Incendies de Notre-Dame de Paris et du Reichstag, étranges similitudes de l’agenda politique
Quoi de mieux qu’un bel événement en pleine semaine sainte, le lendemain du dimanche des Rameaux, en incendiant un édifice historique vieux de 800 ans, quoi de plus unificateur, de plus rassembleur que la tristesse des français, athées ou croyants, musulmans, bouddhistes ou quelque soit la religion devant une horreur semblable et de voir dès le lendemain, le tapis rouge se dérouler devant les riches donateurs avec des promesses de 250 millions de dons d’un côté et une centaine de millions de l’autre.
Quel événement unificateur dans une France en plein éclatement social, politique, économique et financier quelques semaines avant une élection majeure qui va être déterminante pour la direction que va prendre l’Europe, quel événement unificateur que de voir Emmanuel Macron, larmoyant devant ce drame, ce qui va, de la part des médias, focaliser l’attention sur Macron en lui donnant un nouvel élan auprès de la population.
Cet événement dramatique pour les uns s’il est criminel, ne peut servir qu’une seule personne, Emmanuel Macron et l’establishment alias le mouvement en marche.
Washington autorise les colons américains à s’emparer chacun de 64 hectares sur le territoire indien de l’Oklahoma.
Le 22 avril 1889 est le jour de l’une des plus grandes spoliations de terre jamais organisées légalement. Ce jour-là, 50 000 fermiers, employés, maquereaux, bandits, cordonniers, crève-la-faim, cow-boys, spéculateurs… s’abattent comme un vol de sauterelles sur le territoire indien de l’Oklahoma avec la bénédiction du gouvernement des États-Unis. Plusieurs westerns hollywoodiens évoquent cette première distribution gratuite de terres. Près de 800 000 hectares !
Quand ils s’élancent à bride abattue, ces milliers d’hommes et de femmes poussés par la pauvreté et l’espérance d’une vie meilleure.
La résistance politique à un régime en place à de tous temps été considérée par ce dernier comme un mouvement terroriste criminel. Ce qui se passe avec les gilets jaunes aujourd’hui n’est qu’un « rermake » mis au goût jour de la résistance française face à un pouvoir dictatorial que les Nazis imposaient lors de la seconde guerre mondiale.
En effet :
Je vous rappelle que la résistance française des années sombres de la dernière guerre mondiale était considérée par le régime en place de l’époque, le régime Pétain, collaborateur faisant preuve d’allégeance au régime Nizi comme étant déviante et terroriste aux intérêts de la république.
Ces terroristes sont aujourd’hui et en toute hypocrisie, ovationnés et décorés par les gouvernements qui se succèdent depuis des décennies.
Ils sont représentés comme étant les libérateurs de la démocratie et bien que l’histoire ait été pervertie à des fins politiques, elle se répète et se répètera encore.
Sans vouloir vous choquer, la résistance de la seconde guerre mondiale n’est qu’un instrument de propagande qui ne sert que les intérêts des mondialistes d’aujourd’hui et dont les européistes font partie.
Hitler était qu’un homme de paille utilisé par des intérêts financiers colossaux afin d’instrumentaliser l’histoire, il en va de même avec les politiques d’aujourd’hui.
L’histoire de notre civilisation n’est qu’un monceau de mensonges !
L’étymologie de Genève (Genava sous la plume latine de Jules César) est identique à celle de la cité de Gênes en Italie et vient d’un terme ligure (peuplade du Nord de l’Italie) qui fait allusion à la proximité d’une nappe d’eau : le Léman lui-même ou les marais à la sortie du Rhône du lac. De plus, genusus désigne le fleuve en illyrien. (Source : Wikipédia)
Genève, c’est ma ville natale, cette ville du bout du lac Léman, mouchoir de poche en superficie mais un géant mondial sur les plans politiques, économiques et diplomatiques. Dans cet article, je vais m’arrêter sur un de ses aspects touristiques et pas des moindres puisque chaque année, ce sont des centaines de milliers de touristes qui le photographient. Je veux parler de la somptueuse rade du lac Léman et de son fameux jet d’eau dont l’histoire qui remonte à 1886 est méconnue pour la majeure partie des citoyens de la cité de Calvin eux-mêmes.
Cet article sera suivi par une vidéo retraçant en slideshow, la Genève du passé avec de très belles images d’archives. Elle se poursuivra avec un film amateur nous baladant dans la Genève des années 50 et se terminera par de spectaculaires images du grand feu d’artifice des fêtes de Genève édition 2017. Le tout, illustré par la musique du compositeur et producteur Genevois : Thierry Fervant pour qui j’ai consacré quelques articles sur Finalscape et qui coule en ce moment des jours paisibles en Corse.
Les faits divers se suivent et se succèdent dans une indifférence générale mais ce qui se passe en arrière plan, ce dont les médias ne parlent pas ou juste sur le bout des lèvres est lourd en conséquences pour l’avenir de notre société.
Un nouveau décret de loi stipule que l’antisionisme est désormais à assimiler à l’antisémitisme.
Mais qu’est-ce qui ne va pas dans la tête des élites ? Le sionisme n’est ni une religion, ni une nation. Le sionisme c’est juste l’apologie de la domination par l’argent. L’argent serait-il devenu un Dieu, ce fameux veau d’or vers lequel les hommes se sont tournés alors que Moïse se faisait initier par Dieu sur le mont Sinaï ?
Le Mont Sinaï, Moïse, la bible etc … Clairement cela peut prêter à sourire mais mine de rien, l’histoire se répète ou du moins, elle bégaie.
Le jour où l’humanité aura assimilé les biens matériels au rang de divinités, ses heures seront comptées.
Que l’on soit juif, chrétien ou musulman, nous sommes tous logés sous la même enseigne, celle de l’histoire qui ne fait pas de cadeau.
Bannissons les armes nucléaires avant qu’il ne soit trop tard !
Un clip du comité international de la croix-rouge appel au bannissement des armes nucléaires avec un titre inquiétant et une vidéo post-apocalyptique.
G.S / FINALSCAPE
Et pour rappel :
Terrifiant. Les images des essais nucléaires américains, effectués entre 1945 et 1962, qui viennent d’être déclassifiées, montrent les effets dévastateurs, de la bombe H. Qu’elles aient lieu dans le Pacifique, le désert du Nevada ou en altitude, ces explosions rappellent les plus impressionnantes scènes de films de science-fiction. Sauf qu’il s’agit ici de la réalité.
L’image est incroyable. Une boule de feu, gigantesque, rapide, qui enfle et file vers la surface de notre planète. En dessous, un relief, qui semble en comparaison minuscule, bientôt happé par l’explosion nucléaire initiée en altitude.
Les États-Unis ont mené plus de 200 essais nucléaires entre 1945 et 1962. Lesquels ont été filmés sous tous les angles pour les besoins de la science et de l’armée américaine. Ces images étaient jusqu’ici classées « confidentiel défense ». Elles viennent d’être déclassifiées, à l’image de la vidéo présentée ci-dessous :
Toutes témoignent de la violence, de la disproportion, de l’énormité d’une explosion nucléaire, alors même que les armes qui existaient alors étaient bien moins puissantes que celles aujourd’hui détenues par les États-Unis, la Russie, la France, la Chine, le Royaume-Uni, Israël, l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.
Pas moins de 6 500 films ont été localisés par le laboratoire national de Lawrence Livermore. De son côté, le physicien spécialiste des armes Greg Spriggs a restauré les pellicules, certaines ayant souffert du temps, comme l’explique le Huffington Post.
La bombe larguée sur Hiroshima, le 6 août 1945, avait une puissance de 15 kilotonnes (soit l’équivalent de 15 000 tonnes de TNT). La plus forte bombe utilisée par les Américains, lors de l’opération « Teapot » (essais nucléaires atmosphériques au-dessus du désert du Nevada), en 1955, était de 43 kilotonnes. La plus forte bombe nucléaire aujourd’hui disponible a une puissance de 57 mégatonnes – soit 1 325 fois plus que celle de cette vidéo :
Tout comme notre patrimoine génétique fait partie de celui de nos parents et des générations antérieures …
« Si avant de nous préoccuper de notre avenir nous nous penchions sur notre histoire ? L’ignorance se nourrit d’un futur incertain, la sagesse quant à elle prend le temps du recul.
C’est dans notre histoire que notre avenir nous sera dévoilé. »
Les Espagnols et leurs Gilets jaunes de 1936. Tout n’est que recommencement et l’histoire se répète inlassablement.
Ils ont des historiens, des économistes, des milliardaires et toute une panoplie d’érudits derrière eux et savent pertinemment comment gérer les crises qui se ressemblent et se suivent dans le temps.
Les élites connaissent l’histoire et sauront gérer le remake de la révolution. Seule l’instruction saura libérer les peuples.
Merci à la RTS (Radio Télévision Suisse) pour ce précieux document.