« Genève est un décor de carte postale à la hauteur de ses clichés. Mais derrière ses lourdes portes, la ville regorge de merveilles insoupçonnées. »
Comment résumer quatre millénaires d’histoire ? Genève, métropole cosmopolite et internationale, puise sa diversité et toute sa variété dans son passé fort en rebondissements. Une ville façonnée par plusieurs peuples à travers les époques, l’influence de cette richesse culturelle se fait encore ressentir. Alors, remontons un peu le temps pour mieux comprendre pourquoi Genève est si unique.
Si Genève a une place aussi centrale dans le monde, ce n’est pas pour rien. On peut remonter les origines de la ville à il y a bien longtemps, 2 000 ans avant J.C. À l’époque, un groupe de pionniers celtes auraient fondé la ville de Genève sur une portion de terre laissée vide par le glacier du Rhône se retirant. Ce peuple celte deviendra les Allobroges, un peuple gaulois installé dans toutes les Alpes. Reconnus comme de grands guerriers dans l’Antiquité, ils tombèrent cependant sous influence romaine aux environs de 120 avant J.C. Point stratégique sur le Rhône, Jules César fait de Genève un point de blocage des Helvètes en 58 av. J.C. Genève reste donc une ville gallo-romaine jusqu’à la chute de l’Empire Romain. Au 5ᵉ siècle après J.C., Genève devient la capitale du royaume de Burgonde. Lorsque la capitale du royaume est déplacée à Lyon, notre belle ville va connaître une longue période de développement, entremêlé de destructions dues aux guerres entre les deux frères burgondes.
Au Moyen-Âge, Genève redevient une pièce politique centrale en étant capitale des comtes de Savoie. Au déclin des ducs de Savoie, au 15ᵉ siècle, le traité de combourgeoisie avec les cantons suisses de Berne et Fribourg au 16ᵉ siècle. C’est la première fois que Genève est associée aux cantons suisses, et la ville fait donc partie de la confédération helvétique.
Ils ont entre 4 et 10 ans et viennent des quatre coins du canton de Genève. Doudounes imperméables, bottes et bonnets sont vivement conseillés, car dans une forêt isolée de la commune de Jussy, existe une école sans toit ni murs !
L’école en forêt propose une immersion en toutes saisons dans l’un des milieux naturels les plus propices aux découvertes du monde qui nous entoure et de la vie ensemble. Au gré de rencontres surprenantes, amusantes ou intrigantes avec les multiples expressions de la vie sauvage dont regorge la forêt, encadrés par des enseignantes agrées et des pédagogues par la nature, les enfants bénéficient d’un environnement idéal pour expérimenter et apprendre. À leur rythme et à celui de la nature, les enfants éprouvent leur individualité au travers du groupe, affûtent leur sens des responsabilités et développent naturellement de l’empathie pour les autres, le reste du monde vivant et ses composants non-vivants. Jour après jour, saison après saison, l’enfant peut renforcer ses connaissances scolaires en cheminant sur un tapis de feuilles mortes, de la mousse ou de la terre, vers un art de vie durable.
Note de la rédaction:
Dans un proche avenir, seuls ceux qui savent planter mangeront.
Crédit vidéo: Radio Télévision Suisse
Voir également: « La cabane. »
Qui n’a pas rêvé un jour d’avoir une cabane entièrement aménagée dans les bois. Un rêve devenu réalité pour un groupe d’adolescents ariégeois. Paul, Louis, Maël, Sacha, Evan et d’autres sont de véritables génies de la débrouille. Et leurs aventures de Robinson cartonnent sur les réseaux sociaux.
Dégourdis et particulièrement bricoleurs, à une quinzaine de kilomètres de Foix, dans le petit village de Saint-Felix-de-Rieutord, ils construisent la maison de leur rêve : une cabane fabriquée de leur propres mains.
Un homme envoie 600 préservatifs aux députés pour qu’ils ne se reproduisent pas.
Exaspéré par les comportements qu’il observe chez les élus, Pierre Guiraud, habitant de Lodève, a envoyé 600 préservatifs aux députés. Un geste symbolique et provocateur, destiné à dénoncer un « spectacle pitoyable » à l’Assemblée nationale. Une action qui intervient alors que la colère sociale enfle, à la veille de la grève du 18 septembre.
Le colis a été envoyé le 11 septembre à l’Assemblée nationale par Pierre Guiraud, baptisé « Pierrot le Zygo » sur les réseaux sociaux, qui entend ainsi exprimer son mécontentement de la tournure des débats parlementaires : « Le niveau de l’Assemblée à chaque élection législative descend de plus en plus, là, on n’est plus au niveau, on est au caniveau », déclare-t-il, tout en précisant qu’il a conscience qu’« ils ne sont pas tous comme ça ».
Pierre Guiraud dénonce la forme : « Quand on voit les élus crier, d’autres à moitié affalés, ceux qui ne se serrent pas la main, qui s’insultent », mais aussi le fond des débats : « Quand j’entends les uns dire que la police, c’est des assassins, quand j’entends les autres dire que les Arabes sont la cause de la situation actuelle, quand j’entends les écolos dire qu’il ne faut plus manger de viande, je trouve que c’est ridicule et que ça n’a pas lieu d’être. »
Il admet « qu’ils ne sont pas tous comme ça, je généralise, mais il y en a une bonne partie. Ce sont des choses qu’on ne voyait pas dans une Assemblée et je trouve ça pitoyable ».
Cet habitant de Lodève n’est pas tout à fait un citoyen lambda : Pierre Guiraud a été un candidat atypique, inspiré par Coluche, à plusieurs élections, notamment aux législatives de 2012 dans le département. Il s’était également fait remarquer en expédiant en 2019 un pyjama des Dalton à Patrick Balkany à la prison de la Santé. Autre action symbolique à son actif : en 2016, il avait « mis en conserve » « les derniers souffles du socialisme » à Paris, rue de Solférino, où se trouvait l’ancien siège du PS.
Unusual:
Man sends 600 condoms to MPs so they don’t reproduce.
Exasperated by the behavior he observes among elected officials, Pierre Guiraud, a resident of Lodève, sent 600 condoms to the members of parliament. A symbolic and provocative gesture, intended to denounce a « pathetic spectacle » in the National Assembly. This action comes as social anger swells, on the eve of the September 18 strike.
The package was sent to the National Assembly on September 11 by Pierre Guiraud, nicknamed « Pierrot le Zygo » on social media, who intended to express his dissatisfaction with the direction of parliamentary debates: « The level of the Assembly at each legislative election is dropping lower and lower, now we are no longer at the level, we are in the gutter, » he declared, while specifying that he is aware that « they are not all like that. »
Pierre Guiraud denounces the form: « When we see elected officials shouting, others half-slumped, those who don’t shake hands, who insult each other », but also the substance of the debates: « When I hear some say that the police are murderers, when I hear others say that the Arabs are the cause of the current situation, when I hear the ecologists say that we should no longer eat meat, I find that it’s ridiculous and that it has no place. »
He admits that « they are not all like that, I am generalizing, but there are a good number of them. These are things that we did not see in an Assembly and I find that pitiful. »
This Lodève resident is not exactly an ordinary citizen: Pierre Guiraud was an atypical candidate, inspired by Coluche, in several elections, notably the 2012 legislative elections in the department. He also made a name for himself by sending a pair of Dalton pajamas to Patrick Balkany at La Santé prison in 2019. Another symbolic action to his credit: in 2016, he « preserved » « the last breaths of socialism » in Paris, on Rue de Solférino, where the former headquarters of the Socialist Party were located.
La petite maison dans la prairie (Beyond the Stage)
Heureusement que rire n’est pas officiellement contagieux pour les élites sanitaires, du moins, pas encore. On ne sait pas ce qu’ils vont à nouveau inventer pour nous museler d’avantage. Profitons, on ne sait pas combien de temps ça va durer.
Little House on the Prairie (Beyond the Stage)
Fortunately, laughter isn’t officially contagious for the health elite, at least not yet. We don’t know what they’ll invent next to silence us even more. Let’s enjoy it, we don’t know how long it will last.
Le commissaire Dreyfus ayant sombré dans la folie à la suite des maladresses de Clouseau, son subordonné (cf. films précédents), il a été interné dans une clinique psychiatrique. Considéré comme guéri, il est sur le point d’être libéré. Malheureusement, une catastrophique visite de Clouseau le fait retomber dans la folie et devenir un dangereux criminel. Dreyfus enlève un savant, inventeur d’un rayon laser destructeur, et menace de s’en servir si Clouseau n’est pas éliminé rapidement. Des agents secrets de tous les pays sont chargés par leurs gouvernements de tuer Clouseau.
À la recherche de la Panthère rose (Trail of the Pink Panther) est un film américano-britannique réalisé par Blake Edwards et sorti en 1982.
Synopsis:
C’est le dernier opus de la série de films mettant en vedette Peter Sellers dans le rôle de l’inspecteur Clouseau. Il constitue la première partie d’un diptyque, qui sera suivi l’année suivante par L’Héritier de la Panthère rose.
Le fameux diamant la Panthère rose a disparu. L’inspecteur Clouseau, qui a été appelé pour mener l’enquête, disparaît avec son avion. Marie Jouvet, une célèbre journaliste française, va alors tenter de le retrouver.
Sliders : Les Mondes parallèles (Sliders) est une série télévisée de science-fiction américaine créée par Tracy Tormé et Robert K. Weiss. Elle a été diffusée pendant cinq saisons entre 1995 et 2000. La série suit un groupe de Sliders (glisseurs), qui avec un minuteur accède à un monde parallèle. Pour les deux premières saisons, la série a été produite à Vancouver, au Canada et certains plans ont été filmés à San Francisco aux États-Unis. Elle a ensuite déménagé à Los Angeles, où ont été filmées les trois dernières saisons.
Gaza, Génocide à moitié?
Regardez-vous dans un miroir!
Palestine
Je ne rentre pas dans le débat du conflit Israélo-palestinien parce que j’ai d’innombrables amis des deux côtés de la barrière.
Mais trop, c’est trop!
Ce ne sont pas les Juifs qu’il faut incriminer mais une panoplie d’élites dont le dénominateur commun est le: « SIONISME » qui n’est ni une culture, ni une religion et encore moins une nation.
Le Sionisme n’est autre que l’apologie du pouvoir par l’argent et la domination. Une entité mortifère.
Nombreux sont les juifs adhérant à la cause Palestinienne et je les rejoins en mon âme et conscience.
Vidéos: Ces documents qui serviront l’histoire.
Gaza, Half-genocide? Look in the mirror!
Palestine
I don’t enter into the debate on the Israeli-Palestinian conflict because I have countless friends on both sides of the fence.
But enough is enough!
It is not the Jews who should be blamed but a panoply of elites whose common denominator is: « ZIONISM » which is neither a culture, nor a religion and even less a nation.
Zionism is nothing other than the apology for power through money and domination. A deadly entity.
There are many Jews who support the Palestinian cause and I join them in all conscience.
Je m’appelle Stéphane Guibert, je vis à Genève en Suisse et suis de formation hôtelière. Je suis issu des années 80 et ‘ai un parcours professionnel atypique.
Parcourant le monde après l’obtention de mon CFC (Certificat Fédéral de Capacité) j’ai appris à me familiariser avec d’innombrables cultures, tant sur les plans culinaires qu’autochtones.
En parcourant le monde pendant 15 ans, je me suis immergé dans ce qui me fait aimer l’humain.
J’ai vécu en tant que SDF, en Suisse, en Espagne et aux USA. Je suis un routard avec des années d’expérience.
Finalscape est né il y a plus de 20 ans. Tout d’abord un nom de domaine (Finalscape) en déshérence, je me suis ensuite projeté dans ce que l’on appelle le complotisme.
J’aime me confronter à moi-même, j’aime remettre en question les acquis et j’aime les débats.
Finalscape reflète un parcours que je mets en ligne. Une succession d’analyses et le bien fondé. Je n’impose ma vision à personne, je ne fais que suggérer.
Mes vrais amis se comptent sur les 5 doigts de ma main gauche, celle du cœur. Il y a aussi Houssine que la bonté de la vie a mis sur mon chemin, ce gosse qui comme moi, cabossé de la vie est devenu au travers de divergences et convergences le fils que je n’ai jamais eu.
Finalscape est simplement un blog, un journal intime à ciel ouvert que j’essaye de vous partager.
Bien à vous.
Stéphane Guibert
Why Finalscape?
I would like to start with: « Once upon a time. »
Let me introduce myself:
My name is Stéphane Guibert, I live in Geneva, Switzerland, and I have a background in hospitality. Originally from the 1980s, I have an unusual background.
Traveling the world after obtaining my CFC (Federal Certificate of Capacity), I learned to familiarize myself with countless cultures, both culinary and Aboriginal.
Having traveled the world for 15 years, I have immersed myself in what makes me love the human race.
I’ve lived as a homeless person in Switzerland, Spain, and the USA. I’m a backpacker with years of experience.
Finalscape was born over 20 years ago. First, a domain name (Finalscape) that had fallen into disuse, I then threw myself into what is known as conspiracy theories.
I like to challenge myself, I like to question what has been learned and I like debates.
Finalscape reflects a journey I’m sharing online. A series of analyses and their merits. I’m not imposing my vision on anyone; I’m only suggesting it.
My true friends can be counted on the five fingers of my left hand, the one of my heart. There is also Houssine, whom the kindness of life put in my path, this kid who, like me, battered by life, became, through divergences and convergences, the son I never had.
Finalscape is simply a blog, an open-air diary that I try to share with you.
Yours faithfully.
Stéphane Guibert
De ce Finalscape?
Aș vrea să încep cu: „A fost odată ca niciodată”.
Permiteți-mi să mă prezint:
Numele meu este Stéphane Guibert, locuiesc în Geneva, Elveția, și am experiență în domeniul ospitalității. Sunt originar din anii 1980 și am o carieră atipică.
Călătorind prin lume după obținerea CFC-ului (Certificatul Federal de Capacitate), am învățat să mă familiarizez cu nenumărate culturi, atât culinare, cât și aborigene.
Călătorind prin lume timp de 15 ani, m-am cufundat în ceea ce mă face să iubesc rasa umană.
Am trăit ca persoană fără adăpost în Elveția, Spania și SUA. Sunt un turist cu rucsacul în spate cu ani de experiență.
Finalscape s-a născut acum peste 20 de ani. Mai întâi, un nume de domeniu (Finalscape) care căzuse în desuetudine, apoi m-am aruncat în ceea ce se numește teorii ale conspirației.
Îmi place să mă provoc, îmi place să pun la îndoială ceea ce s-a învățat și îmi plac dezbaterile.
Finalscape reflectă o călătorie pe care o împărtășesc online. O serie de analize și meritele lor. Nu îmi impun viziunea nimănui; doar o sugerez.
Adevărații mei prieteni pot fi numărați pe cele cinci degete ale mâinii stângi, cea a inimii mele. Mai este și Houssine, pe care bunătatea vieții mi l-a pus în cale, acest copil care, ca și mine, bătut de viață, a devenit, prin divergențe și convergențe, fiul pe care nu l-am avut niciodată.
Finalscape este pur și simplu un blog, un jurnal „Personal” pe care încerc să-l împărtășesc cu voi.