Les barrières du passage à niveau où une collision entre un train et un autocar scolaire a tué cinq adolescents à Millas (Pyrénées-Orientales) étaient « levées », selon les déclarations de la conductrice du véhicule aux enquêteurs, a annoncé samedi 16 décembre le procureur de la République, Xavier Tarabeux.
Il a cependant précisé à l’Agence France-Presse (AFP) que « le bloc d’articulation [de la barrière] endommagé dans l’accident était en position fermée ». Toutefois, a-t-il dit, l’enquête doit montrer si cette position fermée est « la résultante de l’accident » ou si la barrière avait normalement fonctionné. M. Tarabeux a par ailleurs précisé que les enquêteurs allaient « essayer de redéfinir le champ de vision de la conductrice à sa hauteur par un drone ».
Un cas de passage à niveau dysfonctionnant c’est produit aux Etats-Unis le 6 septembre 2017 heureusement sans accident. La vidéo est éloquente et c’est, si les dires de la conductrice du car Français sont juste, ce qui a du se passer lors de l’accident à Millas.
Le peuple palestinien a déjà vécu trois Intifadas : 1987, 2000 et 2015.
1987, La guerre des pierres :
Le premier soulèvement populaire éclate après la mort de 4 ouvriers palestiniens dans un accident provoqué par des militaires israéliens. De jeunes palestiniens combattent les patrouilles israéliennes avec des pierres.
Nombre de morts : 1’104 du côté palestiniens et 140 du côté israélien. Cette intifada prendra fin en 1993 avec les accords d’Oslo.
2000 Seconde intifada :
La visite d’Ariel Sharon leader de la droite israélienne sur l’Esplanade des Mosquées déclenche la deuxième intifada. Émeutes, affrontements armés, attentats suicides. Ces violences font plus de 5’670 morts dont 3/4 de palestiniens ; elles se terminent en 2015.
2015, l’intifada des couteaux :
Les palestiniens multiplient les attaques à l’arme blanche contre des civils ou des soldats israéliens. Les assaillants sont le plus souvent abattus sur le champ.
Nombre de morts : près de 200 du côté palestinien et 30 du côté israélien.
Aujourd’hui, de nouvelles violences entre palestiniens et israéliens ont éclaté à Bethléem après la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale d’Israël.
C’est la plus importante réduction d’espaces protégés de l’Histoire des États-Unis. Donald Trump a annoncé, le 4 décembre dernier, que des aires protégées situées dans l’Utah, au sein de deux zones historiques pour les Amérindiens, seraient fortement réduites.
810 000 hectares ne sont plus sous protection fédérale
Pour le Bears Ears National Monument, instauré par Barack Obama en 2016, il prévoit une diminution de 85%. Quant au Grand Staircase-Escalante National Monument, instauré par Bill Clinton en 1996, c’est moins 50%. Au total, c’est presque 810 000 hectares qui ne sont plus sous protection fédérale.
Selon Donald Trump, il s’agit de laisser aux habitants de l’Utah la protection des ressources naturelles sur leur propre territoire, plutôt qu’elles soient « contrôlées par une petite poignée de bureaucrates localisés à Washington. »
Des tribus indiennes envisagent de saisir la justice
Cependant, cette décision permettrait également le forage ou l’exploitation minière sur ces zones, ce qui était jusqu’ici interdit sur ces zones considérées d’un intérêt historique et scientifique. 100 000 objets de valeur archéologique se trouvent en effet au Bears Ears National Monument.
Une manifestation s’est rapidement formée devant le capitole de l’Utah. Les cinq tribus indiennes de la région envisagent également saisir la justice, ils sont soutenus par les associations de protection de l’environnement. Une plainte a déjà été déposée par une ONG pour contester la décision.
Aujourd’hui, 47 millions d’américains mangent avec des tickets distribués par le gouvernement ce qui représente 15% de la population. En 2008 ils étaient 9%
Le nombre d’américains se trouvant hors de la population active (en dehors du marché du travail) se situe toujours proche des sommets historiques au 31 Octobre 2017, selon les nouvelles données sur l’emploi publiées ce vendredi 3 Novembre 2017 par le département du travail américain (Bureau of Labor Statistics-BLS).
Statistics – BLS) rapporte ce vendredi 03 Novembre 2017 que 95,385 millions d’américains (âgées de 16 ans et plus) n’étaient ni employés le mois dernier, ni en recherche active d’un emploi durant les quatre dernières semaines.
Le nombre d’américains se trouvant exclus du marché du travail au 31 Octobre 2017( Not in labor force), est donc de 95,385 millions d’individus auxquels il faut ajouter 6,520 millions d’américains officiellement déclarés au chômage (unemployed)
En résumé:95,385 + 6,520= 101,905≈102 millions d’américains se trouvent sans emploi au 31 Octobre 2017.
Olivier Delamarche était intervenu le Vendredi 23 Juin 2017 sur boursorama dans l’émission Ecorama où il avait donné les vrais chiffres du chômage américain et ils sont plutôt effrayants.
N’oubliez pas ce qu’a déjà expliqué Olivier Delamarche au sujet des américains que l’on sort de la population active… « A force de sortir les gens de la population active, Barack Obama va finir par obtenir un taux de chômage négatif. » Les taux négatifs sont à la mode actuellement…
Jacques Attali-Août 2014:Marché de l’emploi US: Le chômage est à 17% aux Etats-Unis et non de 6%
ATTENTION!!
Actuellement, les indices ne grimpent pas du fait de l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche ou bien d’une embellie soudaine dans l’économie. Si les indices grimpent c’est parce qu’il n’y a plus qu’un seul acheteur que sont les banques centrales. Or malheureusement dans la vie réelle, la situation économique américaine n’arrête pas de se détériorer comme vous pourrez le constater ci-dessous. Alors remonter les taux dans de telles conditions et avec un monde endetté comme jamais il ne l’a été de toute l’histoire est suicidaire.
L’état de santé plus que chancelant de l’économie américaine
De nombreux indices portent fortement à croire que les récents incendies dévastateurs du Nord de la Californie s’inscrivent dans un plan d’aménagement de zones directement issue de l’agenda 21.
Théorie du complot ?
Sans vouloir jouer sur les mots vu le contexte et l’issue tragiques des évènements, certains éléments et témoignages tangibles pourraient laisser croire qu’il n’y a pas de fumée sans feu et que ces incendies aient été provoqués volontairement en utilisant une technologie high teck.
Le ciel de Genève (Suisse) Quai Gustave-Ador, le 17 octobre 2017 à 07:30 (Photo Stéphane Guibert – Finalscape)
De plus en plus régulièrement et de plus en plus souvent, si vous prenez le temps de regarder le ciel dans votre région, vous pourrez constater qu’il se zèbre de longues trainées blanchâtres qui persistent parfois des heures durant. Ces trainées sont laissée après le passages d’avion à réaction.
Ce qui est étonnant c’est de constater la persistance de ces trainées que certains appellent « Chemtrails » et plus étonnant encore, ces trainées s’étalent dans le ciel et par temps clair, finissent par voiler la clarté du soleil.
La photo ci-dessus a été prise tôt ce matin mais déjà bien avant le lever du soleil, on pouvait distinguer ces étranges nuages laissés par les avions qui quadrillaient le ciel du nord au sud et d’est en ouest..
La vidéo qui suit peut laisser songeur : Un slideshow de Genève date de l’article et de troublantes images de Baltimore dans l’état du Maryland aux États-Unis.
Santa Rosa est en cendres, la ville du comté de Sonoma en Californie a été détruite.
Depuis 5 jours de violents incendies ravagent le nord de la Californie.Le bilan humain ce jeudi matin s’élevait à 23 morts. Le président américain, Donald Trump, a déclaré mardi l’état de catastrophe naturelle. Le vent empêche les 8000 sapeurs-pompiers de stopper l’avancée des feux de forêt.
Dans le même foulée, sur les réseaux sociaux, des commentaires et des images tenteraient de démontrer qu’une arme dite « Arme à énergie directe » soit à l’origine de la catastrophe.
Ce qui suit sont des propos tenus sur un compte Facebook et n’engage en rien Finalscape.
Confirmé :
Santa Rosa a été frappée avec une arme à énergie directe.
Par Rick Duarte * 13 octobre 2017 * 5 PM EST USA
Oui, vous avez bien entendu ! La première fois qu’une rosée a été utilisée était pendant la première guerre en Irak… La rosée de l’armée américaine a fait fondre la chair des corps et n’a laissé que des squelettes carbonisé… les voitures et les véhicules avaient également fondu. La deuxième fois qu’elle a été utilisée c’était le 9/11/2001. Plusieurs rosées ont été utilisés lors de la destruction des tours jumelles.
Ce n’est pas de la science-fiction ! C’est la vérité !
On a des gens sur le terrain à Santa Rosa qui sont en train de faire des analyses et j’attends qu’ils me recontactent avec des détails supplémentaires.
Armes à énergie dirigée
Publié le 17 avril 2015
Une arme à énergie dirigée émet de l’énergie hautement concentrée, transférant cette énergie à une cible pour l’endommager. Les applications potentielles de cette technologie comprennent les systèmes d’armes antipersonnels, le potentiel de défense des missiles et la désactivation de véhicules légers, tels que les voitures, les drones, les jet-skis et les appareils électroniques tels que les téléphones portables.
La vidéo qui suit et qui est constituée de trois parties démontre :
Images officielles de la catastrophe.
Images tournées par un drone et qui démontrerait que les maisons ont été détruites mais que beaucoup d’arbres sont restés intactes.
L’étoile de la mort de Star Wars peut-elle exister ?
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Image: Keystone
Paris : L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture a perdu deux membres en une journée.
Israël a annoncé jeudi se retirer de l’Unesco comme les Etats-Unis à cause du parti pris anti-israélien, selon lui, de l’organisation onusienne devenue un «théâtre de l’absurde».
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu«a donné pour instruction au ministère des Affaires étrangères de préparer le retrait d’Israël de l’organisation, parallèlement aux Etats-Unis», a dit son bureau dans un communiqué. «L’Unesco est devenue le théâtre de l’absurde où l’on déforme l’histoire au lieu de la préserver», a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis, principal allié d’Israël, avaient annoncé auparavant leur retrait de l’Unesco, l’accusant d’être «anti-israélienne».L’ambassadeur d’Israël auprès des Nations unies, Danny Danon, avait salué la décision américaine comme le début d’une «nouvelle ère».
«Nous entrons dans une nouvelle ère aux Nations unies: celle où, quand on pratique la discrimination contre Israël, il faut en payer le prix», avait-il dit dans un communiqué fustigeant «les résolutions absurdes et honteuses adoptées par cette organisation contre Israël».
Jérusalem au coeur du conflit
Israël s’est emporté à maintes reprises contre des prises de position de l’Unesco. L’Unesco a provoqué la fureur israélienne en juillet en inscrivant la Vieille ville d’Hébron sur la liste du patrimoine mondial en danger et en caractérisant Hébron, en Cisjordanie occupée, comme ville islamique, alors que les juifs, dont quelques centaines y vivent aujourd’hui retranchés au milieu de 200’000 Palestiniens, revendiquent une présence de 4000 ans à Hébron.
Le gouvernement israélien s’est également indigné en voyant l’Unesco occulter, selon lui, le lien historique entre les juifs et Jérusalem. Jérusalem est au coeur du conflit israélo-palestinien. Israël en a annexé la partie orientale et palestinienne après la guerre des Six Jours et proclame tout Jérusalem sa capitale «indivisible».
Les Palestiniens veulent faire de Jérusalem-Est la capitale de l’Etat auquel ils aspirent. Les sites les plus sacrés du judaïsme, le mur des Lamentations et le mont du Temple (l’esplanade des Mosquées, également troisième lieu saint de l’islam), se trouvent à Jérusalem-Est. (ats/nxp)
Les Etats-Unis ont justifié leur décision par les positions «anti-israéliennes» de l’institution.
L’Unesco a perdu l’un de ses membres, et pas des moindres. Les Etats-Unis ont annoncé ce jeudi qu’ils se retiraient de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), accusant l’institution d’être «anti-israélienne».
Les Etats-Unis conserveront un statut d’observateur, a précisé le Département d’Etat, en lieu et place de leur représentation à l’agence onusienne basée à Paris. Le retrait ne sera effectif qu’à compter du 31 décembre 2018, conformément aux statuts de l’Unesco.
La directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, a dit «regretter profondément» jeudi la décision américaine. «L’universalité est essentielle à la mission de l’Unesco pour construire la paix et la sécurité internationales face à la haine et à la violence, par la défense des droits de l’homme et de la dignité humaine», a-t-elle souligné dans un communiqué.
«Cette décision n’a pas été prise à la légère, et reflète les inquiétudes des Etats-Unis concernant l’accumulation des arriérés à l’Unesco, la nécessité d’une réforme en profondeur de l’organisation, et ses partis pris anti-israéliens persistants», explique le Département d’Etat.
Washington avait prévenu début juillet de son intention de réexaminer ses liens avec l’Unesco après sa décision de déclarer la vieille ville de Hébron, en Cisjordanie occupée, «zone protégée» du patrimoine mondial. Cette décision, qualifiée d’«affront à l’Histoire», «discrédite encore plus une agence onusienne déjà hautement discutable», avait alors déclaré l’ambassadrice américaine à l’ONU, Nikki Haley.
Plus de financement américain depuis 2011
Les Etats-Unis, grand allié d’Israël, avaient déjà pris ses distances avec l’Unesco. Ils avaient ainsi arrêté de participer à son financement en 2011 après que l’agence a admis les Palestiniens parmi ses Etats membres. Mais ils continuaient depuis à siéger au Conseil exécutif de l’Unesco, composé de 58 membres.
Selon le département d’État, un statut d’observateur permettrait de continuer d’apporter la «vision» et «l’expertise» américaines «sur certains dossiers importants gérés par l’organisation», notamment «la protection du patrimoine mondial, la défense de la liberté de la presse» et la promotion des sciences et de l’éducation.
L’un des plus grands génocides de l’histoire de l’humanité et pire encore celui-ci continue tranquillement.
Les amérindiens sont parqués principalement dans des zoos réserves au états-unis d’Amérique.
Le cinéma des années soixante en a fait des barbares sauvages qui agressaient les pauvres colons esseulé dans leurs forts… ce qui est assez loin de la réalité historique. Aujourd’hui leur seul droit est de conserver le silence.
Avant l’arrivée des colons, huit millions d’Amérindiens vivaient parmi soixante millions de bisons (Carl et Lewis traverseront des troupeaux s’étendant sur plus de 20 kilomètres) et deux millions de loups sur un espace de 9.364.000km carré, actuel Etats-Unis d’Amérique.. Soit six bisons par km carré, un homme par 2 km carré et un loup par 5 km carré.
Et de nos jours :
Quelque centaine d’amérindiens
Quelques milliers de loups (traqué sans cesse)
Dix mille bisons
S’il est certain et reconnu que les maladies intégrées involontairement par les colons en Amérique causèrent la majeure partie des morts amérindiens, le regroupement, la déportation et l’exécution de tribus entières, qui ne figurent dans aucun manuel d’histoire, est responsable d’un nombre de morts ahurissants, oubliés.
Les Anglo-saxons n’ont jamais pensé que les Amérindiens pouvaient être « utilisables ». Ils les considéraient comme des adorateurs de Satan, des sauvages qui ne pouvaient pas trouver de salut au sein de la toute puissante Eglise, aussi leur extermination pure et simple, fut adoptée, petit à petit, « comme la seule politique acceptable ».
David E. Stannard écrivait « des milliers d’Indiens furent assassinés, sans relâche, escarmouche après escarmouche. Des centaines d’autres furent aussi assassinés au cours d’empoisonnements de masse, planifiés avec une habileté et une traîtrise ignoble. Un grand nombre d’amérindiens furent capturés au cours de véritables battues, à l’aide de chiens de meute et des Mastiff. »
Les bisons sont massacrés pour leurs fourrures et pour priver les amérindiens de leurs principales sources de nourriture.
Jusque dans les années 1830-1840, l’Ouest des Etats-Unis demeure le domaine des Indiens. L’honteuse déportation des tribus amérindiennes de l’Est par les troupes américaines vers le « Territoire indien » (une bande de terre au centre des USA « accordée » aux amérindiens) marque le peu d’intérêt que les colons européens portent à cette région jugée trop aride pour être cultivé.
Tout change en 1848 avec la découverte de l’or en Californie (où là aussi de nombreuses tribus vont disparaître, exterminées pour la folie de profit des colons).
Depuis les grandes villes de la côte Est des USA, des dizaines de milliers de colons vont s’élancer vers l’Ouest. S’en suivront de nombreux accrochages avec les peuples amérindiens qui habitaient les grandes plaines des Etats-Unis. Ces accrochages vont se transformer en de véritables guerres avec l’envoi des troupes américaines, envoyées par le Congrès américain pour protéger l’avancée de leurs colons.
Ces guerres vont se terminer en 1890 par un triste et célèbre massacre : Le massacre de Wounded Knee, où plus de trois cents Sioux-Lakotas désarmés vont être massacré par les mitrailleuses Hotchkiss du 7e régiment de Cavalerie. Les morts (hommes, femmes et enfants) dépouillés de leurs vêtements, sont jetés dans une fosse commune.
S’il est vrai qu’aucun des camps n’eut jamais le monopole de la terreur et des crimes, une simple comparaison des pertes subites par chacun des deux « camps » suffit à comprendre l’ampleur du désastre.
Le génocide culturel, qui s’accompagne par la disparition total des rites indiens, est lui reconnu de tous.
La vidéo qui suit est très intéressante, elle vous donne en image et en musique un résumé de ce qui est écrit ci dessus et vous propose une très bonne leçon d’histoire accessible à tous.