Très réputé en matière de contrefaçons en tous genres voir même leader mondial, ce pays, la Chine, ne cesse de nous ébahir dans le mauvais sens du terme surtout dans l’alimentaire avec des articles et des vidéos publiés sur la toile, dénonçant l’irrespect en matière de sécurité.
Des crustacés gonflés à la gélatine industrielle aux riz en plastique, des poulets gonflés à l’eau aux petits pois colorés aux additifs, voici qu’une vidéo récemment postée sur les réseaux sociaux nous décortique un jambon peu ragoutant.
Analyse très pertinente de ce qui se passe dans le monde et que je vous invite à écouter ne serais-ce que pour avoir une vision dissidente (ouvrir les yeux) sur une autre réalité que celle que les médias de masse s’acharnent à nous imposer.
La Syrie reste le front le plus dangereux, c’est dans ce pays que les grands empires Russe et Américain se sont affrontés le plus violemment. Il y a quelques semaines, le président américain D. Trump a été forcé de retirer ses troupes de Syrie car son aviation ne pouvait plus attaquer l’armée syrienne protégée par le système de protection aérienne Russe. Jusqu’à maintenant, la stratégie américaine étais simple : maintenir le chaos en Syrie en empêchant l’armé syrienne de libérer les villes qui étaient aux mains de Daesh ; mais grâce à la présence des S-400 russes, les américains et les israéliens ne peuvent plus bombarder les positions syriennes.
Trump a du effectuer ce que l’on appelle : un repli stratégique, il a envoyé ses troupes ailleurs, comme en Irak par exemple en attendant l’occasion de pouvoir frapper à nouveau mais les américains sont désemparés, ils ne savent plus quoi faire pour intervenir en Syrie ; alors ils ressortent la vieille « fake news » de l’attaque chimique mais plus personne n’y croit. Le président syrien est soutenu par son peuple et est en train de gagner la guerre. Pourquoi commettrait-il des massacres contre son propre peuple ?
Les États-Unis font également face à la Chine, en mer de Chine méridionale. La Chine prétend que les îles et archipelles de cette mer lui appartiennent. L’armée américaine y a envoyé récemment un navire de guerre afin de provoquer la Chine et ce n’est pas la première fois. Il se peut très bien qu’un jour ou l’autre, ses confrontations se terminent très mal. Il pourrait y avoir un accrochage et donc un début de guerre entre ces deux pays. À ce sujet, le président chinois a déclaré à son armée de se tenir prête à la guerre…
Notre planète recèle des trésors et des paysages dignes des plus beaux contes de fées. Le réalisateur James Cameron l’a bien compris et s’en est inspiré pour son film “Avatar”
Pas besoin de quitter notre galaxie pour être propulsé dans des décors fantasmagoriques puisque c’est en Chine que ce réalisateur de génie est allé s’inspirer pour créer une partie des décors de ce succès incontournable du cinéma Hollywoodien qu’est “Avatar”
Le blogueur EUGENE KASPERSKY s’y est rendu et nous dévoile cette magie plus qu’ancestrale.
Ce n’est pas de la science-fiction, en Chine, c’est une réalité. Dans les lieux publics, tout le monde est scruté ; un visage peut instantanément être associé à une identité. Les Chinois appellent ce système « l’œil céleste ». Pendant que les agents de circulation ont le dos tourné, les caméras, elles, dotées du système de reconnaissance faciale, font leur travail. Des caméras intelligentes à tous les coins de rue, et pour ceux qui traversent les feux rouges, l’amende est de trois euros. La Chine ne connait pas de loi sur la vie privée ; être filmé ne semble déranger personne. « Une atteinte à la vie privée ? C’est le prix à payer pour notre sécurité », commente un passant.
Cela n’est pas nouveau et n’est pas non plus tiré d’une quelconque théorie dite du complot ; des techniques existent bel et bien pour faire tomber de la pluie artificiellement comme cela était notamment le cas en Thaïlande en 2013. Afin de luter contre la sécheresse, le pays utilisait du sel broyé et pulvérisé par avion dans les nuages. Le sel qui en s’agglomérant aux goutes d’eau déjà présentes naturellement à l’intérieur des nuages devait provoquer des averses.
Un peu partout sur le globe ces méthodes pour faire tomber la pluie moyennant des techniques différentes existent et sont utilisés avec plus ou moins de succès.
En Chine, une technique d’épandage aérien avait permis de provoquer artificiellement des chutes de neige peu avant Noël et ce, toujours dans le but préventif de luter contre la sécheresse. Cette expérience qui dans un premier temps avait été un succès devait se solder par un chaos monumental dans les rues de la capitale, Pékin.
Coïncidence ou ironie du sort, peu après cette expérience, la région devait être frappée par toute une série d’inondations catastrophiques.
Chine : Chaos dans les rues de Pékin après des chutes de neige artificielle
Les chinois sont passés maîtres en matière de dopage, de tromperie et de contrefaçon. Les exemples vérifiés ne manquent pas.
Booster la vente des crevettes en les gonflant avec de la gélatine, le poulet en y injectant de l’eau ou encore la viande dans la vidéo illustrant ce billet …
Tous ces produits peuvent un jour ou l’autre se retrouver dans notre assiette.
Les autorités sanitaires européennes attendent-elles une catastrophe pour réagir ? Mais pour l’heure, prendre un peu plus de temps en lisant attentivement les étiquettes des produits que nous achetons est la seule assurance que nous ayons pour notre sécurité alimentaire. Manger local peut également y contribuer et du même coup booster notre économie tout en préservant l’environnement.
Vous aimez les fruits de mer ainsi que les produits qui y sont issus ? Alors accrochez-vous car ceci n’est pas un fake !
Décidément, en matière de poisons et toutes autres sortes de daubes économiques (capitalisme oblige), les pays asiatiques n’ont pas fini de nous étonner.
Des gambas élevées en Asie et gonflées en usine à la gélatine pour en augmenter le poids et améliorer l’aspect esthétique. C’est une vidéo qui a fait le tour du monde sur les réseaux sociaux.
Info ou intox ?
La vidéo est vraie, le reportage a été diffusé sur une chaîne vietnamienne pour dénoncer la pratique, qui est illégale là-bas également. La matière injectée est de la gélatine, mais certaines sources parlent également de proportions de glu industrielle injectées dans les animaux, ce qui poserait évidemment un risque sanitaire. A noter également : la manipulation d’aiguilles dans des conditions sanitaires déplorables pose également problème. Pour l’instant, on ne déplore pas de mort, mais certains trafiquants ont tout de même été arrêtés en Chine.
Aucune plainte n’a été déposée chez nous à ce propos, des contrôles spécifiques n’ont donc pas encore été effectués. Pour le moment les seuls cas avérés ont été détectés en Chine et au Vietnam. La gélatine est facilement détectable dans l’assiette. Si vous avez un doute, prévenez le SPF économie.
La pénurie en abeilles et le travail méticuleux des apiculteurs locaux donnent le vertige aux prix dans la mesure où nous faisons le choix et pour autant que nous en ayons les moyens, d’opter pour une alimentation locale.
Je me suis offert le luxe de me payer un pot de miel genevois, cuvée juillet 2017 à 14.90 CH.Fr le pot de 250 grammes menant le kilo à plus de 59 francs, soit près de 51 euros.
Alors comment expliquer que des produits venant d’Asie et plus particulièrement de Chine nous soient vendus à des prix défiants toutes concurrences ?
Petit retour sur les combines de producteurs sans scrupules allant jusqu’à prendre le risque d’empoisonner les consommateurs non avisés que nous sommes.
Pour booster leurs marges, les agro-industriels utilisent des techniques très limites
Le poivre : Le poivre entier coûte plus cher que le poivre moulu. Le secret ? Ajouter des noyaux d’olive broyés dans le poivre moulu.
La confiture de fraises : Dans les supermarchés on trouve des confitures de fraises à 1 Euro. Le secret ? Faire des confitures de fraises sans fraises. Pour cela il faut : Du concentré de fruits rouge, du sucre et des pépins de fraises.
Le miel : 32% des miels testés par l’Union Européenne sont trafiqués. De nombreux miels asiatiques n’ont jamais vu d’abeilles. Ce sont de simples sirops de sucre à base de riz ou de maïs.
C’est aussi vrai pour la soupe, la purée, les lasagnes, les épices, les pizzas, la ratatouille, les steaks hachés, la sauce bolognaise, le cassoulet, le couscous, la harissa, le hachis Parmentier, le surimi …
L’accord de libre-échange avec la Chine porte ses fruits trois ans seulement après son entrée en vigueur – et ce, alors même que la période de transition court toujours. Les entreprises suisses ont vendu, chaque année, davantage de produits et de services à la Chine, alors que celle-ci réduit ses importations à l’échelle mondiale.
L’année 2015 a été mouvementée: la Banque nationale suisse abandonnait le taux plancher avec l’euro, le franc suisse s’envolait et les entreprises exportatrices suisses étaient tout à coup confrontées à un désavantage concurrentiel majeur. C’était le cas de l’entreprise Baumann, qui fabrique des ressorts métalliques à Ermenswil dans le canton de Saint-Gall. En Chine, ses produits ont renchéri de 18% du jour au lendemain. Pendant cette phase difficile, l’entreprise a bénéficié de l’accord de libre-échange avec la Chine, un des succès de la politique économique extérieure de la Suisse. Dans un récent communiqué de presse, l’Union suisse des paysans affirme que cet accord a un effet limité. économie suisse réagit avec une mini-étude montrant ses effets pour l’économie suisse trois ans seulement après son entrée en vigueur.
Tous les droits de douane ne sont pas encore supprimés
L’accord de libre-échange est entré en vigueur en 2014. Depuis, les Chinois suppriment des droits de douane sur une multitude de produits suisses – ils ne le font pas du jour au lendemain mais progressivement. Reprenons l’exemple de la société Baumann: avant l’entrée en vigueur de l’accord, les droits de douane sur ses produits se montaient à 7%. Aujourd’hui, ils s’élèvent à 4,7%. En 2028, ses produits seront exonérés de droits de douane. Très important: la Suisse est le seul pays d’Europe continentale à bénéficier de tels facilitations. Les entreprises suisses ont donc un avantage par rapport à la concurrence de l’UE ou des États-Unis. Ces allègements rendent les produits suisses beaucoup plus compétitifs à l’étranger et les économies ainsi réalisées peuvent servir à des investissements en Suisse. Cela bénéficie à l’ensemble du pays, via les emplois créés.
Les entreprises suisses résistent à la tendance
Il n’existe pas encore d’étude empirique sur les effets de l’accord de libre-échange avec la Chine, ce qui n’aurait guère de sens aujourd’hui puisque les délais de transition pour la suppression des droits de douane courent encore et que l’accord ne déploie qu’une petite partie de son effet. Il vaut la peine toutefois d’examiner l’évolution générale des échanges entre la Chine et la Suisse depuis l’entrée en vigueur de l’accord et de la replacer dans un contexte plus large.
Il est vrai que les exportations suisses destinées à la Chine progressaient plus vite avant l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange. Cependant, la croissance chinoise a ralenti et l’ensemble des importations se sont fortement repliées. En 2016, les achats chinois de biens et services à l’échelle mondiale ont ainsi reculé de 5% par rapport à l’année précédente. Il y a une exception: les produits suisses. La même année, les entreprises suisses ont vu leurs ventes vers la Chine progresser de 10%.
Les prestataires de services consolident aussi leur position
La pièce maîtresse de l’accord de libre-échange avec la Chine est certainement la suppression des droits de douane. Cela dit, l’accord prévoit aussi d’autres facilitations, telles que la protection de la propriété intellectuelle, la protection des investissements, les marchés publics et le commerce des services. Alors que les exportations de services suisses ont augmenté d’un peu plus de 1% en 2017, celles destinées à la Chine ont progressé de 3%.
Les PME ne sont pas en reste
Une enquête réalisée auprès des membres d’economiesuisse – qui représentent plus de 100 000 entreprises au total – a montré que les entreprises suisses utilisent l’accord de libre-échange. Les retours positifs viennent de grandes entreprises certes, mais également de PME.
La Suisse a conclu 31 accords de libre-échange à l’échelle mondiale, ce qui constitue un avantage concurrentiel de taille pour la place économique. Une étude du Seco dit, en substance, que les exportations suisses de marchandises ont augmenté de 4,1% en moyenne par an entre 1988 et 2014, tandis que les exportations vers des partenaires de libre-échange hors UE/AELE ont progressé de plus de 8,5% en moyenne par an les quatre années suivant l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange concerné. Autrement dit, les exportations destinées à des pays avec lesquels la Suisse a conclu un accord de libre-échange augmentent près de deux fois plus vite en moyenne.
Le succès n’est pas gravé dans le marbre. La pression concurrentielle est forte à l’échelle internationale, d’autres pays rattrapent leur retard et concluent des accords de libre-échange qui pourraient avantager leurs entreprises par rapport aux firmes suisses. Il est important que la Suisse puisse conclure d’autres accords globaux. C’est le seul moyen de garantir que les entreprises exportatrices suisses puissent continuer de créer des emplois et de faire des affaires.
Accord de libre-échange entre la Suisse et la Chine: les précisions d’Alain Rebetez, à Kehrsatz (BE)
Tant que le tanker «Sanchi» brûlait, les condensats qu’il transportait s’évaporaient en grande partie. Mais maintenant qu’il a sombré, ils se répandent dans un écosystème très riche. Est-ce grave? Les experts sont divisés.
Le naufrage du pétrolier «Sanchi» au large de la Chine menace aussi le Japon. Mais à Tokyo, c’est le mutisme. Parce que l’épave est située dans une zone contestée?
Silence radio assourdissant à Tokyo mardi après-midi concernant le naufrage d’un pétrolier iranien en mer de Chine orientale, avec une cargaison de près de 140 000 tonnes de pétrole brut considérée comme particulièrement toxique pour la faune et la flore marines. C’est près de deux fois la cargaison du Prestige, qui avait coulé au large de la Galice en 2002.
Le Sanchi, battant pavillon panaméen, a sombré dimanche, plus d’une semaine après une collision avec un chalutier au large de Shanghai. Incendie incontrôlable, dérive sur plus de 150 milles nautiques et explosions – aucun des 32 membres d’équipage n’a pu être secouru.
Passez votre chemin, il n’y a plus rien à Voir !
Alors qu’une catastrophe écologique sans précédent se déroule en temps réel, pourquoi 2 mois après les événements plus aucun grand média n’en parle ?
Des concentrés de tomates périmés coupés à divers produits pour alléger les coups, poissons et poulets gonflés artificiellement, fruits et légumes colorés par des additifs, poussins vivants passés à la broyeuse etc…
Les produits chinois qui ne sont pas rigoureusement contrôlés par les normes de sécurité en vigueur devraient être systématiquement boycottés.
Faut-il attendre des morts en série pour que les autorités interviennent ?
Cette vidéo qui est en deux partie démontre les pratiques chinoises pour écouler des lots de concentré de tomates souvent périmés et coupés entre 30 et 60% par des produits douteux qui ne sont pas mentionnés sur les emballages et la seconde partie, en caméra cachée, des pratiques de fabrication qui font froid dans le dos.