Alimentation et Santé : La ionisation des aliments

Irradiation des aliments : définition

L’irradiation des aliments, officiellement appelée « ionisation » consiste à soumettre un aliment à un rayonnement ionisant : rayons gamma (issus de substances radioactives, le Cobalt 60 ou le Césium 137), rayons x ou faisceaux d’électrons à très haute énergie.

Ce procédé, inventé au milieu des années 1940 par des scientifiques français, pour les besoins des échanges internationaux, permet de décontaminer les denrées, supprimer certains micro-organismes et insectes, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et mieux conserver les aliments. Elle permet ainsi le transport sur de longues distances et le stockage de longue durée.

Avantages de l’irradiation des aliments

L’irradiation des aliments ne rend pas l’aliment radioactif . Elle ne doit pas être confondue avec la contamination radioactive (incorporation par la plante ou l’animal d’éléments ou composés radioactifs polluants qui se retrouvent dans les aliments).

Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (pesticides, conservateurs) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.

Les partisans de l’irradiation des aliments la présente comme une solution-miracle contre les maladies d’origine alimentaire (salmonellose, infections à E. coli 0157 :H7). Malheureusement, de nombreuses études scientifiques montrent également les limites et les risques de l’irradiation sur la santé.

L’irradiation des aliments : les risques

Des associations de défense des consommateurs et de l’environnement soulignent l’appauvrissement de la valeur nutritive et des vitamines contenus dans les aliments. « Bien que l’irradiation soit suffisante pour tuer des organismes supérieurs, elle n’inactive pas les toxines / mycotoxines libérées par les bactéries et les champignons. En revanche, elles peuvent détruire des vitamines et entraîner la formation de substances néoformées ou de radicaux libres préjudiciables à la salubrité des aliments ou à leurs propriétés organoleptiques. » précise le CNRS.

Certaines bactéries sont très utiles puisqu’elles agissent sur l’apparence des aliments (pourrissement, odeur) et permettent ainsi aux consommateurs de repérer les aliments douteux. Les aliments irradiés paraissent sains, mais ne le sont pas toujours… C’est pourquoi, l’irradiation peut être utilisée pour masquer au consommateur des produits trop vieux et qui ne devraient plus être consommés et peut donc se substituer à de bonnes pratiques sanitaires ou pour « recycler » des produits atteignant leur date de péremption.

Les aliments ionisés pourraient contenir de nouveaux éléments soupçonnés d’être cancérigènes et mutagènes. A ce titre, des animaux de laboratoire nourris d’aliments irradiés sur de longues périodes souffrent de nombreuses maladies génétiques, de problèmes de reproduction, de déformations et de mortalité précoce, selon une étude[1] menée par des scientifiques allemands et français. En effet, une substance particulière créée par l’irradiation dans les aliments, l’alkylcyclobutanone, pourrait être facteur de cancer.

Les risques sur l’environnement

Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires.

De plus, cette technique favorise des modes de production et de distribution industriels délocalisés où le transport, source de pollution, n’est plus un problème pour la conservation des aliments. Cela n’est pas sans conséquences, car l’irradiation, en allongeant la durée de conservation des aliments, risque d’accentuer la délocalisation des productions agricoles où les normes environnementales et sociales peuvent être déplorables pour des cultures qui peuvent être produites localement.

Législation européenne

En Europe, les aliments qui ont subi cette irradiation doivent obligatoirement présenter la mention « Traité par ionisation » ou « Traité par rayonnement ionisant » sur leur étiquetage, ce qui n’est pas le cas d’autres pays qui exportent leurs produits ionisés dans la plus grande opacité pour le consommateur.

Au niveau européen, environ 40 000 tonnes d’aliments ont été irradiés en 2003, soit une multiplication par deux (20 000 tonnes environ pour 2002). Actuellement, l’ionisation est autorisée pour une seule catégorie d’aliments en Europe, il s’agit des herbes aromatiques séchées, des épices et des condiments végétaux.

Et en France ?

Cependant, des dérogations ont été mises en place comme en France où un certain nombre de produits alimentaires peuvent être irradiés : épices, aromates, herbes aromatiques séchées ou surgelées, oignons, ail, échalotes, fraises, farine de riz, légumes déshydratés, fruits secs (abricots, figues, raisins, dattes) légumes et fruits secs, corn flakes et muesli, camembert au lait cru, viande de volaille, cuisses de grenouilles congelées, crevettes congelées, blanc d’oeuf liquide déshydraté ou congelé…

Pour ces opérations, plusieurs centrales d’irradiation des aliments existent en France : à Sablé sur Sarthe (près du Mans), à Pouzauges (près de Nantes), Dagneux (près de Lyon), à Marseille, à Orsay (région parisienne), à Chaumesnil (près de Troyes), à Berric (Morbihan)… La plupart sont exploitées par la société IONISOS.

Soulignons que les traitements ionisants sont interdits en agriculture biologique.

L’industrie agro-alimentaire garde jalousement ses secrets, surtout quand ils peuvent susciter l’inquiétude des consommateurs. Parmi ceux-ci, l’irradiation que subissent certains aliments, officiellement pour favoriser leur conservation. La radioactivité permettrait en effet de tuer les bactéries des nuggets, des crevettes, des épices, entre autres. Mais certains murmurent que cette technologie, étiquetée sans danger pour la santé humaine, aurait des effets secondaires. Lequels ? Et comment en savoir plus sur le sujet ? Cette enquête tente de s’immiscer au coeur de l’une des pratiques les plus opaques de l’industrie agro-alimentaire.

Aliments Irradies Mauvaises Ondes Dans Nos Assiettes Sortie: 2015

Un film de : Valérie Durier

Loading

Ce qu’il faut savoir absolument : La chimiothérapie, un traitement dévastateur dont peut se passer l’organisme pour luter contre le cancer

Pour rappel et à partager massivement

Imaginez-vous un jeûne de 4 mois. Impossible me direz-vous, cependant sachez que le Manchot Empereur y parvient très bien.

Le jeûne, une nouvelle thérapie.

Le manchot Empereur pratique le jeûne spontané dès qu’il retrouve sa colonie sur la banquise. Quand il couve son œuf pendant qu’il attend le retour de sa femelle, le mâle peut se priver de nourriture pendant environ 4 mois.

La question que l’on se pose est la suivante : Est-ce que le Manchot Empereur a des mécanismes que les autres oiseaux voir les autres animaux n’ont pas ?

Des recherches ont été faites en laboratoire sur des rats. Il s’avère que le mécanisme du jeûne chez le rat est commun à celui du Manchot Empereur. Un exemple, la chimiothérapie, ce poison destiné à détruire le cancer est injecté à des doses trois à cinq fois supérieures que les doses autorisées chez les humains à toute une série de souris de laboratoire atteintes de tumeurs qui sont séparées en deux groupes. Le premier groupe est nourrit normalement, le second groupe jeûne durant 48 heures. Les souris vont-elles résister à ces traitements dévastateurs ?

Les différences sur les deux groupes de souris sont flagrantes. Les souris ayant jeûné sont en parfaite santé, les souris qui ont mangé normalement sont mortes pour la plus part et seul 35% d’entre elles ont survécu mais se trouvent dans un état proche de la mort.

Le jeûne protégerait donc des effets secondaires néfastes de la chimiothérapie.

Important :

On a observé la réponse génétique des cellules du corps humains pendant la période du jeûne. Elle change bel et bien. Les cellules tombent en mode autodéfense, les rendant plus résistante aux toxines et au cancer lui-même. La réponse génétique des cellules cancéreuses, elle, est à l’opposé. Les cellules cancéreuses s’affaiblissent et deviennent plus vulnérables aux traitements médicaux et aux mécanismes de défense naturelle de l’organisme.

Je vous suggère vivement de regarder les deux documents qui suivent et qui sont du plus vif intérêt pour notre éducation.

La première vidéo est un résumé  très bien fait de la seconde qui est le reportage dans son intégralité et qui dure environ 55 minutes, document signé ARTE.

Je tiens à remercier mon ami Peter Moore pour les liens qu’il m’a transmis et sans lesquels la publication de cet article n’aurait pas été possible.

Gloire à la résistance !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Extrait du documentaire

Documentaire complet

Dans les pays occidentaux, les cas de diabète, d’hypertension, d’obésité, de cancers se multiplient et la consommation de médicaments explose. Et s’il existait une autre voie thérapeutique ? Depuis un demi-siècle, en Russie, en Allemagne et aux États-Unis, des médecins et des biologistes explorent une autre piste : le jeûne.

Documentaire de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade (France 2011, 55 min).

Loading

Pour rappel, et ce que nous devrions tous savoir : Les vertus de la nature et les raisons de sa diabolisation par les grandes industries

Que l’hypocrisie cesse !

Le Cannabis diabolisé à l’avenue des industries pétrochimiques, pharmaceutiques, forestières et textiles ne cesse de nous éblouir tant ses vertus thérapeutiques et les possibilités dans tous les domaines de la production de matières premières sont nombreuses.

Pour celles et ceux qui encore attachés aveuglément à un système basé sur la corruption et les mensonges, voici un petit billet qui n’a rien d’une théorie du complot. Les informations citées dans cet article sont tirées de faits historiques et scientifiques dûment établis et prouvés.

Pour Rappel :

Je commence ce billet afin de rétablir pour celles et ceux qui ne le sauraient pas la vérité concernant le cannabis qui est la fleur du chanvre. cette plante miraculeuse et qui peut pousser partout a effectivement été diabolisé puis interdite. Il faut surtout savoir que toute l’économie des États-Unis était basée sur la culture du chanvre et que jusqu’en 1’800 les taxes pouvaient même être payées avec  cette matière première. Cerise sur le gâteau, il était même  illégal de ne pas en faire pousser.

Que c’est-il passé ?

En 1930, les États-Unis ont inventé le mot marijuana en disant qu’il s’agissait d’une drogue dangereuse venant du Mexique.

Qui est derrière cette prohibition ?

Je ne vous surprendrai pas en vous disant que les industries pétrolières, forestières, pharmaceutiques et textiles qui sont à l’origine de cette propagande avaient tout intérêt à voir disparaître cette manne pour ainsi dire gratuite.

Que peut-on obtenir avec le chanvre ?

Pour ainsi dire, tout ! On peut remplacer presque tous les produits provenant de l’industrie pétrolière comme par exemple, le biodiesel; on peut avec la résine fabriquer un  plastique bio dégradable. Pour la petite histoire, un des modèles de voitures d’ Henry Ford de 1941 était construit en résine de chanvre qui est dix fois plus solide que l’acier et roulait au biodiesel de chanvre.

Le papier fabriqué avec du chanvre.

En 1916 le gouvernement américain disait que depuis les années 40 tout le papier serait fabriqué avec du chanvre afin d’endiguer le massacre des forêts. Une étude démontrait que 4’o46 m² de chanvre à la production équivaut à 16’592 m² de forêts. petite anecdote, la constitution américaine a été rédigée sur du papier de chanvre. La fabrication du papier ne demande pas de blanchissement au chlore. ce papier peut être recyclé entre 7 et 8 fois en comparaison au papier issu du bois qui lui ne peut pas être recyclé au delà de 3 fois.

Le chanvre peut être utilisé dans la construction. Une maison faite en chanvre sera 6 fois plus solide qu’une maison construite en béton tout en n’en pesant que la moitié et en étant trois fois plus souple. Imaginez donc des maisons faites en cette matière dans des régions sujettes à des secousses sismiques importantes telles que le Japon par exemple. De plus, le chanvre est auto isolant ce qui implique beaucoup d’économies d’énergie. Il résiste à la pourriture, au fongus et aux insectes, ininflammable il résiste aussi à l’humidité.

Le chanvre est une des plantes ayant le plus de vertus médicinales telles que des fonctions anti psychotiques, anti épileptiques, anti cancer, anti bactérien, anti diabétique, stimulation des os, anti inflammatoires etc… Les bienfaits médicaux ne s’obtiennent pas en le fumant mais en le vaporisant ou en le mangeant.

La culture de chanvre ne demande aucun traitement particulier ce qui bannit tous les intervenants chimiques dont a besoin l’agriculture made in Monsanto. La fleur femelle du chanvre est un insecticide naturel qui tue purement et simplement l’insecte parasite qui s’y aventurerait. La fibre de chanvre permet la fabrication de tout ce qui est issu de l’industrie textile.

Découvrez cette vidéo de Gabriel Luneau humaniste et écologiste convaincu.

Restons dans le domaine des bienfaits que nous apporte la nature en nous penchant quelques instants sur l’arbre le « Never Die » (Qui ne meurt jamais).

L’arbre Nébédaye ou Never die (qui ne meurt jamais) est un arbre à usages multiples et peut pousser dans les endroits les plus arides. Ses feuilles ont la particularité de soigner plus de 300 maladies telles que la tension, le diabète, la fièvre jaune. Les feuilles de cet arbre sont aussi utilisées pour la gastronomie locale. La fleur du Nébédaye pliées et mélangées à l’eau a comme vertu de soigner la conjonctivite.

100 grammes de fruits frais procurent 50% des besoins journaliers aux enfants de 1 à 5 ans.

Les graines du Nébédaye ont également la vertu de jouer un rôle de purificateur d’eau naturel. L’arbre est utilisé dans la station d’épuration du lac de Guiers qui alimente Dakar.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Loading

Pour Rappel : Vos batteries ne sont pas chères: dites merci à ces enfants de République Démocratique du Congo

En République Démocratique du Congo, des enfants travaillent à main nue dans des mines de cobalt. Cet élément est essentiel à la fabrication des batteries de smartphones ou de voitures électriques. Les multinationales et leur fournisseur chinois, en quête de la meilleure rentabilité, semble peu s’intéresser aux conditions de travail de ces enfants.

Des milliers de mines sauvages de cobalt grouillent d’enfants en République démocratique du Congo (RDC). Ils travaillent comme des esclaves modernes pendant 12 heures, ramassant à main nue le cobalt au milieu d’une terre blanchâtre et argentée. Leur rémunération: quelques centimes d’euros à peine. Sans doute un « juste » prix pour des multinationales richissimes qui souhaitent vendre leurs smartphones avec un maximum de rentabilité?

L’ère actuelle du mobile et celle à venir de la voiture électrique réclament des batteries en masse. Et ces batteries exigent le cobalt. C’est en République démocratique du Congo qu’est extraite plus de la moitié de la quantité totale de cobalt à l’échelle mondiale. Les intermédiaires entre les mines artisanales et les géants de l’électronique sont essentiellement chinois. Ces commerçants ne se soucient guère des conditions dans lesquelles est obtenu le cobalt. Mais les multinationales américaines, européennes ou asiatiques qui leur rachètent le cobalt ne le sont pas plus.

« Nous avons suivi les cargaisons de cobalt au départ des mines artisanales en RDC », explique Mark Dummet, chercheur chez Amnesty International. « Et nous nous sommes rendus compte que toutes les ressources arrivaient chez Huayou Cobalt, une entreprise chinoise, qui revend du cobalt à des fabricants de batteries comme LG et Samsung. Ces entreprises créent ensuite des batteries aux lithiums » pour les fabricants de smartphones ou les constructeurs automobiles.

« Aucun constructeur ne communique sur la provenance du cobalt présent dans les voitures, soit parce qu’ils n’ont pas mis en place un système de traçage, soit parce qu’ils ne se posent pas la question de la provenance des ressources », ajoute Amnesty International.

Le coût humain du cobalt d’une batterie est donc quasi inexistant pour les multinationales. Il est supporté par les seuls travailleurs misérables qui paient souvent de leur santé.

« Tous les matins, je me réveille et j’ai vraiment peur d’aller travailler, tout me fait mal », raconte un gamin accroupi dans la boue.

Les travailleurs descendent, sans échelle, en se tenant par les mains posées aux bords, dans une cheminée qui mène à des galeries.

La plupart oeuvrent sans masque alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre l’exposition au cobalt qui provoque à long terme de graves problèmes respiratoires. « On a juste bu de l’eau qui sortait naturellement de la roche », explique un homme dont le cou est déformé par une énorme tumeur.

La RDC est l’un des pays les moins développés de la planète. Près de 90% de ses 71 millions d’habitants vivent dans l’extrême pauvreté.

Et pour rappel :

De grandes marques électroniques, comme Apple, Samsung et Sony, n’effectuent pas les contrôles élémentaires afin de vérifier que la fabrication de leurs produits n’intègre pas de cobalt extrait dans les mines par des enfants, écrivent Amnesty International et Afrewatch dans un rapport rendu public mardi 19 janvier.

« Les vitrines des boutiques chics et le marketing des technologies de pointe contrastent vivement avec les enfants ployant sous les sacs de roches et les mineurs s’affairant dans les étroits tunnels qu’ils ont creusés, exposés au risque de contracter des affections pulmonaires permanentes, a déclaré Mark Dummett, spécialiste de la responsabilité des entreprises en matière de droits humains à Amnesty International.

« Des millions de personnes bénéficient des avantages des nouvelles technologies, sans se préoccuper de la manière dont elles sont fabriquées. Il est temps que les grandes marques assument leur part de responsabilité dans l’extraction des matières premières qui rendent leurs produits si lucratifs. »

Le rapport dévoile que les négociants achètent le cobalt extrait dans des zones où le travail des enfants est monnaie courante et le vendent à la Congo Dongfang Mining (CDM), filiale détenue à 100 % par le géant chinois de l’exploitation minière Zhejiang Huayou Cobalt Ltd (Huayou Cobalt).

D’après les investigations d’Amnesty International fondées sur des documents d’investisseur, Huayou Cobalt et sa filiale CDM traitent le cobalt, avant de le vendre à trois fabricants de composants de batteries en Chine et en Corée du Sud. À leur tour, ceux-ci vendent leurs composants à des fabricants de batteries qui affirment fournir des entreprises du secteur de la technologie et de l’automobile, notamment Apple, Microsoft, Samsung, Sony, Daimler et Volkswagen.

Amnesty International a contacté 16 multinationales, inscrites sur la liste clients des fabricants de batteries, recensés comme se procurant du minerai transformé auprès de Huayou Cobalt. L’une d’entre elles a reconnu ce lien, tandis que quatre n’ont pas pu dire avec certitude si elles achètent du cobalt provenant de la République démocratique du Congo (RDC) ou fourni par Huayou Cobalt. Six ont affirmé qu’elles enquêtaient sur ces allégations. Cinq ont nié se procurer du cobalt auprès de Huayou Cobalt, alors qu’elles figurent sur les listes clients des fabricants de batteries. Deux multinationales ont nié se procurer du cobalt provenant de la RDC.

Il importe de noter qu’aucune n’a fourni d’informations suffisantes pour vérifier de manière indépendante la provenance du cobalt utilisé dans ses produits.

« C’est le grand paradoxe de l’ère numérique : des entreprises parmi les plus florissantes et innovantes du monde sont capables de commercialiser des produits incroyablement sophistiqués sans être tenues de révéler où elles se procurent les matières premières incluses dans leurs composants, a déclaré Emmanuel Umpula, directeur exécutif d’Afrewatch (Observatoire africain des ressources naturelles).

« Les violations des droits humains perpétrées dans les mines demeurent hors de la vue et des consciences : en effet, sur le marché mondialisé, les consommateurs n’ont aucune idée des conditions de travail dans les mines, les usines et les chaînes de montage. Nous avons découvert que les négociants achètent le cobalt sans poser de questions sur le lieu et les conditions d’extraction. »

>>>Voir la suite de l’article<<<

Loading

Etienne Chouard et Myret Zaki nous parlent d’une Europe sans l’Union Européenne et des coûts du capital

A l’approche de l’élection présidentielle de 2017, une réflexion du tandem Chouard, Zaki

Nous n’avons pas besoin de l’argent des riches pour financer nos activités.

En économie, on parle globalement des coûts du travail mais jamais des coûts du capital car sans avoir à creuser, en se penchant tout simplement sur les dividendes qui sont reversés aux actionnaires il est tout à fait légitime de se dire que les richesses qui sont produites par les salariés sont à des années lumières d’être réparties équitablement entre la classe moyenne et les riches ce qui rentre violemment en contradiction avec l’intérêt général et ce n’est plus tenable.

Sur le plan politique, un Frexit que Marine Lepen préconise mais qui ne figure pas dans son programme, un Jean-Luc Mélenchon qui propose quand à lui un programme qui ressemble beaucoup à celui d’Alexis Tsipras et qui prétend que l’on peut améliorer les choses en demeurant dans l’Union Européenne, Etienne Chouard qui est un fervent Europhobe considère cela comme une arnaque car si l’on regarde avec du recul ce qui c’est passé en Grèce à l’époque du référendum et les résultats que cela donne aujourd’hui, on est très loin d’une victoire du peuple grecque sur les banques.

Le seul dont le Frexit fasse partie d’un des axes centraux de son programme est François Asselineau et c’est d’ailleurs pour cette simple raison qu’il est complètement ostracisé par les médias Mainstream.

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

 

La vidéo complète

Sur Youtube : Chaîne fermée

 

 

Loading

Women wage peace : des milliers de femmes en marche pour la paix !

La paix (la vraie) s’obtient rarement par les armes. Pour un monde sans guerre, ni conflit, on n’a rien inventé de mieux que le respect, l’amour et la tolérance. Fortes de ce constat irréfutable, des milliers de femmes juives, musulmanes, chrétiennes et athées, ont décidé d’unir leurs forces dans un magnifique combat pour la paix en Israël et en Palestine… Des images fortes, belles et pleines d’espoir.

Ce mouvement a été baptisé Women wage peace. Il a connu son premier coup d’éclat le 19 octobre dernier, quand une immense foule de femmes vêtues de blanc ont défilé pacifiquement devant la résidence du premier ministre israélien. De toutes confessions et de tous bords politiques, elles n’étaient là que pour une chose : réclamer la paix.

Depuis, de nombreuses autres marches similaires ont été organisées un peu partout en Israël, en Palestine et en Cisjordanie. Objectif : qu’un véritable dialogue s’instaure entre les différentes parties en conflit. Une démarche apolitique qui, peu à peu, prend une véritable ampleur, comme en témoignent ces magnifiques photos !

Le mouvement est tel qu’il a inspiré une superbe chanson à Yael Deckelbaum, en collaboration avec d’autres artistes de différentes religions. Ça s’appelle Prayer of the mothers (la prière des mères) et le clip reprend des images des manifestations pacifistes… Regardez cet extrait, c’est juste magnifique !

Loading

Ecologie et sérénité : LO’ 13′ TO, un petit coin de paradis au cœur de la Genève internationale

LO’ 13′ TO :

Un petit coin de paradis qui se niche dans une ruelle derrière la gare de Cornavin en ville de Genève.

Le but : Faire des rues aseptisées de Genève des lieux de fête et de vie et que ces qualités intègrent des impératifs tels  que l’humain, le social et l’écologie car on ne peut pas continuer à demeurer hypocrite en continuant à faire la fête tout en sachant que nous allons droit dans le mur.

LO’ 13′ TO est un projet qui a vu le jour en 1986 dont le but premier était la fermeture de la rue des gares au trafic afin que des activités écologiques et sociales puisse s’y développer.

Les gens commencent à se mobiliser en faveur de ce projet et La ville commence à s’y intéresser.

LO’ 13′ TO, c’est un endroit convivial, une cuisine artisanale et naturelle à des prix vraiment très raisonnables.

Dans cette rue, nous trouvons 4 arcades qui travaillent pour l’humain et pour l’écologie c’est un regroupement d’énergies très concrètes qui donnent à ce projet une chance pour que la rue des gares soit la première rue verte de Genève.

Malheureusement, en 2017, ce beau projet n’a pas pu aboutir entièrement et bien que toujours présent dans la rue des Gares, LO’ 13′ TO est confronté à de multiples tracas administratifs. Je m’y suis rendu ce matin avec une amie et c’est un soleil généreux qui nous a permis de nous y arrêter et de déguster une merveilleuse infusion de canelle et Gingembre. Encerclé par des monstres d’acier et de béton, ce petit bout de rue est comme une bulle d’oxygène qui se trouve préservée du temps et du stress quotidien.

Si vous êtes de la ville de Genève ou de passage, je vous invite à vous y rendre afin de respirer autre chose que notre progrès démesuré qui ne laisse au final que très peut de place à l’humain.

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

Préambule de la vidéo :

Comme tous les premiers dimanches de chaque mois, LO’13’TO vous invite à la rue des Gares pour un Brunch savoureux et bio.

LO’13’ TO réunit trois espaces de travail, de formation, d’accueil, de rencontres et d’information dans un cadre convivial et chaleureux :

– Équi’TABLE : service traiteur, resto bio, écologique et équitable.

– BIOPOP : coopérative de produits sains et solidaires gérée par des jeunes, lieu d’accueil aussi pour les jeunes.

– JASPE : dispensaire de santé et de médecines complémentaires (naturopathie, massage, médecine chinoise et acuponcture, nutrition, aromathérapie).

L’association LO’13’TO a pour vocation de :

– Mettre en œuvre des projets concrets basés sur les besoins fondamentaux, tel que l’alimentation, la réinsertion, la formation et l’emploi.

– Promouvoir le travail en réseau entre les acteurs de terrain, les institutions et les organismes de prévention.

– Créer des réseaux de solidarité dans une approche sociale, écologique et multiculturelle.

– Transmettre des savoir-faire pour promouvoir la vie de quartier

Merci à Imane et à toute l’équipe de LO’13’TO.

>>>Chaîne Dailymotion associée<<<

Et pour terminer, une promenade en image au cœur de LO’ 13′ TO

Loading

Pour rappel, Science et vie : Expérience proche de la mort, y a-t-il une vie après la vie ?

Voilà une question que la plus part d’entre nous nous posons. Les expériences proches de la mort ou lors d’un profond coma sont relatées de manières plus ou moins similaires par celles et ceux qui sont passé par là.

J’ai moi-même fait une expérience proche de toutes celles qui sont évoquées lors d’interviews bien que mon état de santé n’était pas en danger. J’ai vécu cette expérience comme un rêve puissant :

Je devais avoir une dizaine d’années lorsque durant mon sommeil je me suis senti aspiré hors de mon corps j’ai également passé par ce tunnel de lumière et arrivé au bout, un homme se tenait là en me tendant les bras et en me souriant. Le sentiment d’amour que j’ai ressenti à ce moment était si fort, je dirais même si violent que celà en était insupportable. Je me suis ensuite réveillé brutalement avec ce désagréable sentiment d’une chute vertigineuse dans le vide.

Petite anecdote : Plus aucune montre ne fonctionne correctement sur mon poignet depuis ce moment unique de ma vie et les personnes qui s’intéressent sérieusement à la chose me disent à l’unanimité que c’est lié.

Voici une vidéo d’une dizaine de minutes qui explique tout d’abord ce qu’est une NDE, ensuite le témoignage d’une dame ayant fait l’expérience mais qui elle était en état de mort clinique et enfin, de très belles images d’un voyage cosmique.

Stéphane Guibert / Finalscape

ENIGMA « Return to innocence » (Long and Alive version)

Sous-titrée en Français

Loading

Éthique et commerce responsable : Monnaie alternative, le Léman (Article à venir)

Il était une fois un petit groupe de personnes qui désiraient une monnaie locale…

Il était une fois un petit groupe de personnes qui se posaient des questions sur la monnaie.

Plusieurs d’entre nous avaient l’intuition que le système monétaire mondial ne profitait qu’à certains et qu’il renforçait les inégalités (des riches toujours plus riches, des pauvres toujours plus pauvres) tout en fragilisant les économies locales balayées par la globalisation des marchés et les politiques d’austérité.

D’autres, voulaient s’engager dans un projet concret qui rassemblerait les énergies de part et d’autre de la frontière. Certains cherchaient des solutions immédiates à la précarité, d’autres étaient fascinés par le défi intellectuel de pouvoir inventer de nouveaux systèmes monétaires. Certains avaient le sentiment qu’il était possible et souhaitable de revenir à des échanges plus transparents, plus simples, plus directs, et que ceux qui ne trouvent pas d’emploi sur le marché du travail ont cependant de grandes qualités et compétences à mettre au services d’autres personnes du réseau, et qu’il était donc primordial de recréer du lien entre nous!

(Article à venir)

Loading