA… ou tout simplementune histoire de corruption au sein de la FDA.

Ce qui est pour le moins troublant, c’est que la FDA  à par contre au même autorisé la mise sur le marché de l’aspartame à la même époque dont on  connaît le possible effet toxique et cancérigène sur le cerveau.

Après ces révélations, l’aspartame a d’ailleurs été rapidement interdit.

Le laboratoire SEARLE, propriétaire de la molécule, contre attaquera et embauchera un lobbyiste du nom de  Donald Rumsfeld.
Donald Rumsfeld, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche et futur ministre de la Défense du gouvernement GW Bush.  Avec succès, le laboratoire SEARLE récupérera son autorisation en 1983.

Suite à ces incohérences,  la polémique rebondit  quelques années plus tard  au plus haut niveau  de l’état américain.

Lors de la  Commission  d’Enquête du sénat  le 3/11/198, le docteur toxicologue de la FDA, Jacqueline Veret, indiquera que les études concernant l’aspartame ont été truquées.

Le scandale ébranle la FDA, mais aucune sanction n’est prise contre la FDA ou l’aspartame.

Deux poids , deux mesures…

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Vaccins : Le coup de gueule d’un pharmacien

Ayana : Décédée en 2015 après 40 jours de coma suite à la double injection Infanrix/Prevenar

Un pharmacien en colère dénonce les pratiques actuelles de vaccination alors que les pédiatres confirment appliquer les consignes du ministère.

Les nourrissons de 2 mois sont confrontés à une vaccination massive alors que leur système immunitaire ne c’est pas encore développé. Les médias n’évoquent pas du tout ou alors très peu les décès de bébés qui sont liés à ces pratiques médicales.

On injecte à ces enfants des vaccins qui sont bourrés de nanoparticules et de métaux lourds dont de l’aluminium et pour rappel :

“Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui en injecte 1’440 microgrammes ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre.”

Déclaration du Professeur M. Georget devant l’assemblée nationale concernant l’aluminium dans les vaccins.

Stéphane Guibert

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Santé publique : Vaccin contre l’hépatite B, l’arnaque monstrueuse des laboratoires

Depuis 1994, les morts de l’hépatite B en France étaient de 1’000 par an, le même chiffre en 1997 malgré les 20 millions de vaccinés (Retour sur une escroquerie monstrueuse)

Le 9 septembre 2009, le journal de France 3 Lauraine annonçait que le vaccin contre l’hépatite B était bien à l’origine de déclenchements de la sclérose en plaque et que la justice avait tranché en accusant le laboratoire Sanofi d’avoir mis sur le marché un vaccin nocif.

Tous les moyens étaient bon pour le laboratoire en visant notamment les adolescents qui sont un marché porteur et en allant jusqu’à dramatiser les risques de contracter la maladie en attestant qu’elle pouvait se déclencher par la salive.

Stéphane Guibert

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Santé : Bien que des solutions existent avec des gentils virus appelés « Bactériophages », Des « bactéries cauchemardesques » se répandent dans les hôpitaux américains

La résistance aux antibiotiques est aujourd’hui un véritable problème de santé publique. Selon les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), au moins 2 millions d’Américains sont infectés par des germes résistants aux antibiotiques chaque année, et plus de 23 000 meurent de ces infections.

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A voir en seconde partie d’article : Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Selon un rapport publié en avril 2018, le CDC annonce avoir détecté l’année dernière 221 cas de résistance inhabituelle de soi-disant « bactéries cauchemardesques », capables de propager des gènes qui les rendent imperméables à la plupart des antibiotiques. Bien que le CDC ait déjà mis en garde contre le danger des bactéries résistantes aux antibiotiques ces dernières années, ce nouveau rapport nous révèle ici l’ampleur du problème. « Aussi vite que nous avons œuvré pour ralentir la résistance [aux antibiotiques], certains germes nous ont dépassés », note la docteure Anne Schuchat, directrice adjointe du CDC. « Nous devons faire plus, et nous devons le faire plus vite et plus tôt ». Les infections entraînées par ces bactéries sont « pratiquement impossibles à traiter avec la médecine moderne », poursuit-elle.

Le CDC a mis en place en 2016 un réseau de laboratoires à l’échelle nationale, pour aider les hôpitaux à diagnostiquer rapidement ces infections et à les empêcher de se propager. Un échantillon sur quatre de germes envoyé au réseau de laboratoires avait des gènes spéciaux, qui leur permettraient d’étendre leur résistance à d’autres germes, peut-on lire. Dans 1 cas sur 10, les personnes infectées par ces germes transmettent la maladie à des personnes apparemment en bonne santé à l’hôpital – patients, médecins ou infirmières – qui peuvent à leur tour agir comme porteurs silencieux de la maladie. Ces derniers infectent ensuite d’autres personnes, même si elles ne deviennent pas malades.

Les bactéries « cauchemardesques » – celles qui résistent à presque tous les médicaments – sont particulièrement mortelles chez les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques. Jusqu’à la moitié des infections qui en résultent s’avèrent fatales pour elles. Le CDC affirme qu’un effort conjoint et une approche agressive impliquant des représentants du gouvernement, des médecins et des établissements de santé peuvent aider à arrêter les bactéries résistantes avant qu’elles ne se propagent largement. Le rapport propose une stratégie de confinement, qui selon Anne Schuchat, aidera à « plier la courbe ou à ralentir la propagation de la résistance aux antibiotiques ».

La stratégie de confinement nécessite :

  • Une identification rapide des germes résistants.
  • L’utilisation de mesures de contrôle des infections (gants, blouses d’hôpital et nettoyage spécial dans les chambres des patients infectés).
  • De tester les patients sans symptômes qui peuvent porter et propager le germe.
  • La poursuite du contrôle de l’infection et des tests jusqu’à ce qu’il soit confirmé que la propagation s’est arrêtée.

Le rapport estime que si elle est mise en œuvre correctement, la stratégie pourrait empêcher 1600 cas d’infection dans un État sur une période de trois ans. Chaque individu peut également jouer un rôle dans le contrôle de la propagation des germes résistants :

  • Informez votre professionnel de la santé si vous avez récemment reçu des soins de santé dans un autre pays ou établissement.
  • Discutez avec votre médecin de la prévention des infections, de la prise en charge de maladies chroniques et de l’obtention des vaccins recommandés.
  • Lavez-vous les mains fréquemment et gardez vos plaies propres propres jusqu’à ce qu’elles soient cicatrisées.

Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.

Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.

Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.

Stéphane Guibert

Crédit vidéo : Radio télévision Suisse

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Santé : Cinq morts et des mises en quarantaine à cause du virus Nipah en Inde

Au moins cinq personnes sont mortes dans le sud de l’Inde du virus Nipah, pour lequel près d’une centaine d’autres se trouvent actuellement en quarantaine. Les autorités sanitaires sont en état d’alerte.

« Nous pouvons confirmer que cinq personnes sont mortes du virus Nipah » et que « 94 personnes entrées en contact avec les morts ont été placées en quarantaine par précaution », a déclaré un responsable de surveillance sanitaire du Kerala, une région à la pointe sud de l’Inde.

En outre, neuf malades sont hospitalisés en raison de symptômes suspects, avec au moins l’un d’entre eux testé positif au virus Nipah.

Selon les médias locaux, 10 personnes ont succombé à ce stade à cette zoonose mais les autorités attendaient des résultats de tests pour se prononcer.

Mortel dans 70% des cas

Bien connu en Asie du Sud et Sud-Est, ce virus transporté par la chauve-souris frugivore est mortel dans 70% des cas. Il a été identifié pour la première fois en Malaisie en 1998.

Le Nipah, dont des cas de transmission interhumaine ont été signalés par le passé, selon l’Organisation mondiale de la santé, peut provoquer des encéphalites mortelles et des comas. Il n’existe pas à ce jour de vaccin.

Source : Radio Télévision Suisse

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Santé publique : Un virus pour combattre les bactéries résistantes aux antibiotiques

Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.

Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.

Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Source : Radio Télévision Suisse

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Santé publique : Les dangers du paracétamol (Plus qu’un simple « soulageur » de douleurs, le paracétamol peut être vu comme un « soulageur » d’émotions.)

Le marché des antidouleurs est en plein boom mais ces médicaments suscitent de plus en plus d’inquiétudes.

La consommation de paracétamol a augmenté de 53% entre 2005 et 2016 en France et le surdosage inquiète : Les ventes de cachets en dosage de 1 gramme ont cru de 140% . Or, la dose recommandée est de 3 grammes par jour et 1 gramme maximum en une prise. Seulement 14% des patients connaissent le risque de toxicité du paracétamol sur le foie, une toxicité accrue lors de la consommation d’alcool.

Quand à l’ibuprofène, les gens pensent pouvoir en consommer à l’infini parce qu’ils ont mal au genou mais ils ne sont pas suffisamment au courant du danger.

G.S

Le paracétamol, anti-douleur… et anti-émotions ?

Sous ses différentes marques et formulations (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, sans oublier l’Actifed, le Dolirhume, etc.), le paracétamol est le médicament le plus vendu en France. Aux Etats-Unis, la molécule entre dans la composition de plus de six cents médicaments et on estime que, chaque semaine, plus de 50 millions d’Américains consomment l’un d’entre eux. C’est dire le succès de cet antalgique. Mais, précisément, l’usage généralisé du paracétamol incite les chercheurs à décortiquer davantage son mode d’action, au-delà du soulagement de certaines douleurs. Ainsi, en 2013, une étude réalisée par des psychologues canadiens avait fourni de curieux résultats : des personnes ayant avalé du paracétamol et auxquelles on avait demandé de rédiger quelques phrases sur leur propre mort semblaient peu atteintes par les sentiments négatifs et l’anxiété qu’avaient, dans les mêmes conditions, éprouvés des « cobayes » ayant pris un placebo. Comme si le médicament, en plus de jouer sur la douleur, s’attaquait aussi aux émotions négatives. Dans un article que vient de publier la revue Psychological Scienceune équipe américaine de l’université de l’Ohio a voulu explorer plus avant cette intrigante hypothèse.

Pour une première expérience, ces chercheurs ont recruté 82 personnes. Une moitié d’entre elles a pris 1 gramme de paracétamol et l’autre moitié un placebo (évidemment personne ne savait qui avait avalé quoi). Les participants ont attendu une heure pour que la molécule ait le temps de passer dans le cerveau, puis l’expérience à proprement parler a commencé. On a soumis à tous 40 photographies extraites de l’International Affective Picture System (IAPS), une banque d’images utilisées pour leur capacité à susciter une palette complète d’émotions, depuis les très déplaisantes (des enfants en pleurs ou souffrant de malnutrition, par exemple) jusqu’aux très agréables en passant par des clichés neutres (une vache dans un pré…). Les « cobayes » devaient noter l’impression que chaque image leur laissait, de -5 (extrêmement négative) à 5 (extrêmement positive), et indiquer, sur une échelle de 0 à 10, à quel point la photo provoquait chez eux « une réaction émotionnelle », pour reprendre les termes de l’étude.

A l’instar de ce qui était apparu lors l’expérience de 2013 sur la mort, les résultats montrent que les participants sous paracétamol sont, par rapport aux personnes ayant pris un placebo, moins emplis de sentiments négatifs face aux images les plus tristes… mais aussi moins joyeux devant les photos les plus gaies. Comme si la molécule émoussait les sentiments en gommant joies et peines extrêmes. Dans l’ensemble, le groupe « paracétamol » reconnaissait non seulement une moindre amplitude dans le ressenti des émotions mais aussi moins d’émotions tout court…

Les auteurs de l’étude, ayant conscience que le résultat pouvait aussi être interprété comme une altération du sens de la magnitude, de la capacité à évaluer correctement les extrêmes, ont décidé de répéter l’expérience sur un second groupe (de 85 personnes cette fois) en ajoutant une question supplémentaire : les participants devaient également estimer la quantité de bleu contenue dans les images. Les résultats obtenus ont été semblables à ceux du premier test mais, pour ce qui concernait l’évaluation de la proportion de bleu dans les photographies, les sujets sous paracétamol faisaient preuve d’un jugement identique à celui des participants ayant ingurgité un placebo, ce qui montrait bien que le médicament jouait sur les émotions et non sur le sens de la magnitude.

C’est la première fois qu’un tel effet secondaire est mis clairement en évidence avec le paracétamol qui, selon le premier signataire de l’étude, Geoffrey Durso, « pourrait avoir un spectre d’effets plus large que ce que l’on pensait auparavant. Plus qu’un simple « soulageur » de douleurs, le paracétamol peut être vu comme un « soulageur » d’émotions. » Reste à comprendre par quel mécanisme le phénomène se produit, comment la molécule influence notre réactivité émotionnelle – un éclaircissement d’autant plus nécessaire que le médicament est très populaire. Dans leur étude, les psychologues lancent une piste en direction de la sérotonine, ce neurotransmetteur impliqué dans la transmission et le contrôle de la douleur et dont on sait qu’il joue aussi sur l’humeur. Ces chercheurs ont également l’intention de poursuivre leurs recherches avec d’autres antalgiques, chimiquement différents mais presque aussi consommés que le paracétamol, comme l’ibuprofène et l’aspirine.

 

 

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Santé publique : De l’arsenic dans le Roundup, une substance 1000 fois plus active que le glyphosate

De l’arsenic dans le Roundup, une substance mille fois plus active que le glyphosate déjà très fortement suspecté par l’OMS d’être à l’origine de nombreux cancers et autre maladies.

Avant la lecture de ce billet, retenez ceci : (Loi secret des affaires) !

Intouchable ! Monsanto-Bayer empoisonne le monde à l’arsenic en toute impunité.

Une étude de l’Université de Caen (Normandie), publiée dans la revue Toxicology Reports, révèle la présence de métaux lourds et d’arsenic, ainsi que des traces de pétrole dans des herbicides à base de glyphosate. Ces produits seraient plus toxiques sur les plantes et cellules humaines que le glyphosate lui-même.

Les professeurs Gilles-Eric Séralini, Nicolas Defarge et Joël Spiroux ont étudié 14 formules d’herbicides à base de glyphosate ainsi que leurs impacts sur les plantes et des cellules humaines. Leurs conclusions : « Les herbicides à base de glyphosate ont été montrés comme contenant des métaux lourds et de l’arsenic. Ces produits ne sont pas déclarés et normalement interdits pour leur toxicité », indique le rapport d’étude.

Monsanto rémunère des scientifiques afin de sous-estimer la toxicité de ses produits !

Lobbying, mensonges et pots de vin, bienvenue dans le monde merveilleux des multinationales.

Une enquête révèle que le géant de l’agroalimentaire ne recule devant rien pour arriver à ses fins.

C’est tout un système de corruption et de trafic d’influence qui éclate au grand jour. On parle ici des faux avis scientifiques sur les produits de la firme, ce qui est gravissime sur le plan éthique, environnemental et au niveau de la santé publique. C’est dans le but de faire toujours plus de profits que Monsanto n’hésite pas à mettre en danger la santé de toute la planète.

Cancers, perturbations hormonales etc… qu’importe, la firme n’a qu’une seule ambition, celle  d’accroitre ses profits et tant pis si cela doit briser des vies. Pour cacher le danger de ses produits, Monsanto n’a pas hésité à rémunérer des scientifiques pour contrebalancer sa réputation de pollueur et d’empoisonneur.

La firme recourait à des auteurs fantômes.

Une équipe du géant américain rédige des notes de synthèse où les produits commercialisés sont présentés comme efficaces et surtout inoffensifs, les notes sont ensuite soumises à des scientifiques non affiliés officiellement à la firme pour qu’ils signent et endossent l’article publié dans des revues spécialisées.

Monsanto achète donc sa réputation afin d’obtenir les agréments nécessaires pour vendre ses produits.

Il s’agit d’une corruption générale au niveau de cette entreprise.

Monsanto menace d’attaquer en justice la commission européenne si celle-ci n’homologue pas le Glyphosate qui est la substance active la plus vendue au monde.

OMG :  la preuve irréfutable de leur toxicité sur les organismes vivants

Alors qu’une étude scientifique indépendante démontrait pour la première fois que la consommation d’aliments génétiquement modifiés représentaient un danger pour l’organisme, aujourd’hui la production ne fait qu’augmenter.

Des expériences faites durant deux ans par le CRIIGEN sur des rats de laboratoires qui avaient été nourris avec un maïs OGM, le NK603 ont démontré sur les sujets concernés le développement de tumeurs qui pouvaient atteindre jusqu’à 25% de leur poids.

Dernière partie de l’article : Le secret des affaires et pour rappel

Bonne nouvelle pour les anti néonicotinoïdes : L’Europe va en interdire 3, jugés les plus dangereux pour les abeilles ; n’est-ce pas la une victoire sur les industries de l’agroalimentaire ? Mais si l’on regarde d’un peu plus près, on est en train de nous pondre une loi “secret des affaires” qui va interdire aux journalistes d’investigation toutes enquêtes notamment sur cette industrie. Cette pseudo victoire n’est-elle pas volontairement mise en place comme une zone tampon pour calmer les opposants ou placée là comme un grain de sable pour cacher la montagne ? Réfléchissez ! (L’enfer est pavé de bonnes intentions.)

Un mécanisme de méfiance absolue et jusqu’à preuve du contraire se met automatiquement en place chez moi à partir du moment ou les médias dominants clament une victoire pour les opposants au système.

Stéphane Guibert

 

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Santé : La chimiothérapie aujourd’hui pourrait être comparée aux séances d’électrochocs durant la guerre froide

Pour Rappel : Ce que l’industrie pharmaceutique ne veut pas que vous sachiez :  Le jeûne renforce les cellules saines et affaiblit les cellules cancéreuses

Préambule :

Il faut bien comprendre que pour guérir d’un cancer, la solution apportée par l’industrie pharmaceutique, la chimiothérapie qui endommage non seulement les cellules cancéreuses mais aussi les cellules seines, pouvant  également provoquer des effets secondaires irréversibles sur notre organisme et qui au passage rapporte des milliards par an à cette industrie, d’autres méthodes, d’autres pratiques beaucoup plus douces pour l’organisme et apparemment plus efficaces peuvent être des approches intéressantes.

Nous allons nous arrêter sur une façon d’aborder le problème en se passant presque totalement de cet empoisonnement massif de nos cellules et en ouvrant une lucarne sur un aspect du traitement de la maladie dont les recherches remontent aux années 1960 en Russie, le jeûne.

Retour sur un article qui mérite une attention toute particulière et dont je dois les sources à un ami dissident : Peter Moore.

J’attire votre attention sur le fait que je n’apporte aucune solution à ce problème planétaire qu’est le cancer mais je vous invite à vous poser la question tout en faisant vos propres recherches. Je vous offre un bout de la ficelle dont il vous incombe de démêler la pelote.

Bien à vous

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

Le jeûne protège des effets secondaires néfastes de la chimiothérapie.

Voici un fabuleux cadeau de Noël pour celles et ceux qui l’ignoreraient encore, le jeûne pratiqué dans un cadre médical est une puissante thérapie qui permet de soigner d’innombrables maladies.

J’ai déjà publié un article sur le sujet et voici un rappel décrit étape par étape :

Pour commencer, que se passe-t-il dan notre corps lorsque l’on pratique le jeûne ?

L’organisme qui doit se  nourrir de lui-même dispose de 3 carburants : Le glucose, les protéines et les lipides. Le carburant essentiel c’est le glucose celui qui est indispensable au corps pour fonctionner car le cerveau ne peut s’en passer. Après 24 heures de jeûne, le stock de glucose est épuisé c’est alors que l’organisme réagit en fabricant du glucose à partir des protéines provenant en grande partie des muscles ; il va également puiser dans ses réserves de lipides, les graisses, afin de créer un substitut de glucose. Ce carburant du jeune se nome corps cétoniques et ce sont désormais ces corps cétoniques qui vont alimenter le cerveau. L’opération s’effectue dans le foie qui est une fantastique usine de transformation de l’organisme.

Le jeûne est bénéfique pour l’organisme dans le traitement de multiples maladies comme le confirme dans un premier temps un banquier qui suite à de nombreux voyages d’affaire en Russie, lors de la signature de contrats, il est de coutume dans ce pays de manger et d’arroser abondamment les évènements. Après de nombreuses années d’un régime à excès, la santé du banquier c’est dégradée au niveau du foie et du sang. Son foie avait significativement gonflé et les analyses de sang préoccupantes. Suite à une cure de jeûne dans l’établissement spécialisé la clinique Buchinger en Allemagne sur les rives du lac de Constance, le foie du banquier avait repris une taille normale et les analyse de sang satisfaisantes.

Ensuite, cette interprète, Pauline qui vient pour la seconde fois dans la clinique et qui souffre de graves rhumatismes confirme également que dès la première cure ou elle était arrivée dans un état d’épuisement total, pensait qu’elle allait atteindre un stade grabataire et qu’elle finirait dans une chaise roulante.

Le jeûne en la purifiant lui a donné l’énergie et le ressort nécessaire pour rebondir. Elle pensait aussi qu’elle serait abonnée à vie aux médicaments que l’on donne pour ce genre de pathologie, anti-inflammatoires, cortisone etc… Aujourd’hui, la femme c’est complètement débarrassée de son régime médicamenteux.

La maladie du siècle le cancer :

Des recherches ont été faites dans un laboratoire de Californie puis répétées à plusieurs reprises dans d’autres laboratoires sur des rats. Il s’avère que le mécanisme du jeûne chez le rats est commun au notre. Un exemple, la chimiothérapie, ce poison destiné à détruire le cancer est injecté à des doses trois à cinq fois supérieures que les doses autorisées chez les humains à toute une série de rats atteints de tumeurs.  Les rongeurs sont séparées en deux groupes. Le premier est nourri normalement, le second  jeûne durant 48 heures. Les rats vont-ils résister à ce traitement dévastateur et les résultats seront-ils différents pour les deux groupes ?

Les résultats  sont édifiants. Après seulement deux jours, les individus ayant jeûné sont en parfaite santé, ceux qui ont mangé normalement sont morts pour la plus part et seul 35% d’entre eux ont survécu mais se trouvent dans un état proche de la mort. Des organes vitaux tels que le cœur et le cerveau ont été gravement endommagés par le traitement.

Comment évoluent les cellules du corps humain lors d’un jeûne et plus particulièrement lors d’une chimiothérapie ?

Lors d’expériences, des cellules de foie, de cœur et de muscles sont prélevées. Leur fil d’ADN est étudié et l’on se rend compte que les gènes de ces cellules dirigent leur travail, ils sont donc normaux. Après deux jours de jeûne, on constate un changement radical de l’expression des gènes de ces mêmes cellules, certains sont sur exprimés, d’autres, sous-exprimés. Les gènes modifient les fonctions des cellules qui se mettent en mode de protection. Bouleversement total et très rapide, comme si cette capacité provenait d’une mémoire remontant à la nuit des temps. Les cellules se protègent donc par un reflex  appelé atavique. Mais si le jeûne protège les cellules saines qu’en est-il des cellules cancéreuses ? En comparant des cellules saines à des cellules cancéreuses, après deux jours de jeûne les gènes des  cellules cancéreuses s’expriment de façon opposée à ceux des cellules saines. Les cellules cancéreuses ont subit des modifications génétiques, elles ont perdu la mémoire de l’évolution, les mécanismes de protection ne se mettent pas en place.

Les cellules cancéreuses détestent ce genre d’environnement où il y a peu de sucre, peu de facteurs de croissance. Non seulement elles ne sont pas protégées mais elles deviennent aussi plus sensibles à la chimiothérapie. Elles peuvent même mourir, en tous cas, leur croissance est ralentie. Le jeûne peut donc ralentir leur croissance même sans chimiothérapie.

L’industrie pharmaceutique qui ne voit pas d’intérêt financier dans les bienfaits de la thérapie du jeûne ne va certainement pas en faire de la publicité.

Pour terminer, le témoignage d’une juge dans le comté de Los Angeles qui, atteinte d’un cancer du sein confirme que sur les cinq chimiothérapies qu’on lui avait administré, les effets secondaires ont été nettement diminués lors de deux séances qu’avait précédé un jeûne.

Le reportage dans son intégralité, un document signé Arte.

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Alimentation : Quand vos steaks hachés pur bœuf sont fabriqués avec 9% d’une viande dont l’ADN est non-identifiable

De la viande soit disant pure bœuf composée de 9% de viande non-identifiable, la viande du 3ème. type !

Des boulettes de viande de bœuf mélangée à de la volaille, des viandes lavées à l’ammoniac ou à l’acide ne permettant plus la traçabilité de ce qui se trouve dans nos assiettes.

C’est en Hollande, à Breda qu’une enquête a conduit des journalistes d’investigation ouvrant ainsi une brèche sur l’envers du décor de nos plats cuisinés.

C’est au cœur d’une entreprise qui vend sa production de viande dans le monde entier “Convenience food producers”, une immense usine de transformation de viande qui ne veut pas recevoir les journalistes qu’une équipe d’enquêteurs a réussi à s’infiltrer en se faisant passer pour des fabricants de lasagnes bolognaise.

Pour diminuer les coûts de production de viande bolognaise, une cadre de l’entreprise propose une première solution, remplacer le bœuf par une viande de volaille, du poulet ou de la dinde mais sous une forme particulière. de la viande VSM séparée mécaniquement.

La VSM de dinde ressemble à la VSM de bœuf et est nettement moins cher. Cette viande est obtenue en jetant les carcasses de poulets dans une machine qui va séparer mécaniquement les derniers restes de viande en les rabotant des os. Il va en sortir une chair liquide rouge qui est ensuite compressée afin de former des blocs de viande prêts à être livrés aux fabricants de plats cuisinés. Ces ultimes morceaux de chair ainsi compactés sont très bon marché, environ deux fois moins cher que le bœuf.

C’est donc confirmé; certains fabricants de produits cuisinés, afin de réduire leurs coûts, ont eu l’idée de mélanger ces chutes de poulet avec du bœuf pour fabriquer une viande hybride.

VSM sur la viande de bœuf : La machine gratte sur les os les derniers restes de chair et la viande ressort sous forme d’une pâte pour plats cuisinés mais le problème est qu’un tel grattage pourrait contaminer la viande en lui transmettant des virus, notamment celui de la vache folle. Voilà pourquoi la VSM de bœuf est interdite en France; mais cette société peut en trouver en Allemagne.

Au cours de sa fabrication, la viande VSM subit une importante batterie d’épreuves :

La viande est chauffée à 36 degrés Celsius puis pour éviter tous risques de contamination, elle est lavée à l’ammoniac aux États-Unis et à l’acide en Europe. Mais cette façon de procéder a pour résultat de détériorer son ADN et de lui faire perdre une bonne partie de sa traçabilité.

Bon appétit !

Ce dont il faut bien être conscient c’est que l’UE a fait paraitre une directive contraignant les pays membres de faire passer une loi dite « secret des affaires« , que cette loi va être appliquée non seulement pour luter contre l’espionnage industriel mais aussi et surtout et c’est ce qui est nouveau, interdisant les enquêtes de journalistes d’investigation, en effet :

Si les firmes suspectées de fraudes considèrent que les enquêtes menées vont à l’encontre de leurs intérêts financiers elles auront le droit d’attaquer juridiquement les journalistes « indélicats » et de les faire condamner à de très lourdes sanctions pouvant mener à l’emprisonnement.

Ce qui revient à dire que le reportage que vous allez visionner ci-dessous (si vous le désirez) ainsi que ceux à venir peuvent tout simplement être interdits voir même stoppés durant le tournage.

Il en va de même pour tout ce qui implique les paradis fiscaux, LuxLeaks, SwissLeaks, Panama papers etc…

Les associations de consommateurs (50 mio. de consommateurs) sont également mises sous la sellette et ne pourront plus dénoncer les dérives quelles qu’elles soient.

En France, cette loi a été adoptée et votée en toute hâte durant les conflits sociaux de ces dernières semaines.

Prenons acte !

Faut-il alors attendre un scandale sanitaire planétaire, faut-il qu’il y ait des milliers de morts pour que les gens prennent conscience de ce qui se joue en ce moment à leur insu ?

Il en va de même dans tous les domaines : En 50 ans , nous avons détruit 85% de notre biodiversité. Faut-il alors attendre le point de rupture, le point de non retour pour que nous ouvrions les yeux ?  etc…

Nous sommes à deux doigts d’une extinction massive, la notre et c’est par un incommensurable déni que nous fonçons têtes baissées sur nos smartphones et tablettes droit dans le mur.

Cela en devient hallucinant, hors contexte temporel tant ce qui est en train de se passer en direct, sous nos yeux est devenu surréaliste !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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